vendredi 27 décembre 2013
dimanche 22 décembre 2013
Les réceptions des Fêtes t’emmerdent ? Voici quelques trucs pour faire chier tes hôtes.
1.Mettre ses doigts dans le nez
2.Se coiffer à table et faire tomber des pellicules dans les huîtres ouvertes qui sentent le vomi.
3.Se mettre le doigt dans l’cul (un classique).
4.Rester sale ou attendre d’être en public pour se nettoyer.
5.Péter, roter, cracher (ça va de soi)
6.Secouer la serviette de table n’importe comment, et se la nouer autour du cou en imitant un pendu.
7.Laisser sa braguette ouverte (garçons et filles en pantalons).
8.Lécher le couteau comme si c’était un sexe ou le regarder d’une façon malsaine et insidieuse.
9.Tremper son pain dans la soupe du voisin.
10.Se mettre de la nourriture dans le pantalon par l’ent'r'ouverture de la braguette.
11.Mettre un chapeau ou béret exprès alors que d’habitude on n’en porte pas ainsi que des lunettes noires et ne pas les enlever à table.
12.Ainsi que l’étiquette d’usage : saper sa soupe, renifler la nourriture, mastiquer la bouche ouverte, parler la bouche pleine, essuyer son assiette avec du pain, boire son potage etc.
13. Lancer de la nourriture au plafond pour voir si ça colle ou retombe.
14. Mettre du vinaigre dans le vin de son voisin.
15. Remplir les verres vides de la farce de la dinde qui n'était pas mangeable.
16. Dire fort devant tout le monde que la dinde est pas assez cuite, comme d'habitude. Qu'elle est jamais cuite la crisse de dinde.
17. Demander à ses hôtes si le chat a liché la dinde pendant qu'elle dégelait sur le comptoir car ce dernier l'a fait avec le plat que l'on a apporté et qu'on a aussi fait dégeler sur le comptoir.
18. D'autres suggestions ?
15. Remplir les verres vides de la farce de la dinde qui n'était pas mangeable.
16. Dire fort devant tout le monde que la dinde est pas assez cuite, comme d'habitude. Qu'elle est jamais cuite la crisse de dinde.
17. Demander à ses hôtes si le chat a liché la dinde pendant qu'elle dégelait sur le comptoir car ce dernier l'a fait avec le plat que l'on a apporté et qu'on a aussi fait dégeler sur le comptoir.
18. D'autres suggestions ?
samedi 21 décembre 2013
mardi 17 décembre 2013
N'achetons pas de cadeaux pour Noël
N'achetons pas de cadeaux pour Noël (sauf si on est millionnaires). On veut faire plaisir ? Fabriquons de petits cadeaux à la main.
mardi 15 octobre 2013
samedi 10 août 2013
Ramen burger : hit de l'été aux States.
la recette : http://www.isciencetimes.com/articles/5836/20130809/ramen-burger-recipe-learn-make-keizo-shimamoto.htm P.S. : le fromage est en option.
vendredi 2 août 2013
mercredi 17 juillet 2013
mardi 16 juillet 2013
jeudi 11 juillet 2013
mercredi 10 juillet 2013
continuons notre petit jeu....initié par jip et dont la photo vient de lui....
et cette photo elle te fait penser à kwa ? Perso je ne répondrai qu'en présence de mon avocat mais pas trop vert. Vers de préférence, blurp.
mardi 9 juillet 2013
Tu vois quoi sur cette photo ?
C'est JP qui a initié ce jeu qui peut par contre nous en dire long sur une personne. Ça peut servir aux psychologues, psychopathes, psycho machin. Mais moi je ne me censurerai pas pour autant.
Alors je me lance. Dans cette image bien sûr je vois une grenouille (mais pas verte) et des cerises ROUGES !!!!!!!!!!!!!!!
Et toi qui passe par ici, t
u vois quoi sur cette photo ?
Alors je me lance. Dans cette image bien sûr je vois une grenouille (mais pas verte) et des cerises ROUGES !!!!!!!!!!!!!!!
