accusation précoce, Posté le jeudi 21 mai 2009 12:08
celà dit entre nous, c'est de la blague quand je te demande ta main... pour nous marier... puis quand je dis que les gens sont de la merde, c'est tout aussi relatif. c'est juste que... je me sens seul. celà dit, si tu veux te marier... hem. bon. comme je t'ai dit, je suis écologiste, un peu. et donc, voilà. hem. je vote pas si tu veux, mais je reste baba cool dans l'âme, on dira. avec des couteaux en plus. bon. puis la dernière fois que j'ai voté, c'était pour besancenaut. et après, il fallait choisir entre le pen et chirac, alors c'était assez difficile... et donc, depuis, j'hésite encore, et j'arrive toujours pas à me décider. l'eau a coulé sous les ponts, depuis, mais c'est encore plus pollué qu'avant. bon allé, j'aimerais bien tes joues fraiches et mouillées de l'eau de pluie sur mon torse d'athlète. au revoir (peut-être)... (c'est parce que c'est férié, c'est pour ça)
(un truc que j'avais publié chez ooo-fairy-ooo, à l'époque... le bon vieyux temps. qu'en penses-tu ici ?
tout ce que tu postais là bas était excellent. Y vas tu encore ou es-tu INTERDIT DE SÉJOUR ??? Tiens j'en arrive....j'ai copié collé ceci, très beau poaime court
jp, Posté le jeudi 18 février 2010 15:18 future tite mère calme le feu
tu verras t'apprendras à te poser j'espère
pas besoin de souffler sur les braises ça flambe déjà assez comme ça
ouais, mais ça, c'était ma bonne conscience paternelle de l'époque, et désormais un tantinet défunte (bien que peut-être ressucitable par une tite hippie de passage, avec un peu de chance, tant que chuis pas trop ridé et complètement débilité par l'abus de gueuze) que j'exprimais de la sorte.
et par exemple, tiens : "sais-tu qu'à une certaine période de ma vie, quand je prenais le train entre toulouse et montpellier, la nuit, je relisais l'antigone d'anouilh (dont tout le monde se branle, mis à part quelques existencialistes survivants), en me disant que j'aurais bien aimé être son frère mort incestueux qui serait revenu de chez les séchés pour lui faire une dernière fois l'amour INTERDIT ??... antigone, c'était kekchose! un peu comme une préméditation inconsciente de valérie valère... tu croa pa ?
les trucs de chez maon, à l'époque, c'étaient mes "derniers" relents d'amour réel envers mes congénères humains en général que j'exprimais ainsi, et j'étais en plein dans le gouffre à l'époque. complètement sous influence des électrochocs sytématiques ignifugés dans ma tête par les mafieux-psy à des faims vènement politiko-scandaleuzes... j'aimais bien tous ces gens, mais ils avaient comme un truc en eux qui faisait que la propagande anti-hippie à la sarko-pen prenait toujours le dessus sur mes intentions pas patibulaires... comme la nana qui prenait son gamin dans ses bras à chaque fois que je la croisais, en me lançant des regards qui signifiaient que j'étais un sale pédopfille.. une vraie mizère! j'ai jamais voulu baizer des gamins, mais la putain de propagande percécuzatrice de zizi en rigueur faisait malheureusement des émules, partout, grace aux téléphones portables du progrès, et aux télépathies violeuses d'intimité freudienne et inciteuzes de meurtre à la jim morichon, ce con.
ah oui je me souviens tu parlais souvent de valérie valère. Quelle brave fille.
T'es pas un pédo voyons. Le foutu hasard a fait en sorte que tu te sentes piégé, moi je suis certaine que t'es bin correct, je pourrais en témoigner, même, si on me le demandait. Mais c'est du passé n'est-ce pas ? Tu ne te sens plus intimidé n'est-ce pas ?
Chez Isis t'étais pas mal non plus, encore humain je dirais, si je ne m'abuse bien sûr. C'est toi qui le sait!
ben ouais. mizapart que c'est pas du passé, vu que ces enfoirés te fichent à vie, et te laissent pas devenir trankille une foua que t'as mangé du piège. bande de tarés.
t'as qu'à leur expliker que marie bossait obscurément pour certains drôles et avait été spécialement dressée pour ça, depuis toute petite, et ça éclairera peut-être leur lanterne.. pi elle était très bien au courant depuis le haut de ses 15 ans et demi en soufrance schizophrénique, si je me rappelle bien, aussi. et moua, j'étais une proie pour elle, un putain d'hippie même pas aryen, et en plus, qui croyait encore que jospin ou rocard allaient sauver le monde grace au socialisme pas nationaliste, mais INTERNATIONAL... bref
mais y'a des bizness pas très réglos encore en vigueur, en ce monde "imonde", comme dirait mac-chibreur...
ce que je sais, c'est ce que j'ai vu et écouté, entendu depuis que chuis sur terre. et toute la mélasse qui va avec.
le racisme, c'est toute une science. antédiluvienne. ça remonte au temps des tribus. ça exploite la haine intrinséque des individus. c'est débile et à la fois "stimulant", selon ce qu'en pensent certains...
en tous cas, ça reste bel et bien en pratique, jourd'hui, ouais. comme le commerce de la guerre, pépée. on a beau eu imaginé les petits bonzhommes bleus de la fin d'intelligence artificielle de spielberg, on en reste malheureusement toujours aux bonnes vieilles méthodes de marde.
mais si tu parles de schpilberg dans un cercle fermé, on te prendra encore pour un agent sioniste de la maniputation mintale.. ce qui reste possible, même si toi-même, ce que tu voudrais, ce serait quoi au fond ?
bon, vais me faire un film dans lequel jessica biel se tape un strip-tease dans une boite de nuit, à moman donné (on peut même voir ses nénés pour de vrai, mais pas les toucher, biensur, paske le palpable, c'est pas encore inventé au cinéma, même si dans les années 30 du siècle dernier, huxley avait déjà imaginé l'odorama. ou alors, le palpable, c'est juste TOUA, TOUT SEUL DANS TA CHAMBRE, t'échangeant tes propres ondes alpha dans le nouar mouate, étendu sur le canapé qui te sert de lit depuis que les draps du lit sentent trop le vomi, depuis plus de six mois désormais...)
stainssi. je viens de découvrir, c'est un rien gnangnan, mais on se fout des jugements de valeur dévalorisants, et c'est toujours mieux que the jesus and mary chain, paske comme m'avait dit yannick, une fois : "jesus and mary chain, je les ai cotoyés dans les années 90, et c'étaient juste que des camés élitistes et sans envergure qui jouaint mal de leurs instruments et prenaient le peuple pour de la merde du haut de leur tour dorée de défonce à succès capricieuse. et ils avaient aucune humanité. et toi, t'es pareil."
pi un jour, j'écrirai TOUTE LA VéRITé, dans le désordre, et en plus du reste, mais sur un petit carnet rodhia qu'il faudra venir me voler dans ma planque, et pas sur internet. et un soir, à moscou, dans 153 ans, un vieux pépé de la mafia qui n'a que 107 ans à l'heure ou je te parle (02h44, neuf février 2013) se pourlèchera les babines en regardant son agent lui rapporter l'original UNIQUE de MON oeuvre, au dernier étage d'une tour high tech un peu délabrée et sentant le pipi de chat, dans la pénombre de son dernier asile terrien. avant son décollage
j'ai pas du tout envie de rire. Si tu le fais tout de suite comme tu dis et non attendre à demain ou après demin, ça pourrait marcher. Un jour ça va marcher, tout comme quand on veut se mettre à la diète.
bon, alors on s'y met, tout de suite. et fini d'emmerder les braves gens et d'insulter les fanatiques, pi retour des valeurs humaines au premier plan de mes préoccupations sociales.
ça va chier!! maman-pithye va être contente. elle m'a prédit dans les années 90 que je deviendrai jardinier, un jour.
tu sais, c'est con de vouloir devenir le bukowski français. une très mÖvaise idée. il avait déjà du mal à être lui, alors pourquoi vouloir lui ressembler ? pi un mec qui pikole et à qui il n'arrive que des déboires, c'est pas hyper marrant... en fait, c'était un pêtit bourgeois moyen de son époque, et qui se croyait malheureux, ou ne voulait pas devenir simplement heureux, avec pas grand chose, comme nous. est-il nécessaire de voyager dans la vie ?
si ça m'arrive encore un jour, je sais vraiment pas ou j'irai. on se complike trop souvent les choses dans la vie, aussi.
pi je pense pas que j'écrirai la vérité nulle part. et toute façon, soit les gens sont au courant, et font avec, soit ils n'y croient pas et ils s'en foutent. pi je me dis que si MOI, suis au courant de certaines petites choses, ben c'est surtout qu'énormément de gens sont surement au courant de trucs vachement plus bargeot que moi. et le jardinage, c'est pas plus con que la bourse, ou le tiercé. et les films d'araki, ils sont pas plus cons que les films de bergman, et d'abord, les films, c'est du cinéma, mais tu vois, parait que les ricains, générations après générations, ils ont tellement regardés de films et de télé, qu'ils finissent par penser qu'ils vievent sur un plateau de cinéma, kekpart, pi qu'y aurait pas de frontière entre fiction et réalité, etc... et vu qu'on est un peu devenus ricains, génération après génération...
bon sens, réré, je suis mÛr pour la retraite, avant l'heure. me demande si marie tricotte encore des écharpes, comme elle avait commencé, à moment donné. j'aimais bien aller lui acheter sa laine, elle me donnait une liste de pelottes numérotées. ça, c'était utile. c'est le genre de détail qui rendait mon existence encore supportable, quand je me sentais utile en allant lui acheter ses pelottes de laine. les cons trouveront ça dépassé et débile, vieux jeu voir même "macho", le tricotage, mais ce qu'ils devraient plutôt comprendre, c'est qu'en attendant la liberté, elle avait besoin de s'occuper les mains, la petite. et de faire des trucs. mais tout ce qu'on lui proposait ailleurs c'était de fermer sa gueule et de se laisser dépérir dans sa chambre au plafond troué......bref. elle avait beau être un piège, je l'aimais bien. c'est juste que certains ont des projets de merde, concernant d'autres gens, et qu'ils aiment bien te baiser afin de "t'expliker la vie, la vraie" (comme si on n'était pas déjà au courant, et qu'il fallait en remettre une couche pour te sentir encore plus écoeuré! sacré méthode! vraiment brillante!). moi, j'ai un peu cherché à la comprendre, mais pas comme il aurait fallu, c'est tout. pi lire des livres pour comprendre la misère, c'est pas assez, etcetc.
