Poaime à l’enfant prisonnierJe suis à vos pieds
Pour vous délivrer
De votre forteresse
Souffrez que je vous donne un baiser
Et qu’ainsi de SES bassesses
Vous ne soyez plus opprimé
Sortez de votre palais de songes
La foule veut vous entendre
Poaimer sur l’amour et non le mensonge
Qu’une mère engendre
Allez, prenez votre guitare
Qu’on entende vos lyres pâmées
Ne soyez point avare
La foule est à vos pieds…
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