Et toi qui passe par ici, t
u vois quoi sur cette photo ?
dimanche 30 juin 2013
mercredi 26 juin 2013
mercredi 29 mai 2013
Mon premier livre de lecture
Cliquez et regardez les 20 tableaux.
http://www.bibl.ulaval.ca/ress/manscol/cartes_murales/francais_lecture_1953.html
La première page, Lili a lu le........
Je me souviens d'avoir examiné cette petite fille et m'être dit : "elle a don le front haut, je ne connais pas d'autres petites filles avec un front si haut". En fait dans des mots d'enfants de 6 ans. C'était en 1960.
Cela doit expliquer pourquoi je suis si curieuse. Je me pose toujours plein de question et les pose aux autres aussi. Mais comme j'ai souvent dit : saine curiosité.
J'espère que ça rappellera des souvenirs aux personnes qui ont eu ce livre de lecture ! Alors bonne lecture.
Ba-be-bi-bo-bu
http://www.bibl.ulaval.ca/ress/manscol/cartes_murales/francais_lecture_1953.html
La première page, Lili a lu le........
Je me souviens d'avoir examiné cette petite fille et m'être dit : "elle a don le front haut, je ne connais pas d'autres petites filles avec un front si haut". En fait dans des mots d'enfants de 6 ans. C'était en 1960.
Cela doit expliquer pourquoi je suis si curieuse. Je me pose toujours plein de question et les pose aux autres aussi. Mais comme j'ai souvent dit : saine curiosité.
J'espère que ça rappellera des souvenirs aux personnes qui ont eu ce livre de lecture ! Alors bonne lecture.
Ba-be-bi-bo-bu
samedi 25 mai 2013
lundi 13 mai 2013
samedi 11 mai 2013
Bonne fête aux mamans ET SURTOUT....
ET SURTOUT À CELLES ET CEUX qui ont perdu leur maman, dernièrement comme Denis et Michel B....., ceux qui ne l'ont jamais connu, etc. Ceux qui souffrent quoi. Comme le petit ou la petite sur la photo
vendredi 26 avril 2013
dimanche 21 avril 2013
jeudi 18 avril 2013
mercredi 17 avril 2013
mardi 16 avril 2013
lundi 15 avril 2013
vendredi 5 avril 2013
mercredi 3 avril 2013
mardi 2 avril 2013
dimanche 31 mars 2013
lundi 25 mars 2013
mardi 19 février 2013
samedi 9 février 2013
mercredi 6 février 2013
suggestion de.....pour ma devanture de blogue comme il dit
Merci, je ne connaissais pas cette chanson. Très joulie.
mardi 22 janvier 2013
samedi 19 janvier 2013
jeudi 17 janvier 2013
Petite histoire très carnavalesque des Salons du livre (VLB, 2001 dans Les mots des autres, la passion d’éditer.)
"La première fois que j’ai mis les pieds au Palais du
commerce, c’était au milieu des années soixante pour la Foire internationale du
livre de Montréal. J.Z. Léon Patenaude
avait mis son habit de grand zouave de côté, avait rompu avec Jean Drapeau et
se vouait à la cause sacrée du livre en compagnie de Jacques Hébert et de
Pierre Tisseyre. Aussi mégalomane que le
maire de Montréal, J. Z. Léon Patenaude rêvait de concurrencer en Amérique la
Foire de Francfort, haut lieu de rencontre de tous les éditeurs du monde.
Mais la réalité québécoise de l’édition était loin d’être de
ce bord-là des choses et, à défaut d’accueillir les grandes maisons étrangères,
la Foire internationale du livre de Montréal ouvrit le Palais du commerce aux
tireurs de bonne aventure : entre le stand des Éditions du jour et celui
du Cercle du Livre de France, on entrait dans un tunnel. Au bout de ce tunnel, un autre stand où vous
attendaient la carte de votre ciel, la boule de cristal et l’excitant jeu du
tarot. On y retrouvait peut-être Kafka
et Beckett mais c’était de façon tout à fait absurde, pour ne pas dire entre
les lignes.