ha oui, et aussi "je n'ai jamais vraiment pensé ce que je disias, mais j'essayais tant bien que mal d'imiter les autres humains, en bon singe" mais ce que je finis par comprendre, c'est que la plupart ne savent rien, et pareil pour les élites. et qu'ils sont souvent motivés par des trucs dérisoires comme survivre, manger, et baiser. et que ça se complike à partir du moment ou ils ont encore du temps pour faire autre chose entre deux repas et deux histoires d'amour. et que des fois, ça se complike de manière plutôt abracadabante. et moi, je voulais pas faire des études de cinéma, mais devenir cuistot. mais comme j'étais intelligent et que j'avais d'énoooOOOrmes possibilités, on avait fini par me faire étudier l'art, (dont j'avais pas grand chose à foutre, vu que ma principale préoccupation, déjà, à l'époque, restait mon zizi, et de savoir comment le faire accéder socialement à son rôle de géniteur de mes futures amours) mais ça, est-ce que ce fut une bonne chose??
moi, ce que je vois, c'est que depuis qu'ils ont arrêté les électrochocs, je n'ai plus vraiment de mal à compter ma monnaie à la caisse, après les courses. et rien que ça, c'est un changement énormément positif.
j'en ai marre de la honte. mais j'aime pas non plus être fier comme un coq. et en même temps, j'aime pas qu'on se moque. je suis à la fois orgueilleux et très simple. mon orgueil, ça tient plutôt du fait que je me sentes intimement blessé par des petits riens, parfois
et tu le croiras peut-être pas, mais j'aime pas spécialement parler de moi ni me maitre en valeur. je suis même un peu "masochiste" comme on dit, je crois bien, oui. pas dans le sens d'aimer se faire battre par une nana, mais dans le sens ou se sentir bien serait la preuve que je serais égoïste quand à la misère qui règne encore sur le monde. c'est un mode de pensée qui m'a énormément perturbé pendant très longtemps.
en même temps, je ne suis pas d'accord avec l'idée qui veut que la culpabilité soit systématiquement de la merde. car nous vivons en société, et pas en l'état de nature, comme les enfants sauvages
une fois, quand j'étais ado, on m'a offert un sweet-shirt rose fluo. c'était la mode de la marque "poivre blanc", une marque de vêtements au coloris assez pétants, et tous les petits cons étaient habillés en "poivre blanc" au collège, sauf les plus pauvres, qui n'avaient pas les moyes. je trouvais ça con. en plus, ça coutait soi-disant très cher, etc.. mais ma mère avait cru me faire plaisir en m'achetant ce putain de sweet-shirt rose, "imitation poivre blanc", et me faisait des scènes pour que je le porte, et qu'elle l'avait pas acheté pour rien, etcetc! et donc, j'étais déjà plutôt "mal dans ma peau", mais en plus, alors, c'était une raison de plus de me faire traiter de tapette. un sweet-shirt, ROSE FLUO!! pendant des années, j'ai porté contre mon gré ce PUTAIN de sweet-shirt qui me filait LA HONTE!! et ça m'a marqué jusque dans mon rapport avec les filles, biensur! aucune d'entre elles ne voulait de moi, parce qu'en plus d'être épileptique et "un peu félé", maintenant, j'étais devenu une tapette! (j'avais un autre sweet-shirt, violet foncé, plutôt moche à l'époque, avec une banane jaune dessinée dessus, mais que je préférais largement à cette horrible sweet ROSE FLUO!!!
quelques années avant, ça avait été la mode des joggings adidas, tout le monde voulait des jogging adidas, et contrairement aux putain de sweet-shirts "poivre-blanc", que je trouvais moches, j'aimais bien le design des jogging adidas, qui portait des noms de navettes spatiales américaines, si je me souviens bien. mais y'avait ces gros cons qui se foutaient de ma gueule, parce que je portais un jogging pas de marque, et me traitaient de paysan en plus de me faire des misères à chaque fois qu'ils le pouvaient, et qui étaient tellement fiers de leurs putains de joggings adidas, qu'il avaient fini par me dégouter d'en porter. même que mon père avit voulu m'en payer un, mai que j'avai refusé. en fait, j'en ai eu un, plus tard, mais la mode était passée.
les seuls vêtements que j'ai vraiment aimé porter, c'était des jeans. rien d'original. juste un jean droit, normal. bleu, un rien délavé. mais la encore, y'avait des tarés qui me traitaient de paysan parce que je portais pas de JEAN LEVIS 501, mais un jean pas de marque. les mêmes dingues qui se foutaient de moi avec ces conneries sur les survêtement adidas... bande de tarés!
c'est bien plus tard, au lycée, que j'avais commencé à me laisser des trous aux genoux, en plus de me laisser pousser les cheveux comme un hippie, et à ne pas me peigner. quand je commençais à écouter led zeppelin, hendrix, et les rolling stones, à m'intéresser au rock et à la rébellion, afin de masquer la honte de mon zizi ROSE, et à laisser tomber progressivement la daube FM. mais j'avais déjà 19 ans. mon père avait toujours écouté pink floyd, à la maison, mais là, je commençais à lui braquer ses cassettes et ses vinyls. et il avait même un led zep, et vu pink floyd et led zep à paris, en 1969!! je n'étais pas encore tout à fait alcoolique, mais ça commençait à venir. je n'attendais pas forcément d'être en compagnie pour commencer à boire, et avait BESOIN de me mettre en condition avant de sortir, le week-end. et entre midi et deux, j'allais boire une bière ou deux au bar pas loin du lycée, parfois. c'est quelques années plus tard que je commençais à ne plus me lever, et progressivement, ne plus me laver régulièrement. on commençait à me dire que je sentais mauvais, parfois. je me sentais mal en permanence.
une fois, je me suis bourré la gueule parce que j'avais rendez-vous à l'anpe, pour un entretien. et que je ne supportais pas l'anpe, parce que c'était toujours rempli de monde! en fait, j'avais besoin de boire à chaque fois que je sortais de chez moi. bizarement, j'ai jamais été attiré par les acides, ou les drogues autres que l'alcool.
niveau godasses, mon truc, c'était les nastases nylon adidas. je ne voulais porter que ça. quand on me demandait quelle marque de chaussure je voulais, c'était des nastase! mais une fois, on m'avait obligé à porter des lendl-adidas, sous prétexte que c'était plus solide, en cuir, et que ça sentait moins mauvais. manque de bol, un chat était venu pisser sur cette putain de paire de LENDL adidas, une nuit que je les avais oubliées sur le paillasson, devant la maison. résultat, niveau odeur, j'avais tout gagné! maintenant, en plus de me faire mal aux pieds, mes godasses sentaient la pisse de chat! et IMPOSSIBLE de virer cette putain d'ODEUR de PISSE DE CHAT, même après avoir passée la paire plusieurs fois à la machine! mais comme c'était trop cher, pasq uestion d'acheter une autre paire avant que celle ci ne soit usée, biensur!! et donc, pendant des mois, je fus aussi le CRADO QUI PORTAIT DES CHAUSSURES QUI PUAINT LA PISSE DE CHAT!! on m'affubla du surnom de "LE PISSEUX", dans la cours. je détestais donc d'autant plus les LENDL adidas, qu'en plus de me faire mal aux pieds, elle étaient un sujet de honte et de brimades renouvelées, comme cette ordure de putain de sweet-shirt ROSE FLUO imitation poivre-blanc! dès que je pouvais, je remettait ma vieille paire de nastase adorée. même trouée, c'était toujours mieux que cette merde de paire de LENDL qui puait la pisse de chat.
les gros cons qui se foutaient de moi a cause de mes vêtements pas de marque disaient que les nastase étaient des chaussures de NASE, parce nastase/nase = hyperdrole!! mais pourtant, je continuais à bien aimer mes nastases. malgré ce qu'en disaient ces abrutis débiles et sadiques.
et moi, je voulais des jeans, des nastases, des vestes en jean, et rien de plus. un mec bleu délavé, en jean, et qui n'écoutait même pas de hard-rock. mais en plus des snobinars intégristes de merde du collège, maintenant, voila que mes parents commençaient à me dire que je m'habillais toujours pareil, et que je devais changer, varier un peu les couleurs, me chausser avec des chaussures de ville, des mocassins en cuir, ou ce genre de conneries que je détestais.
résultat : en plus de me sentir mal et pas adapté, on me volait aussi mes gouts et mes couleurs, en y foutant du ROSE FLUO, et m'obligeant à porter ces merdes de mocassins ou de putains de chaussures de ville en cuir que je détestais!
connars! qu'est-ce que ça pouvait bien vous foutre que je sois toujours habillé pareil, avec mes blue-jeans et mes pulls de laine, et mes nastases que j'aimais, même trouées, bien plus que vos sales mocassins à la con!! les tarés de sadiques du collège n'étaient pas suffisants à supporter! maintenant, il fallait que je portes VOS Vêtements, VOS COULEURS et VOS goûts de chiotte!
tiens, puis je vais aller foutre ces paires de jeans NOIRS à la poubelle. qu'est-ce qui m'a donné l'idée de m'habiller en noir ? ha! oui! j'étais en DEUIL! bien, ben je le suis plus! et je suis pas croque-mort, non plus, juste les mec bleu délavé. y'avait même un petit crétin qui m'appelait le "bleu délavé", parce qu'il me trouvait nase et hasbeen de toujours m'habiller pareil! est-ce que je me mélais de dire ce que les gens devaient porter ou pas, moi, bordel! keske ça pouvait bien foutre aux gens comment s'habillaient les autres! c'est comme les pin's et les rubik's cube, j'ai jamais aimé ces conneries! y'en avait, ils leur fallait des tonnes de pin's partout sur les vêtements! moi, je voulais pas ETRE DIFFERENT, je m'en foutais bien d'ETRE DIFFERENT, j'aimais pas ça, leurs trucs, c'est tout. NUANCE!! j'avais quand même le droit de ne pas aimer leurs putains de coloris FLUOS, NAN ?? mais ça, ça les faisait chier! et après, des années plus tard, on te me sort des conneries comme quoi je serais un fasciste, ou un PETIT HITLER, rien de moins, parce que je voulais m'habiller A MON GOUT, et pas POUR ETRE DIFFERENT, mais parce que JE M'AIMAIS MIEUX EN BLEU Délavé qu'en PUTAIN DE ROSE FLUO!! et que les nastase, j'aimais ça, parce que quelque part, c'était MOI, aussi, NON ?? et donc, vous m'avez volé mon MOI avec vos putains d'histoires de coloris et de COULEURS CRIARDES A LA MODE! et MOI, mon VRAI MOI, il est pas du genre à chercher à péter plus haut et plus fort que les autres, mais plutôt, à passer inaperçu et pas se la péter. MOI, je suis du genre HUMBLE, et plutôt BIENVEILLANT ENVERS MES FRERES HUMAINS, à la base, mais ça, ça devait vous emmerder, peut-être, aussi! comme quand je ne riais pas de vos blagues sur les camps de concentration, dans la cours de récré, parce que je trouvais ça MECHANT!! NON Mé HO!!
