dimanche 27 novembre 2011

Le baloney


QUE CE SOIT EN TRANCHES MINCES OU ÉPAISSES, CUIT OU CRU, LE BALONEY FERA DE VOS REPAS UNE FÊTE. ON L'APPELLE AUSSI STEAK DE BALONEY, STEAK DE JOBBER, BALOUNE....
Pour t'instruire Helena, à la demande de ton Black Angel

ON PEUT DÉGUSTER LE BALONEY DE DIVERSES FAÇONS. ICI, SIMPLEMENT ROULÉ ET ON L'ENFILE DANS LE GORGOTON D'UNE SEULE TRAITE.


EN SANDWICH, EN TRANCHES MINCES POUR LE LUNCH, LES FÊTES D'ENFANTS. J'AIME BIEN AJOUTER DE LA MOUTARDE DOUCE ( SUCRÉE).

ON PEUT AUSSI FAIRE DE PETITES FACES.....


ICI ROTI SUR LE GRIL, LE SUMMUM. EN TRANCHES ÉPAISSES


CUIT À LA POÊLE, DE PETITS INCISIONS SONT NÉCESSAIRES POUR LE CUIRE UNIFORMÉMENT.

DE QUOI EST COMPOSÉ LE BALONEY ? AH ÇA.....



Sécher au gros soleil

En voilà une qui a le temps de sécher, à attendre comme ça l'homme idéal hihihiii merci Anneso ! LE prince charmant existe-t-il au moins !

samedi 26 novembre 2011

INFRACTIONS


Oui infractions au pluriel car il y en a au moins 2 ici...Claude Poirier pose fièrement avec ces dames mais si on regarde l'affiche derrière...c'est pas édifiant ! Une étoile pâlit...

Lire entre les lignes

Lire entre les lignes n’est pas une mince affaire, que la ligne soit mince ou épaisse. Ça prend un brin de curiosité au départ, un minimum d’effronterie mais surtout une force physique est nécessaire puisqu’il faut soulever la ligne, lire ce qu’il y a entre cette ligne et la suivante, la refermer, et ainsi de suite. Un peu comme lorsque l’on nettoie un store horizontal, ce n’est pas une sinécure, si on s’applique le moindrement.

vendredi 25 novembre 2011

La rage de l'ange, film de Dan Bigras


Pierre Lebeau récite le poaime "L'Astronaute"

Entendu en passant sur Espace-Musique...I like it

Qui s'occupe des titres au Devoir ?

"La société québécoise et occidentale"...qu'a-t-on voulu dire ? La société québécoise et la société occidentale ? Parce que la société québécoise est occidentale étant en Occident.

http://www.ledevoir.com/politique/quebec/335316/au-temps-du-cynisme-la-societe-quebecoise-et-occidentale-vit-une-phase-creuse

jeudi 24 novembre 2011

Le crime de madame Simpson


Par Marge Simpson elle-même en personne

Vous souvenez-vous, en 2009, alors que l’on fêtait le 20e anniversaire des Simpson, moi, Marge Simpson, la plus sensée et intelligente de ma famille « disc-fonctionnelle », j’ai accepté, pour marquer l’événement, l’offre du magazine Playboy ?

Oui, cher public, je me suis soumise à une entrevue sérieuse et j’ai posé (soupir) presque nue. Question de démontrer qu’une femme ayant eu 3 enfants et aucune chirurgie cosmétique peut encore plaire dans son plus simple appareil (enfin, presque). Mais ce n’est pas tout. Aujourd’hui je fais mon coming out. En réalité, j’avais de grandes visées plus ou moins crapuleuses, celles de conquérir le marché du Tiers Monde. Je m’en confesse aujourd’hui. Leur offrir un produit de luxe et les rendre dépendants. Tout comme l’ont fait les cigarettiers en débarquant au Tiers monde pour offrir leur produit. Question de leur soutirer de l’argent, dans les deux cas, eux qui n’en ont même pas pour manger. Je me déteste.

Heureusement ou malheureusement, dans mon cas, ça n’a pas fonctionné, contrairement aux bandits de cigarettiers. Les tiers mondais ont pu résisté à ma beauté et mon sex-appeal, je ne comprends pas, j’aurais probablement dû faire une étude de marché. Je me sens cheap mais heureuse que cette aventure soit du passé.

Petite précision au passage, quand je dis presque nue, c’est que je n’ai enlevé que le haut. La raison est fort simple : je voulais que la spéculation sur la couleur de mon aire inférieure se perpétue dans un flou artistique. Bleue, la toison ? Je n’en dévoilerai rien. Pas plus aujourd’hui que je ne l’ai fait en 2009. De plus, je ne me laisserai jamais épiler ou infliger d’autres manipulations esthétiques, à l’instar de ma bonne amie Susan Boyle. «Oh, naturelle…» est ma devise, comme en témoigne ma chevelure en shit libre !...

Vive la femme de papier, qui a fait rêver tant de jeunes hommes (dont mon cher époux probablement) à l’époque du Playboy sous le matelas et de trucs gluants qui s’en suivent et qui puent su’l’tapis.

N’oubliez pas une chose cependant : un corps vivant bien chaud fera toujours oublier des courbes sur papier glacé. Je sais, c'est une Lapalissade, mais je me devais de le mentionner.

L’écrivain



L’écrivain venait de lire la critique de son dernier livre écrit en collaboration et édité par lui. Pas un seul petit morceau de fromage ou de vermicelle pour se réconforter.

La critique n'était pas édifiante : on n'y apprenait rien de nouveau et pourtant le titre était annonciateur de changements. Ouais, pas vargeux. Il était furieux. Shit se dit-il, que pourrais-je faire pour redorer mon blason ?

Un bon coup de marketing pour renverser la vapeur pensa-t-il. Il organisa un événement sur une place publique et comme la bise viendrait bientôt, le risque était minime.

On l'a adulé ! Et critiqué aussi. Il ne pouvait donc échapper à la critique.

À suivre...