Cette première expérience m’ayant plutôt désenchanté, je ne
serais sans doute plus retourné à une foire ou à un salon du livre. En 1968 toutefois, Jacques Hébert fit de moi
son adjoint aux Éditions du Jour. J’avais
à peine pris possession de mon bureau qu’il me fallut déjà décabaner pour Québec
où se tenait un Salon du livre. Avant de
m’y rendre, je devais prendre à son hôtel l’écrivain français jean Duché. Non satisfait de me considérer comme son
chauffeur attitré, il me demanda aussi, et plutôt avec arrogance, de porter ses
bagages ! Jusqu’à Québec, Jean Duché ne m’adressa pas la parole une seule fois :
il ne parlait pas aux Sauvages, il les étudiait. Mais quand Jacques Hébert lui apprit que j’étais
son adjoint, vous auriez dû voir la tête de Jean Duché : s’il avait pu
disparaître sous la pile de livres devant lesquels il était assis, il l’aurait
fait.
Pour ma part, j’avoue que l’attitude de Jean Duché n’a pas
amélioré mes rapports, déjà plutôt froids, avec les écrivains français et leurs
éditeurs. En plus de contrôler plus de
80 % du marché québécois du livre, ils étaient sinon outrecuidants du moins
condescendants avec nous, les aborigènes.
Ils étaient à eux seuls toute la littérature et ce qu’ils attendaient de
nous, c’était que nous leur servions de faire-valoir. Même le grand Bernard Pivot n’échappa pas à
la règle. Quand il visita le Salon du
livre de Québec en 1981, il se retrouva devant Yves Thériault qui, au stand de
ma maison d’édition, dédicaçait ses ouvrages.
Yves Thériault faillit s’étouffer de rage quand le grand Bernard Pivot
lui demanda : « À part « Valère et le grand canot »,
avez-vous écrit autre chose ? »
À la décharge des Français, disons que certains Salons du
livre auxquels j’ai participé ne pouvaient que les conforter dans leur attitude
un tant soit peu méprisante. Au Salon du
livre de Québec toujours, on exhibait des poumons noircis par la nicotine dans
de gros bocaux de formol, on accueillait à bras ouverts les extraterrestres, la
société du Graal, les raëliens et les adorateurs du soleil de la Fraternité
blanche universelle, sans parler d’André Dion et de sa famille qui, revêtus de
tutus et d’escarpins, flippaient sur les oiseaux dans des chorégraphies
sifflées qui vous donnaient effectivement le goût de migrer au bout du monde.
Ce bout du monde là, ça aurait pu être Drummondville qui
pour moi a remporté le championnat toutes catégories de l’originalité depuis
que je suis éditeur. C’était au début
des années quatre-vingt. Ça avait lieu
en même temps sur le même terrain, en l’occurrence en plein champ, à l’extérieur
même de la ville. Le Salon du livre se tenait sous un grand chapiteau, non loin
d’un pavillon dans lequel on faisait la traite des vaches. Plutôt qu’aux petits oiseaux d’André Dion et
de sa famille, on avait droit à la bouse, aux meuglements ou bien à un petit bœuf
boqué qui faisait faux bond à son gardien et voulait nous visiter, sans doute à
la recherche des « Vertes Collines d’Afrique » de M. Hemingway!
Ce fut ainsi fort bucolique pendant deux jours. Au troisième, le ciel nous tomba
littéralement sur la tête. Dans la nuit,
un gros orage frappa Drummondville et le chapiteau, qui avait été mal monté, se
mit à couler comme une passoire. On se
retrouva dans la boue jusqu’aux chevilles et, pour que les éditeurs puissent se
rendre à leurs stands afin de constater les dégâts, il fallut leur construire
des trottoirs de bois !