aujourd'hui, j'ai honte. parce que j'aie été une merde, hier, avec cette putain de pikole de merde. comme quoi, la culpabilité, c'est pas forcément une chose qui t'empêche de penser, mais aussi, parfois, qui te rappelle à l'ordre quand à tes mÖvais agissements. et moi et l'alcool, ça a toujours été comme ça. après, je règlerai mes problèmes de zizi, si on me laisse le temps, et de mÖvais régime alimentaire, aussi. peut-être mêm de contact humain. la crasse, c'est comme la drogue, on finit par y prendre goût au point que ça devient une partie intégrante de votre personalité, et ça finirait par la bouffer toute crue si au fond, on n'avait pas gardé le souvenir d'avoir été quelqu'un d'autre qu'un porc, un jour. avant de tomber malade
et tu sais pourquoi ma paire de LENDL adidas me faisait mal aux pieds ? ben parce que le jour ou on était aller l'acheter, j'avais pas osé dire qu'elles étaient trop petites au marchand, ou simplement, pas senti en les essayant, ou chépas, parce que j'étais trop timide pour ne serait-ce que prononcer un mot. en fait, j'avais une sainte horreur de ce genre de choses, aller acheter des vêtements et devoir les essayer, parfois dans des cabines. la seule idée que j'avais en tête dans ces moments là, c'était que je voulais plus que tout être autre part que là, car c'était LA HONTE! on me faisait chier en permanence avec ces histoires d'accoutrement, et que je savais rien faire, etc! on m'avait tellement dit que je n'étais même pas foutu de me lasser les godasses, et que je finirais "sous les ponts", que quand mes lacets se défaisaient, parfois, dans la cour de récré ou ailleurs, j'étais d'abord pris de terreur, mais ensuite je faisais semblant de ne pas avoir vu qu'ils étaient délassés, parce que j'avais une HONTE ENORME de redevoir nouer les lacets devant tout le monde, encore une fois. et tu sais quoi ? ça n'arrivait qu'à MOI, et je me demande bien si celà ne faisait pas déjà partie de ce putain de mÖvais sort qu'on m'avait jeté, parce que mes lacets se défaisaient tout le temps, et j'étais incapable de savoir les nouer correctement. et pour me moucher, c'était pareil. on m'avait gueulé dessus tellement de fois en disant que je ne savais pas me moucher, que j'étais crade et que je finirais "sous les ponts" que je ne savais pas me moucher correctement. et du coup, je passais mon temps avec la morve au nez et la HONTE quand j'étais malade. car je ne savais pas me moucher, ou avais peur de faire du bruit, ou que ça dégouline le long du mouchoir... et du coup, on m'appelait "le morveux", et c'était encore LA HONTE.
vers mes 18 ou 19 ans, j'ai flashé sur le "their satanic majesties request", des stones, qu'on avait acheté en commun en version CD avec un copain lui aussi fan de musique de hippies. il m'avait fait une cassette, parce que j'étais resté assez longtemps "anti compact disque", et avais refusé d'acheter un lecteur cd pendant plusieurs années. mon père écoutait en boucle le "you're under arrest" de gainsbourg, qui me paraissait à la fois sexuellement louche et complètement ésotérique, car rempli d'un vocabulaire et de jeux de mots auxquels je ne comprenais que dalle, dans la bagnole, et je commençais à l'emmerder en m'incrustant avec ma cassette de "their satanic majesties", mais moi, cet album m'envoyait dans mes marques à moi. qui me permettaient un temps de m'évader de mes angoisses libidinales et de mes HONTES successives de semi-mongolien attardé ne sachant toujours pas se moucher en public.
l'autre histoire de VRAI, encore, à propos des LENDL adidas, c'est que quand la première paire a été usée, on m'en avait achetée une seconde, genre un an après. et tu sais quoi ? REBELOTTE!! un chat était une nouvelle fois venu pisser sur mes godasses, pendant la nuit! mais j'en avais vraiment eu marre de me faire traiter de "pisseux", au collège, cette fois-ci, et du coup, m'étais résigné à porter parfois ces mocassins marrons qui ne m'allaient pas dutout, et était doté de semelles tellement lisses que je passais mon temps à faire gaffe de ne pas glisser et de me casser la gueule tellement c'était VRAIMENT des chaussures MAUDITES. et quand je dis "maudites", hein ? qui sait, hein ? me souviens que j'avais eue la sensation qu'on m'avait jeté un mauvais sort avec ces histoires de LENDL adidas, et pourtant, j'étais loin d'être supersticieux, tu peux bien le croire. même que je ne croyais pas DUTOUT a ces histoires de sorcières, à l'époque... mais là, décidément. ça commençait à faire beaucoup, non ?
du coup, on avait du aller voir un cordonier, et il m'avait fixés des trucs en dessous de ces godasses, des sortes de petits crampons en métal. mais là encore, ça recommençait à faire marrer les copains, car en plus de tout le reste, maintenant, à chaque pas que je faisais, ça faisait un petit bruit métallique, surtout sur le carrelage... et en cours d'EMT, y'avait du lino dans la salle de classe, et le prof de l'époque avait exigé que j'enlève mes chaussures parce que ça rayait le lino, et le crevait quand je marchais dessus. du coup, en cours de cuisine, je me retrouvais en chaussettes devant tout le monde dans la salle de classe, et comme je sentais énormément des pieds, tu comprends bien que ça rajoutait encore quelques ingrédients supplémentaires à la sauce...
la sorcellerie, c'est un travail d'usure. tout le monde n'a pas la chance de subir des trucs radicaux comme le poison, ou la balle dans la tête de JFK. sont bien plus fins en investissements à longs terme, dans certains cas.
alors après, quand une débile de chez eux me traite de "monsieur", tu comprends. en fait, je pense être quelqu'un de plutôt cool. j'ai commis certaines erreurs, mais pas tellement par rapport à ce qu'on m'a mis dans la tête en retour. c'est mon point de vue sur la chose. leur truc, c'est que leur haine est "invisible". et ils peuvent pourrir la vie des gens, ni vus ni connus, et profiter de leur gentillesse ou de leur naïveté. ils méprisent les gentils, qui pour eux sont des sortes de sous-hommes.
leur truc, c'est la haine. c'est le poison de l'humanité. rien de moins.
et leur réponse toute faite à ça serait de dire que ce serait l'humanité, le poison. mais disons qu'en tant qu'empoisonneurs de l'humanité spécialistes des incitations à la décadence à la chaine, ils auraient quand même aussi un énorme bagage, niveau responsabilité des débilités générées par leurs expériences. mais disons aussi qu'ils aiment, ça. et ça, j'ai toujours pas compris, ou plutôt, pas intégré ce concept
et si tu étais un bukowski français sobre, tu pourrais écrire quand même ? Pask'en fait quand t'es saoul tu n'écris pas, tu postes juste des liens youtoube. À jeûn, on a droit à tes joulies histoires. Tu pourrais réfléchir à ça pendant ta nouvelle retraite, qu'elle soit temporaire ou non.
Tu manges quoi pour le repas de ce soir ? Juste par curiosité.
patates en sauce. sauce maison, que j'avais stérilisée en bocaux en septembre 2011 (merci l'étiquette). vec tomates, oignons, cucurbitacées maison venant du jardin, courgette, citrouille, agrémentées de lardons achetés au supermarché. une sorte de ratatouille, recette perso plus ou moins improvisée mais dont je fus loin d'être déçu en la savourant quelques mois plus tard. j'en avais fait une dizaine de bocaux à l'époque.
ha, ouais, pi à propos de cet IGNOOOOOBle sweet shirt ROSE FLUO, tsé quoi ? ben je l'aimais tellement pas, qu'une fois, m'étais débrouillé pour d'abord, le déchirer, par endroits, et pour ensuite, carrément le poser sur le radiateur de ma chambre dont j'avais foutu le termostat sur la position chaleur maximum, pour cramer cette ordure de sweet-shirt! et ça avait marché! j'avais cramé cet infame swett-shirt au point qu'il avait un gros trop entouré de traces de carbonisation, dans le dos, et était alors devenu une telle loque que je ne pouvais plus vraiment le porter décemment! VICTOIRE! j'avais NIKé cette ordure de sale sweet-shirt ROSE FLUO, et retrouvais avec un ENORME SOULAGEMENT mon autre sweet, le petit moche violet foncé avec la banane jaune déssinée dessus, et qui m'allait trop court au niveau du bide. et ça marcha alors ainsi quelques jours, et m'étant débarasser de ce motif quotidien de brimades répétitives, (malgré les godasses LENDL adidas qui sentaient la pisse de chat que je portais toujours) j'avais profité de ces quelques jours de répis qui m'avaient permis de souffler un peu. mais tu sais quoi ? ben la meilleure idée qui soit venu à ma mère, pour remplacer cet immonde sweet-shirt ROSE FLUO que j'avais cramé sur le radiateur de ma chambre, fut de me racheter EXACTEMENT LE MÊME, en DOUble, dans les jours qui suivirent, et de se remettre à me traiter de têtu, et d'ingrat, et de me refaire des scènes à la con pour que je mettes cette saloperie de sweet dans lequel j'étais "SI MIGNOOOOOONNN", et qui était tellement si joli et A LA MODE!! et donc, voilà aussi L'ORIGINE DU MAL! et aussi la raison pour laquelle je hais un peu la vie, et aussi pourquoi je trouve que Christine Dufour, malgré tout le talent qu'on lui doit, reste à mes yeux un rien superficielle en traitant kurt cobain de sale con, dans l'une de ses interviews. parce que le pauvre kurt, il savait lui aussi ce qu'étaient les brimades et la méchanceté ordinaire, et comment ça finissait pas vous user à la longue. comme pour la fois ou, alors qu'il était ado, et sans expérience avec les filles, il était sorti avec une nana un peu débile et moche que tout le monde rejetait plus ou moins, mais que lui, trouvait quand même plutôt sympa, bien qu'un peu bizarre. ben résultat des courses, il avait fini lynché par les gens de son collège sous prétexte d'avoir abusé d'une handicapée mentale limite mongolienne. une belle connerie, hein, entre autres ?