C’est cette même année là d’ailleurs que je fus poursuivi
par le plus étrange personnage jamais rencontré au cours des trente ans que j’ai
passés dans les Salons du livre. En ma
qualité d’éditeur, je participais bon an mal an à une dizaine de ces
manifestations, de Hull à Trois-Rivières, de Montréal à Rimouski, de Sherbrooke
à Québec. J’eus donc droit plusieurs
fois à la visite d’originaux et de détraqués, mais personne n’arrivera jamais à
la cheville de cette auteure schizophrène qui courut après moi toute une année
durant.
Ça commença d’abord à la maison d’édition. Un jour, une femme y vint, sous le prétexte d’un
manuscrit à me présenter. Elle n’était
pas assise devant moi depuis trente secondes qu’elle me dit : « Je n’aime
pas les vibrations qu’il y a ici. Est-ce
qu’on peut aller ailleurs ? » Je l’emmenai
donc au restaurant. Une fois qu’on s’y
fut retrouvés assis, la femme sortit un petit miroir de son sac, déchira un
coin de napperon, en fit une boule qu’elle trempa dans un verre d’eau, puis
elle colla cette boule-là en plein milieu du petit miroir et me demanda de la
regarder fixement pendant trente secondes.
Après, elle me dit : « Est-ce que ça va mieux maintenant ? »
Je lui répondis : « Je ne me sentais pas mal tantôt. Là, c’est pas mal pareil ». Comme si elle avait eu un ressort sous elle,
la femme se leva, me pointa du doigt et, toute contractée du visage, s’écria :
« T’es pas tanné de vivre dans ta merde ? Penses-y comme il faut parce que
c’est la dernière fois que je te le dis! »
Elle vira ensuite carré et sortit pareille à une furie du
restaurant. Ça avait été rien de moins que
délirant, mais je ne trouvai pas autre chose à faire que de refouler dans ma
mémoire cet épisode farfelu de ma vie d’éditeur.
Le problème, c’est que commença la samba des Salons du
livre. Je remplissais mon station-wagon
des ouvrages que je publiais et je sillonnais le Québec comme un peddleur de
vieux chaudrons. Mais partout où je m’arrêtais,
je n’avais pas le temps de monter mon stand que l’étrange créature s’arrêtait
devant, me regardait de ses yeux exorbités et, de sa mains levée dans celle de
l’espèce de gorille qui l’accompagnait, me criait : « T’es pas tanné
de vivre dans ta merde ? Penses-y comme il faut parce que c’est la dernière
fois que je te le dis! » Elle
disparaissait aussitôt jusqu’au Salon du livre suivant. C’était hallucinant, de quoi ne pas
comprendre tous ces écrivains qui , interviewés à la télévision, n’en finissent
pas de dire qu’il aiment les Salons du livre parce que ça leur permet de
rencontrer enfin leurs véritables lectrices et leurs véritables lecteurs !
Yves Thériault, que j’ai accompagné dans plusieurs Salons du
livre, était plus prosaïque. Pour lui,
un Salon n’était rien d’autre qu’une occasion de vendre davantage de
livres. Comme il trouvait l’atmosphère
des Salons généralement trop constipée pour lui, il avait toujours plein d’idées
pour les animer. À la fin des années
soixante, il proposa à Jacques Hébert de se faire enfermer dans une cage de
verre au beau milieu de la salle d’exposition de la Place Bonaventure. Emprisonné vingt-quatre heures par jour dans
cette cage de verre, Thériault voulait écrire un roman qu’un imprimeur aurait
composé en simultanéité puis imprimé avant la fermeture du Salon. Vers la fin du dernier jour, Thériault serait
sorti de sa cage de verre pour lancer officiellement son fameux roman. De peur de se faire accuser de ravaler l’écriture
au rang d’un cirque forain, Jacques Hébert ne donna pas suite au projet de Thériault. Quelques temps avant sa mort, l’auteur d’« Agaguk »
m’en parlait encore comme d’une formidable occasion manquée.
Pour démontrer que les auteurs ne sont pas toujours aussi
honnêtes qu’ils le disent quand ils prétendent mettre la littérature au-dessus
de tout, même dans les Salons du livre, une dernière anecdote qui concerne
encore Yves Thériault. Dans tous les
Salons du livre que nous faisions ensemble, nous avions pris l’habitude de
parier : qui de Thériault ou de moi vendrait le plus grand nombre d’ouvrages
? Bien évidemment, Thériault l’emportait tout le temps sur moi, sauf en 1983 où
je l’ai battu en utilisant un stratagème dont je me gardai bien de lui révéler
le secret. Mon ami Ben Weider dédicaçait
l’un de ses ouvrages sur napoléon au stand de Leméac situé presque en face du
nôtre. J’allai le voir et lui demandai
son aide pour venir à bout de Thériault.
Ben Weider embarqua dans le jeu et m’envoya tous les lecteurs qui lui
rendaient visite. Je pris donc
rapidement une bonne avance sur Thériault.
Mais le vieux lion avait plus d’un tour dans son sac à
malices. Aussi adopta-t-il une stratégie
qui a bien failli lui donner la victoire.
Assis derrière sa table, Thériault autographiait sans que personne ne le
lui demande l’un de ses livres. Puis il
levait la tête et interpellait ainsi quelqu’une des bonnes dames qui défilaient
devant lui : « Henriette ! Mais passe pas tout droit! Viens voir ton
vieux chum, voyons! » La bonne dame s’approchait, Thériault lui rappelait
de prétendus souvenirs communs et, quand son interlocutrice protestait qu’il y
avait erreur sur la personne, le sacripant rétorquait : « J’aurais
pourtant juré qu’on s’était déjà vus quelque part. Mais ça me fait quand même bien plaisir de
vous offrir mon livre autographié! » Il le mettait dans la main de la
bonne dame qui, gênée de lui déplaire, se sentait obligée de passer à la
caisse!
Il y aurait plein d’autres choses à raconter sur la petite
histoire carnavalesque des Salons du livre tels que je les ai vécus depuis
trente ans. Mais malgré que le monde ait
bien changé, y compris dans notre façon d’aborder le livre à l’occasion de ces
grandes manifestations dites culturelles, quelque chose n’a absolument pas
bougé depuis 1968 : s’ils sont un peu moins outrecuidants et
condescendants qu’autrefois, les Français contrôlent toujours 80% du marché
québécois du livre. Ce qui explique
peut-être pourquoi notre édition nationale, même dans les grands Salons du
livre, est toujours considérée comme complémentaire de la seule vraie, la
française. Tout le reste n’est
fondamentalement qu’anecdote et littérature, comme mon texte. "
mardi 15 janvier 2013
Les écrivains qui…..n’ont pas encore écrit.
"Il y a toutes sortes d’écrivains, mais il y en a surtout
deux catégories : ceux qu’on publie et ceux dont on refuse les manuscrits.
[….]
Les écrivains refusés sont de tout poil. Il y a d’abord ceux qui…n’ont pas encore
écrit ! C’est presque toujours un étudiant.
Ses premiers contacts avec l’éditeur, il les établit parfois d’une bien
drôle de façon : il demande un rendez-vous, et l’ayant obtenu, il dira à l’éditeur :
« Moi je suis pauvre, voyez-vous, et je n’ai pas de
papier pour écrire. Est-ce que vous m’en
passeriez ? »
Un autre assurera l’éditeur qu’il travaille à un chef-d’œuvre
mais que, pour bien travailler, il lui faut de l’argent. Il exigera donc une avance qu’il considérera
comme une « hypothèque sur mon talent ». D’autres encore sont plus subtils : ils
disent avoir écrit un manuscrit, mais comme ils n’ont pas de dactylographe, ils
demandent de l’argent pour….une secrétaire qui fera le travail à leur
place. L’un a même offert de payer de l’intérêt
sur la somme que l’éditeur lui avancerait!"
VLB : Les mots des autres, la passion d'éditer
mercredi 2 janvier 2013
je ne sais pas
je ne sais pas ce que Putin fait là ou encore ce que tous ces acteurs font là mais ces derniers applaudissent et font une ovation debout à la fin. C'est la faute à JP qui m'a collé ça.
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