ET CECI EST UNE HISTOIRE VRAIE!!! comme pour celle des OIES!!
pi bukowski, qui était au fond un "tendre puritain", comme il l'avouait lui-même chez pivot, avant de sortir son couteau de poche dans les vestières, une fois sorti de scène, l'autre point commun qu'on avait, lui et moi, en plus de mal supporter les gauchistes, c'était de penser que notre lectorat était en grande partie composé de crétins. mais bon, étant devenus nous-mêmes des crétins après qu'ils aient "tué le cheval sous nous", on admettait biensur qu'il était aussi certainement "ridicule de rafistoler un vieux poème en buvant de la bière tiède", et qu'il valait peut-être mieux "avoir des rêves d'empire, nos gros bides blancs collés contre le ventilateur"...
tu vois, si j'aime bien écrire toutes ces conneries, aussi, c'est qu'elles sont en fait chargées de toute une petite symbolique aussi bien critique qu'autocritique, en filigrane, et que la vraie histoire du monde, c'est aussi celle qui raconte que des gens n'ont pas forcément besoin de subir d'énormes déflagrations traumatiques dans la gueule, genre viol collectif, ou avoir été un enfant soldat africain drogué aux acides pour péter les plombs, ou avoir eue leur vie en grande partie gachée, mais aussi, parfois, de n'avoir pas su surmonter le détail apparemment anodin et sans conséquence d'avoir dû accepter contre leur gré d'être habillé en ROSE plutôt qu'en BLEU, durant leur jeunesse DORéE. et c'est absurde et con.
c'est sûr, et souvent même pas besoin d'un événement extérieur, un élément déclencheur pour péter sa coche. Parfois ça se passe juste à l'intérieur de nous.
c'est dommage que Chinge n'ait pas compris toute la symbolique derrière tes écrits et qu'il t'encule.
En passant, une grosse différence entre toi et Buco, toi tu es beau physiquement mais pas lui. Lui a l'air d'un gros alcoolo fumeur de clopes mais pas toi, tu gardes ton visage d'enfant à peine ridé
juste à l'intérieur de nous, ça, j'y crois pas trop. même que j'irais jusqu'à dire que c'est quelque chose qui n'existerait pas vraiment, "juste à l'intérieur de nous", ou si peu. ou disons plutôt que ce serait quelque chose qui se travaille, mais que dans mon cas, ce serait plutôt resté en friches depuis le début, ce petit bout de terrain.
mais tu sais quoi, à propos de buko ? lui, il a souffert d'allergie, et a eue sa gueule ravagée par une maladie de peau à l'adolescence, qui le faisaient ressembler à un elephant man à bubon, en plus des histoires de tondeuse à gazon. mais moi, mon mal et ma honte, c'était ne pas voir eue de crise d'acnée, et de me demander encore à 18 ans quand allaient enfin un jour pousser mes poils de couille et ma barbe, parce qu'à 20 ans, j'étais encore pratiquement totalement imberbe. et ça m'inquiétait salement, en plus de ces rumeurs fausses lancées par les deux idiots malveillants qui prétendaient que j'avais un tout petit pénis, et qui m'avaient arrachée ma serviette de bain devant tout le monde à la piscine, aux vestiaires.
mais tu vois, le truc avec les poils, c'est que le jour ou j'avais découvert qu'une petite touffe s'était mise à pousser sous mon bras gauche, j'avais été rudement content. mais en contrepartie, j'avais aussi bien vite déchanté en me rendant compte que que ça correspondait à l'émergence de ces sales odeurs de tomate pourris, et que ma sueur, jusque là quasiment inodore, se mettait à se charger d'effluves de plus en plus désobligeantes.
mais c'est comme pour ces histoires d'odeur de pisse de chat. parait qu'avec un mélange de jus de citron et d'autre chose, on arriverait à les dissiper. c'était une sorcière qui, aillant "lu dans mon passé" (en fait, peut-être tout simplement membre d'une branche "ésotérique" des renseignements généraux, ou un truc dans le genre), m'avait parlé de cette histoire de jus de citron, bien des années plus tard... en ricanant
si Chinge avait passé moins de temps à vouloir me sodomiser, j'aurais peut-être moins bu et moins été consommé par les drogues dures pornographiques. et il ne m'aurait pas pris pour son babouin, car j'aurais fait du fric, achetés des millions d'hectares de terre, et aménagées des centaines de zones paradisiaques sans plastique ni pollution sur toute la surface du globe. que du bio. et j'aurais achetés les services d'un génie généticien-informatique new-age, avec l'aide de qui on aurait répandu des ondes bénéfiques virales sur toute la planète grace à internet et aux ondes radio. et les énergies mÖvaises se transformeraient immédiatement en positives vibrations, au contact de cette nouvelle maladie incurable. et ce soir, il serait lui-même en train de dormir paisiblement sous un arbre, un sourire tranquille sur la face, après avoir mangées des mangues et de la salade verte, plutôt que de triquer du noir en fulminant comme un damné au fin fond de sa tannière sombre et insalubre.
en fait, quand je dis que j'étais plutôt bienveillant à l'égard de mes frères humains, ce n'était vrai que dans les circonstances consistant à ne pas trop tolérer qu'ils se fassent du mal entre eux, ou soient méchants entre eux, ou que les plus gros se foutent sur le dos d'un faible pour l'humiliern car je me disais qu'un jour, il pourrait à mon tour m'arriver d'y passer. mais disons qu'il m'arrivait aussi de plus en plus souvent d'être aussi "méchant", de mon côté. mais la plupart du temps, ça reste platonique, comme genre de délire. et si plus tard je refusai d'adhérer à des systèmes de gangs ou de conneries dans le genre, c'était plus par lacheté ou manque total d'ambition personelle que par esprit de rigueur ou d'entretien d'un lien fidèle avec mon fond de pure probité idéologique. hein ? on est bien d'accord ?
bienbien.
ceci dit. y'en a encore qui se marrent, dans ton coin ? ou toute la ville est en feu ?
le truc qui cloche avec ceux qui prétendent qu'on ne fait pas de politique avec de bons sentiments, ce serait aussi qu'en fin de compte, ils finiraient par anihiler toute forme de bon sentiment, à la longue. comme de dire que la faute des malheurs du monde serait celle des déviants, alors que ce serait leur système qui persisterait à créer des déviants, et poserait un regard chargé de leur propre pesanteur intérieure sur les ambivalence des autres. et qui serait loin d'être sans effet.
la faute incube aussi à ceux qui s'amusent à modifier nos patrimoines hormonaux. et ça a commencé dans le coeur des soleils, toutes ces histoires, bien avant que ne déboulent les séries érotiques diffusées sur M6, le dimanche soir, dans les années 90, après minuit. le bouddha n'est pas plus ridicule que culture pub. on n'est pas nés avec une cigarette à la bouche, quoique..
j'aime pas le thé mais j'adore les breuvages chauds, comme les bouillons et même de l'eau de riz. C'est délicieux avec du sel. Je l'aime bouillante. Du chocolat chaud aussi, mais seulement quand je ne suis pas à la diète car je l'aime bien sucré et avec du lait.
Oui faut y croire, tant qu'on est en vie et qu'on vit !
Qui sommes nous pour décider de ce qui est déviant ou pas ? Tu vois je m'améliore, je ne porte plus de jugements, même pas sur moi-même. Je suis zen.
si on peut s'astreindre à vivre comme Bouddha, je suis certaine qu'il y a du bon, dans le fond c'est une excellente philosophie de la vie. Mais tu sais ce que ça comporte n'est-ce pas ? PLUS D'ALCOOL, PLUS DE CLOPES, PLUS DE SUCRE et quoi encore ?
le seul truc autorisé en tant que petit bouddha stagiaire serait d'écouter france musique, en semaine, et parfois, un peu de dream-pop et de shoegaze. ou d'autres formes de musique pop le week-end, mais sans abus, car attention. ça peut très vite repartir en couille en stimulant certaines zones de notre cerveau sans même qu'on s'en rende compte, ce genre de petit jeu.
pi limiter aussi la consommation de cinématographe à un seul film par semaine. afin de réaménager progressivement ses propres champs oniriques, et éviter la pollution audiovisuelle, selon les nouvelles normes en vigueur.
la discipline, ce n'est pas forcément le fascisme, mais tout simplement le goût de retrouver une certaine hygiène de vie salutaire. et ça passe avant tout par ce que l'on consent à mettre dans son assiette.
pi pas écouter les petits malotrus qui te traiteraient de sale petit curé faux-cul et sainte-nitouche. paske s'ils veulent jouer au jeu de la mauvaise langue de pute insidieuse, ils devraient se méfier de l'échos monstrueux qu'ils pourraient très bien engendrer en retour dans leur gueule.
leur soi-disant philosophie, et sa mise en pratique, leur volonté de puissance, et l'exploitation de leurs visions d'avenir, c'est aussi, pas seulement ça mais aussi, une forme de drogue qui alimente une obésité de l'esprit. rien de plus. et qu'ils gagnent ou perdent contre les soi-disant sous-hommes n'ayant pas adhérer à leurs techniques ou ne s'étant pas soumis à leurs désirs de domination ne changera rien à ce simple fait. leur science, et leurs facultés, c'est aussi une autre forme de carence. rien de plus. et qui renouvelle d'autre formes d'appétit. on m'a dit une fois que j'avais des facilités, et des aptitudes supérieures à la moyenne dans ce domaine, mais j'ai pris ça pour une flatterie. et pour moi, ça restait aussi du vent, ou une sorte de cadeau empoisoné, leur prposition d'adhérer à leur truc. c'est juste une forme "supérieure" de folie, à mes yeux. et ça fait partie de ces engrenages de la vie que l'on se devrait d'enrayer, plutôt que de les développer, selon ce que j'en pense. et je n'en sais pas plus qu'un autre. tout ce que j'aurais voulu, ç'aurait été mieux m'entendre avec les autres humains. puis enrayer leurs souffrances. parce qu'il me semble que leurs malheurs viennent de là. et malgré toutes les sciences et techniques développées, le problème reste encore le même, aujourd'hui. une question d'équilibre et de comment gérer les souffrances des hommes, afin qu'ils puissent vivre en société sans avoir à s'entretuer.
et je n'ai aucune leçon à donner à personne. leur souhaite seulement d'être moins dingues, et d'arrêter de se faire du mal. parce qu'y en a déjà eu bien trop comme ça.
dès qu'il ya un système qui se forme, peut importe lequel, même si c'est supposément pour le bien, il y a toujours des crottés qui en émergent. Ita est comme disait l'autre.
resterait quand même une différence entre les "crottés" naturels, et ceux fabriqués intentionellement par ce système en vue de maintenir sa rentabilité. dans le deuxième cas, c'est grotesque. tous les systèmes ne sont pas les mêmes. y'en a qui ont le don de fabriquer des quantités industrielles de déchets, (dont des humains, alcooliques ou stériles, malades, débiles, un peu comme moi quand je subis ce genre de logique) et d'autres, dont le but n'est pas de produire à outrance en ne tenant pas compte des retombées, mais de respecter une certain équilibre. c'est un fait
y'a belle lurette que les humains ont inventé les technologies et détiennent les connaissances qui leur permettraient de vivre en harmonie avec le monde et de subvenir à leur propres besoins essentiels de base sans avoir à subir l'esclavage et la lobotomie collective dont ils sont victimes. ça aussi, c'est un fait. mais tes élites continuent à tout faire pour dissuader les gens d'accéder à ces progrès qui leur permettrait de vivre de manière bien plus épanouie et enrichissante. et dans quel but ? afin de préserver égoïstement leur influence et leurs intérêts ayant pour fin leur domination sur le monde des hommes. c'est aussi un fait. alors continuez bien à fabriquer des "crottés" à la chaine, toi et tes copains, mais surtout, ne revenez plus m'emmerder en me donnant des leçons d'hygiène, plus tard. adieu
Quoi ? Ça marche encore ce blogue ? Eh ben ! Faisait un bail que j'étais venu. Dans le temps que Patrick Duval était l'alter ego romantico-érotico humoristique de Patrick Courval, qui fraye avec les grands de l'humour québécois maintenant. Je savais qu'un jour, on allait en tirer quelque chose de bien.
J'aime bien quand elle chantait avec Areski.
RépondreSupprimerje ne connaissais pas Areski. Merci JP !
RépondreSupprimerCirculez il n'y a rien à voir.
RépondreSupprimerle vote en blanc
ouais...j'ai un problème, j'ai installé un nouvel antivérusse
RépondreSupprimerJe vais colle le lien.
Un nouvel antivérusse, tu nous refais la guerre froide ?
RépondreSupprimerben quoi, faudrait renier notre mélanco ?
RépondreSupprimerabsurde vie. donne moua ta main...
petsarcle... créons! (mais pa comme créon)
accusation précoce, Posté le jeudi 21 mai 2009 12:08
RépondreSupprimercelà dit entre nous, c'est de la blague quand je te demande ta main...
pour nous marier...
puis quand je dis que les gens sont de la merde, c'est tout aussi relatif.
c'est juste que... je me sens seul.
celà dit, si tu veux te marier... hem.
bon. comme je t'ai dit, je suis écologiste, un peu.
et donc, voilà.
hem.
je vote pas si tu veux, mais je reste baba cool dans l'âme, on dira. avec des couteaux en plus.
bon.
puis la dernière fois que j'ai voté, c'était pour besancenaut. et après, il fallait choisir entre le pen et chirac, alors c'était assez difficile...
et donc, depuis, j'hésite encore, et j'arrive toujours pas à me décider. l'eau a coulé sous les ponts, depuis, mais c'est encore plus pollué qu'avant.
bon allé, j'aimerais bien tes joues fraiches et mouillées de l'eau de pluie sur mon torse d'athlète.
au revoir (peut-être)...
(c'est parce que c'est férié, c'est pour ça)
(un truc que j'avais publié chez ooo-fairy-ooo, à l'époque... le bon vieyux temps. qu'en penses-tu ici ?
pour ma martine et andré, que j'aime, même si je m'exprime mal à chaque foua :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=Rp5_Ul-qG0w
bref!
bise ?
tout ce que tu postais là bas était excellent. Y vas tu encore ou es-tu INTERDIT DE SÉJOUR ??? Tiens j'en arrive....j'ai copié collé ceci, très beau poaime court
RépondreSupprimerjp, Posté le jeudi 18 février 2010 15:18
future tite mère
calme le feu
tu verras
t'apprendras
à te poser j'espère
pas besoin de souffler sur les braises
ça flambe déjà assez comme ça
bise
ouais, mais ça, c'était ma bonne conscience paternelle de l'époque, et désormais un tantinet défunte (bien que peut-être ressucitable par une tite hippie de passage, avec un peu de chance, tant que chuis pas trop ridé et complètement débilité par l'abus de gueuze) que j'exprimais de la sorte.
Supprimeret par exemple, tiens : "sais-tu qu'à une certaine période de ma vie, quand je prenais le train entre toulouse et montpellier, la nuit, je relisais l'antigone d'anouilh (dont tout le monde se branle, mis à part quelques existencialistes survivants), en me disant que j'aurais bien aimé être son frère mort incestueux qui serait revenu de chez les séchés pour lui faire une dernière fois l'amour INTERDIT ??... antigone, c'était kekchose! un peu comme une préméditation inconsciente de valérie valère... tu croa pa ?
les trucs de chez maon, à l'époque, c'étaient mes "derniers" relents d'amour réel envers mes congénères humains en général que j'exprimais ainsi, et j'étais en plein dans le gouffre à l'époque. complètement sous influence des électrochocs sytématiques ignifugés dans ma tête par les mafieux-psy à des faims vènement politiko-scandaleuzes... j'aimais bien tous ces gens, mais ils avaient comme un truc en eux qui faisait que la propagande anti-hippie à la sarko-pen prenait toujours le dessus sur mes intentions pas patibulaires... comme la nana qui prenait son gamin dans ses bras à chaque fois que je la croisais, en me lançant des regards qui signifiaient que j'étais un sale pédopfille.. une vraie mizère!
RépondreSupprimerj'ai jamais voulu baizer des gamins, mais la putain de propagande percécuzatrice de zizi en rigueur faisait malheureusement des émules, partout, grace aux téléphones portables du progrès, et aux télépathies violeuses d'intimité freudienne et inciteuzes de meurtre à la jim morichon, ce con.
ah oui je me souviens tu parlais souvent de valérie valère. Quelle brave fille.
RépondreSupprimerT'es pas un pédo voyons. Le foutu hasard a fait en sorte que tu te sentes piégé, moi je suis certaine que t'es bin correct, je pourrais en témoigner, même, si on me le demandait. Mais c'est du passé n'est-ce pas ? Tu ne te sens plus intimidé n'est-ce pas ?
Chez Isis t'étais pas mal non plus, encore humain je dirais, si je ne m'abuse bien sûr. C'est toi qui le sait!
ben ouais. mizapart que c'est pas du passé, vu que ces enfoirés te fichent à vie, et te laissent pas devenir trankille une foua que t'as mangé du piège. bande de tarés.
Supprimert'as qu'à leur expliker que marie bossait obscurément pour certains drôles et avait été spécialement dressée pour ça, depuis toute petite, et ça éclairera peut-être leur lanterne.. pi elle était très bien au courant depuis le haut de ses 15 ans et demi en soufrance schizophrénique, si je me rappelle bien, aussi. et moua, j'étais une proie pour elle, un putain d'hippie même pas aryen, et en plus, qui croyait encore que jospin ou rocard allaient sauver le monde grace au socialisme pas nationaliste, mais INTERNATIONAL...
bref
mais y'a des bizness pas très réglos encore en vigueur, en ce monde "imonde", comme dirait mac-chibreur...
ce que je sais, c'est ce que j'ai vu et écouté, entendu depuis que chuis sur terre. et toute la mélasse qui va avec.
je me comprends
fuck la sigüe
le racisme, c'est toute une science. antédiluvienne.
RépondreSupprimerça remonte au temps des tribus. ça exploite la haine intrinséque des individus. c'est débile et à la fois "stimulant", selon ce qu'en pensent certains...
en tous cas, ça reste bel et bien en pratique, jourd'hui, ouais. comme le commerce de la guerre, pépée. on a beau eu imaginé les petits bonzhommes bleus de la fin d'intelligence artificielle de spielberg, on en reste malheureusement toujours aux bonnes vieilles méthodes de marde.
mais si tu parles de schpilberg dans un cercle fermé, on te prendra encore pour un agent sioniste de la maniputation mintale.. ce qui reste possible, même si toi-même, ce que tu voudrais, ce serait quoi au fond ?
RépondreSupprimerbon, vais me faire un film dans lequel jessica biel se tape un strip-tease dans une boite de nuit, à moman donné (on peut même voir ses nénés pour de vrai, mais pas les toucher, biensur, paske le palpable, c'est pas encore inventé au cinéma, même si dans les années 30 du siècle dernier, huxley avait déjà imaginé l'odorama. ou alors, le palpable, c'est juste TOUA, TOUT SEUL DANS TA CHAMBRE, t'échangeant tes propres ondes alpha dans le nouar mouate, étendu sur le canapé qui te sert de lit depuis que les draps du lit sentent trop le vomi, depuis plus de six mois désormais...)
RépondreSupprimerj'aurais besoin d'une ménagère
a bonne entendeuze! salut!
tiens, pi si tu connaissais pas cocteau twins :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=dtBr5JKSuks
stainssi. je viens de découvrir, c'est un rien gnangnan, mais on se fout des jugements de valeur dévalorisants, et c'est toujours mieux que the jesus and mary chain, paske comme m'avait dit yannick, une fois : "jesus and mary chain, je les ai cotoyés dans les années 90, et c'étaient juste que des camés élitistes et sans envergure qui jouaint mal de leurs instruments et prenaient le peuple pour de la merde du haut de leur tour dorée de défonce à succès capricieuse. et ils avaient aucune humanité. et toi, t'es pareil."
adieu
tiens, pi je sais que ça va pas te faire rire, parce que quand tu ris, tu simules, comme pour tout, mais :
RépondreSupprimer"j'arrête de bouare, aujourd'hui", car il n'est JAMAIS trop tard pour RIEN."
fin
pi un jour, j'écrirai TOUTE LA VéRITé, dans le désordre, et en plus du reste, mais sur un petit carnet rodhia qu'il faudra venir me voler dans ma planque, et pas sur internet. et un soir, à moscou, dans 153 ans, un vieux pépé de la mafia qui n'a que 107 ans à l'heure ou je te parle (02h44, neuf février 2013) se pourlèchera les babines en regardant son agent lui rapporter l'original UNIQUE de MON oeuvre, au dernier étage d'une tour high tech un peu délabrée et sentant le pipi de chat, dans la pénombre de son dernier asile terrien. avant son décollage
RépondreSupprimerj'ai pas du tout envie de rire. Si tu le fais tout de suite comme tu dis et non attendre à demain ou après demin, ça pourrait marcher. Un jour ça va marcher, tout comme quand on veut se mettre à la diète.
RépondreSupprimerbon, alors on s'y met, tout de suite. et fini d'emmerder les braves gens et d'insulter les fanatiques, pi retour des valeurs humaines au premier plan de mes préoccupations sociales.
Supprimerça va chier!! maman-pithye va être contente. elle m'a prédit dans les années 90 que je deviendrai jardinier, un jour.
"let's go!" (the ramones)
tu sais, c'est con de vouloir devenir le bukowski français. une très mÖvaise idée. il avait déjà du mal à être lui, alors pourquoi vouloir lui ressembler ? pi un mec qui pikole et à qui il n'arrive que des déboires, c'est pas hyper marrant... en fait, c'était un pêtit bourgeois moyen de son époque, et qui se croyait malheureux, ou ne voulait pas devenir simplement heureux, avec pas grand chose, comme nous. est-il nécessaire de voyager dans la vie ?
RépondreSupprimersi ça m'arrive encore un jour, je sais vraiment pas ou j'irai.
on se complike trop souvent les choses dans la vie, aussi.
pi je pense pas que j'écrirai la vérité nulle part. et toute façon, soit les gens sont au courant, et font avec, soit ils n'y croient pas et ils s'en foutent. pi je me dis que si MOI, suis au courant de certaines petites choses, ben c'est surtout qu'énormément de gens sont surement au courant de trucs vachement plus bargeot que moi. et le jardinage, c'est pas plus con que la bourse, ou le tiercé. et les films d'araki, ils sont pas plus cons que les films de bergman, et d'abord, les films, c'est du cinéma, mais tu vois, parait que les ricains, générations après générations, ils ont tellement regardés de films et de télé, qu'ils finissent par penser qu'ils vievent sur un plateau de cinéma, kekpart, pi qu'y aurait pas de frontière entre fiction et réalité, etc... et vu qu'on est un peu devenus ricains, génération après génération...
bon sens, réré, je suis mÛr pour la retraite, avant l'heure. me demande si marie tricotte encore des écharpes, comme elle avait commencé, à moment donné. j'aimais bien aller lui acheter sa laine, elle me donnait une liste de pelottes numérotées. ça, c'était utile. c'est le genre de détail qui rendait mon existence encore supportable, quand je me sentais utile en allant lui acheter ses pelottes de laine. les cons trouveront ça dépassé et débile, vieux jeu voir même "macho", le tricotage, mais ce qu'ils devraient plutôt comprendre, c'est qu'en attendant la liberté, elle avait besoin de s'occuper les mains, la petite. et de faire des trucs. mais tout ce qu'on lui proposait ailleurs c'était de fermer sa gueule et de se laisser dépérir dans sa chambre au plafond troué......bref. elle avait beau être un piège, je l'aimais bien. c'est juste que certains ont des projets de merde, concernant d'autres gens, et qu'ils aiment bien te baiser afin de "t'expliker la vie, la vraie" (comme si on n'était pas déjà au courant, et qu'il fallait en remettre une couche pour te sentir encore plus écoeuré! sacré méthode! vraiment brillante!). moi, j'ai un peu cherché à la comprendre, mais pas comme il aurait fallu, c'est tout. pi lire des livres pour comprendre la misère, c'est pas assez, etcetc.
allé, adieu
chuis en sevrage 9/02/2013
ha oui, et aussi "je n'ai jamais vraiment pensé ce que je disias, mais j'essayais tant bien que mal d'imiter les autres humains, en bon singe"
RépondreSupprimermais ce que je finis par comprendre, c'est que la plupart ne savent rien, et pareil pour les élites. et qu'ils sont souvent motivés par des trucs dérisoires comme survivre, manger, et baiser. et que ça se complike à partir du moment ou ils ont encore du temps pour faire autre chose entre deux repas et deux histoires d'amour. et que des fois, ça se complike de manière plutôt abracadabante. et moi, je voulais pas faire des études de cinéma, mais devenir cuistot. mais comme j'étais intelligent et que j'avais d'énoooOOOrmes possibilités, on avait fini par me faire étudier l'art, (dont j'avais pas grand chose à foutre, vu que ma principale préoccupation, déjà, à l'époque, restait mon zizi, et de savoir comment le faire accéder socialement à son rôle de géniteur de mes futures amours) mais ça, est-ce que ce fut une bonne chose??
allé, vive la retraite.
moi, ce que je vois, c'est que depuis qu'ils ont arrêté les électrochocs, je n'ai plus vraiment de mal à compter ma monnaie à la caisse, après les courses. et rien que ça, c'est un changement énormément positif.
RépondreSupprimerfin
l'humanité, ou la vie en général valent peut-être la peine qu'on se donne au moins un peu de mal pour elles, sans masochisme
RépondreSupprimerj'en ai marre de la honte. mais j'aime pas non plus être fier comme un coq. et en même temps, j'aime pas qu'on se moque. je suis à la fois orgueilleux et très simple. mon orgueil, ça tient plutôt du fait que je me sentes intimement blessé par des petits riens, parfois
RépondreSupprimeret tu le croiras peut-être pas, mais j'aime pas spécialement parler de moi ni me maitre en valeur. je suis même un peu "masochiste" comme on dit, je crois bien, oui. pas dans le sens d'aimer se faire battre par une nana, mais dans le sens ou se sentir bien serait la preuve que je serais égoïste quand à la misère qui règne encore sur le monde. c'est un mode de pensée qui m'a énormément perturbé pendant très longtemps.
en même temps, je ne suis pas d'accord avec l'idée qui veut que la culpabilité soit systématiquement de la merde. car nous vivons en société, et pas en l'état de nature, comme les enfants sauvages
RépondreSupprimerune fois, quand j'étais ado, on m'a offert un sweet-shirt rose fluo. c'était la mode de la marque "poivre blanc", une marque de vêtements au coloris assez pétants, et tous les petits cons étaient habillés en "poivre blanc" au collège, sauf les plus pauvres, qui n'avaient pas les moyes. je trouvais ça con. en plus, ça coutait soi-disant très cher, etc.. mais ma mère avait cru me faire plaisir en m'achetant ce putain de sweet-shirt rose, "imitation poivre blanc", et me faisait des scènes pour que je le porte, et qu'elle l'avait pas acheté pour rien, etcetc! et donc, j'étais déjà plutôt "mal dans ma peau", mais en plus, alors, c'était une raison de plus de me faire traiter de tapette. un sweet-shirt, ROSE FLUO!! pendant des années, j'ai porté contre mon gré ce PUTAIN de sweet-shirt qui me filait LA HONTE!! et ça m'a marqué jusque dans mon rapport avec les filles, biensur! aucune d'entre elles ne voulait de moi, parce qu'en plus d'être épileptique et "un peu félé", maintenant, j'étais devenu une tapette! (j'avais un autre sweet-shirt, violet foncé, plutôt moche à l'époque, avec une banane jaune dessinée dessus, mais que je préférais largement à cette horrible sweet ROSE FLUO!!!
RépondreSupprimerquelques années avant, ça avait été la mode des joggings adidas, tout le monde voulait des jogging adidas, et contrairement aux putain de sweet-shirts "poivre-blanc", que je trouvais moches, j'aimais bien le design des jogging adidas, qui portait des noms de navettes spatiales américaines, si je me souviens bien. mais y'avait ces gros cons qui se foutaient de ma gueule, parce que je portais un jogging pas de marque, et me traitaient de paysan en plus de me faire des misères à chaque fois qu'ils le pouvaient, et qui étaient tellement fiers de leurs putains de joggings adidas, qu'il avaient fini par me dégouter d'en porter. même que mon père avit voulu m'en payer un, mai que j'avai refusé. en fait, j'en ai eu un, plus tard, mais la mode était passée.
les seuls vêtements que j'ai vraiment aimé porter, c'était des jeans. rien d'original. juste un jean droit, normal. bleu, un rien délavé. mais la encore, y'avait des tarés qui me traitaient de paysan parce que je portais pas de JEAN LEVIS 501, mais un jean pas de marque. les mêmes dingues qui se foutaient de moi avec ces conneries sur les survêtement adidas... bande de tarés!
RépondreSupprimerc'est bien plus tard, au lycée, que j'avais commencé à me laisser des trous aux genoux, en plus de me laisser pousser les cheveux comme un hippie, et à ne pas me peigner. quand je commençais à écouter led zeppelin, hendrix, et les rolling stones, à m'intéresser au rock et à la rébellion, afin de masquer la honte de mon zizi ROSE, et à laisser tomber progressivement la daube FM. mais j'avais déjà 19 ans. mon père avait toujours écouté pink floyd, à la maison, mais là, je commençais à lui braquer ses cassettes et ses vinyls. et il avait même un led zep, et vu pink floyd et led zep à paris, en 1969!! je n'étais pas encore tout à fait alcoolique, mais ça commençait à venir. je n'attendais pas forcément d'être en compagnie pour commencer à boire, et avait BESOIN de me mettre en condition avant de sortir, le week-end. et entre midi et deux, j'allais boire une bière ou deux au bar pas loin du lycée, parfois. c'est quelques années plus tard que je commençais à ne plus me lever, et progressivement, ne plus me laver régulièrement. on commençait à me dire que je sentais mauvais, parfois. je me sentais mal en permanence.
une fois, je me suis bourré la gueule parce que j'avais rendez-vous à l'anpe, pour un entretien. et que je ne supportais pas l'anpe, parce que c'était toujours rempli de monde! en fait, j'avais besoin de boire à chaque fois que je sortais de chez moi. bizarement, j'ai jamais été attiré par les acides, ou les drogues autres que l'alcool.
RépondreSupprimerniveau godasses, mon truc, c'était les nastases nylon adidas. je ne voulais porter que ça. quand on me demandait quelle marque de chaussure je voulais, c'était des nastase! mais une fois, on m'avait obligé à porter des lendl-adidas, sous prétexte que c'était plus solide, en cuir, et que ça sentait moins mauvais. manque de bol, un chat était venu pisser sur cette putain de paire de LENDL adidas, une nuit que je les avais oubliées sur le paillasson, devant la maison. résultat, niveau odeur, j'avais tout gagné! maintenant, en plus de me faire mal aux pieds, mes godasses sentaient la pisse de chat! et IMPOSSIBLE de virer cette putain d'ODEUR de PISSE DE CHAT, même après avoir passée la paire plusieurs fois à la machine! mais comme c'était trop cher, pasq uestion d'acheter une autre paire avant que celle ci ne soit usée, biensur!! et donc, pendant des mois, je fus aussi le CRADO QUI PORTAIT DES CHAUSSURES QUI PUAINT LA PISSE DE CHAT!! on m'affubla du surnom de "LE PISSEUX", dans la cours. je détestais donc d'autant plus les LENDL adidas, qu'en plus de me faire mal aux pieds, elle étaient un sujet de honte et de brimades renouvelées, comme cette ordure de putain de sweet-shirt ROSE FLUO imitation poivre-blanc!
RépondreSupprimerdès que je pouvais, je remettait ma vieille paire de nastase adorée. même trouée, c'était toujours mieux que cette merde de paire de LENDL qui puait la pisse de chat.
les gros cons qui se foutaient de moi a cause de mes vêtements pas de marque disaient que les nastase étaient des chaussures de NASE, parce nastase/nase = hyperdrole!! mais pourtant, je continuais à bien aimer mes nastases. malgré ce qu'en disaient ces abrutis débiles et sadiques.
RépondreSupprimeret moi, je voulais des jeans, des nastases, des vestes en jean, et rien de plus. un mec bleu délavé, en jean, et qui n'écoutait même pas de hard-rock. mais en plus des snobinars intégristes de merde du collège, maintenant, voila que mes parents commençaient à me dire que je m'habillais toujours pareil, et que je devais changer, varier un peu les couleurs, me chausser avec des chaussures de ville, des mocassins en cuir, ou ce genre de conneries que je détestais.
RépondreSupprimerrésultat : en plus de me sentir mal et pas adapté, on me volait aussi mes gouts et mes couleurs, en y foutant du ROSE FLUO, et m'obligeant à porter ces merdes de mocassins ou de putains de chaussures de ville en cuir que je détestais!
connars! qu'est-ce que ça pouvait bien vous foutre que je sois toujours habillé pareil, avec mes blue-jeans et mes pulls de laine, et mes nastases que j'aimais, même trouées, bien plus que vos sales mocassins à la con!! les tarés de sadiques du collège n'étaient pas suffisants à supporter! maintenant, il fallait que je portes VOS Vêtements, VOS COULEURS et VOS goûts de chiotte!
vous m'avez DETRUIT!!!
tiens, puis je vais aller foutre ces paires de jeans NOIRS à la poubelle. qu'est-ce qui m'a donné l'idée de m'habiller en noir ? ha! oui! j'étais en DEUIL! bien, ben je le suis plus! et je suis pas croque-mort, non plus, juste les mec bleu délavé. y'avait même un petit crétin qui m'appelait le "bleu délavé", parce qu'il me trouvait nase et hasbeen de toujours m'habiller pareil! est-ce que je me mélais de dire ce que les gens devaient porter ou pas, moi, bordel! keske ça pouvait bien foutre aux gens comment s'habillaient les autres! c'est comme les pin's et les rubik's cube, j'ai jamais aimé ces conneries! y'en avait, ils leur fallait des tonnes de pin's partout sur les vêtements! moi, je voulais pas ETRE DIFFERENT, je m'en foutais bien d'ETRE DIFFERENT, j'aimais pas ça, leurs trucs, c'est tout. NUANCE!! j'avais quand même le droit de ne pas aimer leurs putains de coloris FLUOS, NAN ?? mais ça, ça les faisait chier! et après, des années plus tard, on te me sort des conneries comme quoi je serais un fasciste, ou un PETIT HITLER, rien de moins, parce que je voulais m'habiller A MON GOUT, et pas POUR ETRE DIFFERENT, mais parce que JE M'AIMAIS MIEUX EN BLEU Délavé qu'en PUTAIN DE ROSE FLUO!! et que les nastase, j'aimais ça, parce que quelque part, c'était MOI, aussi, NON ?? et donc, vous m'avez volé mon MOI avec vos putains d'histoires de coloris et de COULEURS CRIARDES A LA MODE! et MOI, mon VRAI MOI, il est pas du genre à chercher à péter plus haut et plus fort que les autres, mais plutôt, à passer inaperçu et pas se la péter. MOI, je suis du genre HUMBLE, et plutôt BIENVEILLANT ENVERS MES FRERES HUMAINS, à la base, mais ça, ça devait vous emmerder, peut-être, aussi! comme quand je ne riais pas de vos blagues sur les camps de concentration, dans la cours de récré, parce que je trouvais ça MECHANT!! NON Mé HO!!
RépondreSupprimeraujourd'hui, j'ai honte. parce que j'aie été une merde, hier, avec cette putain de pikole de merde. comme quoi, la culpabilité, c'est pas forcément une chose qui t'empêche de penser, mais aussi, parfois, qui te rappelle à l'ordre quand à tes mÖvais agissements. et moi et l'alcool, ça a toujours été comme ça. après, je règlerai mes problèmes de zizi, si on me laisse le temps, et de mÖvais régime alimentaire, aussi. peut-être mêm de contact humain. la crasse, c'est comme la drogue, on finit par y prendre goût au point que ça devient une partie intégrante de votre personalité, et ça finirait par la bouffer toute crue si au fond, on n'avait pas gardé le souvenir d'avoir été quelqu'un d'autre qu'un porc, un jour. avant de tomber malade
RépondreSupprimeret tu sais pourquoi ma paire de LENDL adidas me faisait mal aux pieds ? ben parce que le jour ou on était aller l'acheter, j'avais pas osé dire qu'elles étaient trop petites au marchand, ou simplement, pas senti en les essayant, ou chépas, parce que j'étais trop timide pour ne serait-ce que prononcer un mot. en fait, j'avais une sainte horreur de ce genre de choses, aller acheter des vêtements et devoir les essayer, parfois dans des cabines. la seule idée que j'avais en tête dans ces moments là, c'était que je voulais plus que tout être autre part que là, car c'était LA HONTE! on me faisait chier en permanence avec ces histoires d'accoutrement, et que je savais rien faire, etc! on m'avait tellement dit que je n'étais même pas foutu de me lasser les godasses, et que je finirais "sous les ponts", que quand mes lacets se défaisaient, parfois, dans la cour de récré ou ailleurs, j'étais d'abord pris de terreur, mais ensuite je faisais semblant de ne pas avoir vu qu'ils étaient délassés, parce que j'avais une HONTE ENORME de redevoir nouer les lacets devant tout le monde, encore une fois. et tu sais quoi ? ça n'arrivait qu'à MOI, et je me demande bien si celà ne faisait pas déjà partie de ce putain de mÖvais sort qu'on m'avait jeté, parce que mes lacets se défaisaient tout le temps, et j'étais incapable de savoir les nouer correctement. et pour me moucher, c'était pareil. on m'avait gueulé dessus tellement de fois en disant que je ne savais pas me moucher, que j'étais crade et que je finirais "sous les ponts" que je ne savais pas me moucher correctement. et du coup, je passais mon temps avec la morve au nez et la HONTE quand j'étais malade. car je ne savais pas me moucher, ou avais peur de faire du bruit, ou que ça dégouline le long du mouchoir... et du coup, on m'appelait "le morveux", et c'était encore LA HONTE.
RépondreSupprimervers mes 18 ou 19 ans, j'ai flashé sur le "their satanic majesties request", des stones, qu'on avait acheté en commun en version CD avec un copain lui aussi fan de musique de hippies. il m'avait fait une cassette, parce que j'étais resté assez longtemps "anti compact disque", et avais refusé d'acheter un lecteur cd pendant plusieurs années. mon père écoutait en boucle le "you're under arrest" de gainsbourg, qui me paraissait à la fois sexuellement louche et complètement ésotérique, car rempli d'un vocabulaire et de jeux de mots auxquels je ne comprenais que dalle, dans la bagnole, et je commençais à l'emmerder en m'incrustant avec ma cassette de "their satanic majesties", mais moi, cet album m'envoyait dans mes marques à moi. qui me permettaient un temps de m'évader de mes angoisses libidinales et de mes HONTES successives de semi-mongolien attardé ne sachant toujours pas se moucher en public.
RépondreSupprimerl'autre histoire de VRAI, encore, à propos des LENDL adidas, c'est que quand la première paire a été usée, on m'en avait achetée une seconde, genre un an après. et tu sais quoi ? REBELOTTE!! un chat était une nouvelle fois venu pisser sur mes godasses, pendant la nuit! mais j'en avais vraiment eu marre de me faire traiter de "pisseux", au collège, cette fois-ci, et du coup, m'étais résigné à porter parfois ces mocassins marrons qui ne m'allaient pas dutout, et était doté de semelles tellement lisses que je passais mon temps à faire gaffe de ne pas glisser et de me casser la gueule tellement c'était VRAIMENT des chaussures MAUDITES. et quand je dis "maudites", hein ?
RépondreSupprimerqui sait, hein ? me souviens que j'avais eue la sensation qu'on m'avait jeté un mauvais sort avec ces histoires de LENDL adidas, et pourtant, j'étais loin d'être supersticieux, tu peux bien le croire. même que je ne croyais pas DUTOUT a ces histoires de sorcières, à l'époque... mais là, décidément. ça commençait à faire beaucoup, non ?
du coup, on avait du aller voir un cordonier, et il m'avait fixés des trucs en dessous de ces godasses, des sortes de petits crampons en métal. mais là encore, ça recommençait à faire marrer les copains, car en plus de tout le reste, maintenant, à chaque pas que je faisais, ça faisait un petit bruit métallique, surtout sur le carrelage... et en cours d'EMT, y'avait du lino dans la salle de classe, et le prof de l'époque avait exigé que j'enlève mes chaussures parce que ça rayait le lino, et le crevait quand je marchais dessus. du coup, en cours de cuisine, je me retrouvais en chaussettes devant tout le monde dans la salle de classe, et comme je sentais énormément des pieds, tu comprends bien que ça rajoutait encore quelques ingrédients supplémentaires à la sauce...
RépondreSupprimerla sorcellerie, c'est un travail d'usure. tout le monde n'a pas la chance de subir des trucs radicaux comme le poison, ou la balle dans la tête de JFK. sont bien plus fins en investissements à longs terme, dans certains cas.
RépondreSupprimeralors après, quand une débile de chez eux me traite de "monsieur", tu comprends. en fait, je pense être quelqu'un de plutôt cool. j'ai commis certaines erreurs, mais pas tellement par rapport à ce qu'on m'a mis dans la tête en retour. c'est mon point de vue sur la chose. leur truc, c'est que leur haine est "invisible". et ils peuvent pourrir la vie des gens, ni vus ni connus, et profiter de leur gentillesse ou de leur naïveté. ils méprisent les gentils, qui pour eux sont des sortes de sous-hommes.
RépondreSupprimerleur truc, c'est la haine.
c'est le poison de l'humanité. rien de moins.
y'as pas de quoi rire, t'as raison.
et leur réponse toute faite à ça serait de dire que ce serait l'humanité, le poison. mais disons qu'en tant qu'empoisonneurs de l'humanité spécialistes des incitations à la décadence à la chaine, ils auraient quand même aussi un énorme bagage, niveau responsabilité des débilités générées par leurs expériences. mais disons aussi qu'ils aiment, ça. et ça, j'ai toujours pas compris, ou plutôt, pas intégré ce concept
RépondreSupprimeret si tu étais un bukowski français sobre, tu pourrais écrire quand même ? Pask'en fait quand t'es saoul tu n'écris pas, tu postes juste des liens youtoube. À jeûn, on a droit à tes joulies histoires. Tu pourrais réfléchir à ça pendant ta nouvelle retraite, qu'elle soit temporaire ou non.
RépondreSupprimerTu manges quoi pour le repas de ce soir ? Juste par curiosité.
patates en sauce. sauce maison, que j'avais stérilisée en bocaux en septembre 2011 (merci l'étiquette). vec tomates, oignons, cucurbitacées maison venant du jardin, courgette, citrouille, agrémentées de lardons achetés au supermarché. une sorte de ratatouille, recette perso plus ou moins improvisée mais dont je fus loin d'être déçu en la savourant quelques mois plus tard. j'en avais fait une dizaine de bocaux à l'époque.
Supprimerha, ouais, pi à propos de cet IGNOOOOOBle sweet shirt ROSE FLUO, tsé quoi ? ben je l'aimais tellement pas, qu'une fois, m'étais débrouillé pour d'abord, le déchirer, par endroits, et pour ensuite, carrément le poser sur le radiateur de ma chambre dont j'avais foutu le termostat sur la position chaleur maximum, pour cramer cette ordure de sweet-shirt! et ça avait marché! j'avais cramé cet infame swett-shirt au point qu'il avait un gros trop entouré de traces de carbonisation, dans le dos, et était alors devenu une telle loque que je ne pouvais plus vraiment le porter décemment! VICTOIRE! j'avais NIKé cette ordure de sale sweet-shirt ROSE FLUO, et retrouvais avec un ENORME SOULAGEMENT mon autre sweet, le petit moche violet foncé avec la banane jaune déssinée dessus, et qui m'allait trop court au niveau du bide. et ça marcha alors ainsi quelques jours, et m'étant débarasser de ce motif quotidien de brimades répétitives, (malgré les godasses LENDL adidas qui sentaient la pisse de chat que je portais toujours) j'avais profité de ces quelques jours de répis qui m'avaient permis de souffler un peu. mais tu sais quoi ?
RépondreSupprimerben la meilleure idée qui soit venu à ma mère, pour remplacer cet immonde sweet-shirt ROSE FLUO que j'avais cramé sur le radiateur de ma chambre, fut de me racheter EXACTEMENT LE MÊME, en DOUble, dans les jours qui suivirent, et de se remettre à me traiter de têtu, et d'ingrat, et de me refaire des scènes à la con pour que je mettes cette saloperie de sweet dans lequel j'étais "SI MIGNOOOOOONNN", et qui était tellement si joli et A LA MODE!! et donc, voilà aussi L'ORIGINE DU MAL! et aussi la raison pour laquelle je hais un peu la vie, et aussi pourquoi je trouve que Christine Dufour, malgré tout le talent qu'on lui doit, reste à mes yeux un rien superficielle en traitant kurt cobain de sale con, dans l'une de ses interviews. parce que le pauvre kurt, il savait lui aussi ce qu'étaient les brimades et la méchanceté ordinaire, et comment ça finissait pas vous user à la longue. comme pour la fois ou, alors qu'il était ado, et sans expérience avec les filles, il était sorti avec une nana un peu débile et moche que tout le monde rejetait plus ou moins, mais que lui, trouvait quand même plutôt sympa, bien qu'un peu bizarre. ben résultat des courses, il avait fini lynché par les gens de son collège sous prétexte d'avoir abusé d'une handicapée mentale limite mongolienne. une belle connerie, hein, entre autres ?
ET CECI EST UNE HISTOIRE VRAIE!!! comme pour celle des OIES!!
et celle DES ABEILLES elle est vraie ? PAske 38 pikures, t'aurais pu y rester et ne plus être là pour nous raconter des histoires à la Buko !
RépondreSupprimert'ai déjà dit que j'étais pas sûr des 38 piqures, mais il me semble que je m'étais arrêté de compter à 18.
Supprimerbuko, à ce que j'en sais, en plus de l'alcoolisme qu'on a en commun, il avait lui aussi certains problèmes en relations avec les tondeuses à gazon..
pi bukowski, qui était au fond un "tendre puritain", comme il l'avouait lui-même chez pivot, avant de sortir son couteau de poche dans les vestières, une fois sorti de scène, l'autre point commun qu'on avait, lui et moi, en plus de mal supporter les gauchistes, c'était de penser que notre lectorat était en grande partie composé de crétins. mais bon, étant devenus nous-mêmes des crétins après qu'ils aient "tué le cheval sous nous", on admettait biensur qu'il était aussi certainement "ridicule de rafistoler un vieux poème en buvant de la bière tiède", et qu'il valait peut-être mieux "avoir des rêves d'empire, nos gros bides blancs collés contre le ventilateur"...
Supprimertu vois, si j'aime bien écrire toutes ces conneries, aussi, c'est qu'elles sont en fait chargées de toute une petite symbolique aussi bien critique qu'autocritique, en filigrane, et que la vraie histoire du monde, c'est aussi celle qui raconte que des gens n'ont pas forcément besoin de subir d'énormes déflagrations traumatiques dans la gueule, genre viol collectif, ou avoir été un enfant soldat africain drogué aux acides pour péter les plombs, ou avoir eue leur vie en grande partie gachée, mais aussi, parfois, de n'avoir pas su surmonter le détail apparemment anodin et sans conséquence d'avoir dû accepter contre leur gré d'être habillé en ROSE plutôt qu'en BLEU, durant leur jeunesse DORéE. et c'est absurde et con.
RépondreSupprimerc'est sûr, et souvent même pas besoin d'un événement extérieur, un élément déclencheur pour péter sa coche. Parfois ça se passe juste à l'intérieur de nous.
RépondreSupprimerc'est dommage que Chinge n'ait pas compris toute la symbolique derrière tes écrits et qu'il t'encule.
SupprimerEn passant, une grosse différence entre toi et Buco, toi tu es beau physiquement mais pas lui. Lui a l'air d'un gros alcoolo fumeur de clopes mais pas toi, tu gardes ton visage d'enfant à peine ridé
juste à l'intérieur de nous, ça, j'y crois pas trop. même que j'irais jusqu'à dire que c'est quelque chose qui n'existerait pas vraiment, "juste à l'intérieur de nous", ou si peu. ou disons plutôt que ce serait quelque chose qui se travaille, mais que dans mon cas, ce serait plutôt resté en friches depuis le début, ce petit bout de terrain.
Supprimermais tu sais quoi, à propos de buko ? lui, il a souffert d'allergie, et a eue sa gueule ravagée par une maladie de peau à l'adolescence, qui le faisaient ressembler à un elephant man à bubon, en plus des histoires de tondeuse à gazon. mais moi, mon mal et ma honte, c'était ne pas voir eue de crise d'acnée, et de me demander encore à 18 ans quand allaient enfin un jour pousser mes poils de couille et ma barbe, parce qu'à 20 ans, j'étais encore pratiquement totalement imberbe. et ça m'inquiétait salement, en plus de ces rumeurs fausses lancées par les deux idiots malveillants qui prétendaient que j'avais un tout petit pénis, et qui m'avaient arrachée ma serviette de bain devant tout le monde à la piscine, aux vestiaires.
mais tu vois, le truc avec les poils, c'est que le jour ou j'avais découvert qu'une petite touffe s'était mise à pousser sous mon bras gauche, j'avais été rudement content. mais en contrepartie, j'avais aussi bien vite déchanté en me rendant compte que que ça correspondait à l'émergence de ces sales odeurs de tomate pourris, et que ma sueur, jusque là quasiment inodore, se mettait à se charger d'effluves de plus en plus désobligeantes.
mais c'est comme pour ces histoires d'odeur de pisse de chat. parait qu'avec un mélange de jus de citron et d'autre chose, on arriverait à les dissiper. c'était une sorcière qui, aillant "lu dans mon passé" (en fait, peut-être tout simplement membre d'une branche "ésotérique" des renseignements généraux, ou un truc dans le genre), m'avait parlé de cette histoire de jus de citron, bien des années plus tard... en ricanant
si Chinge avait passé moins de temps à vouloir me sodomiser, j'aurais peut-être moins bu et moins été consommé par les drogues dures pornographiques. et il ne m'aurait pas pris pour son babouin, car j'aurais fait du fric, achetés des millions d'hectares de terre, et aménagées des centaines de zones paradisiaques sans plastique ni pollution sur toute la surface du globe. que du bio. et j'aurais achetés les services d'un génie généticien-informatique new-age, avec l'aide de qui on aurait répandu des ondes bénéfiques virales sur toute la planète grace à internet et aux ondes radio. et les énergies mÖvaises se transformeraient immédiatement en positives vibrations, au contact de cette nouvelle maladie incurable. et ce soir, il serait lui-même en train de dormir paisiblement sous un arbre, un sourire tranquille sur la face, après avoir mangées des mangues et de la salade verte, plutôt que de triquer du noir en fulminant comme un damné au fin fond de sa tannière sombre et insalubre.
Supprimerdis lui bien ça!
adieu!
en fait, quand je dis que j'étais plutôt bienveillant à l'égard de mes frères humains, ce n'était vrai que dans les circonstances consistant à ne pas trop tolérer qu'ils se fassent du mal entre eux, ou soient méchants entre eux, ou que les plus gros se foutent sur le dos d'un faible pour l'humiliern car je me disais qu'un jour, il pourrait à mon tour m'arriver d'y passer. mais disons qu'il m'arrivait aussi de plus en plus souvent d'être aussi "méchant", de mon côté. mais la plupart du temps, ça reste platonique, comme genre de délire. et si plus tard je refusai d'adhérer à des systèmes de gangs ou de conneries dans le genre, c'était plus par lacheté ou manque total d'ambition personelle que par esprit de rigueur ou d'entretien d'un lien fidèle avec mon fond de pure probité idéologique. hein ? on est bien d'accord ?
RépondreSupprimerbienbien.
ceci dit. y'en a encore qui se marrent, dans ton coin ? ou toute la ville est en feu ?
dans mon coin c'est plutôt un froid glacial et non du feu. On se les gèle câlisse....
RépondreSupprimerfais-toi un thé ou une soupe, ça compense de la chaleur humaine manquante à l'appelle. ça manque d'ondes alpha, mais c'est déjà ça de gagné.
Supprimeron a le droit d'y croire, même si c'est voué à l'échec par la crapulerie du monde, non ? sinon, ça sert à quoi de continuer, hein ?
RépondreSupprimeradieu
le truc qui cloche avec ceux qui prétendent qu'on ne fait pas de politique avec de bons sentiments, ce serait aussi qu'en fin de compte, ils finiraient par anihiler toute forme de bon sentiment, à la longue. comme de dire que la faute des malheurs du monde serait celle des déviants, alors que ce serait leur système qui persisterait à créer des déviants, et poserait un regard chargé de leur propre pesanteur intérieure sur les ambivalence des autres. et qui serait loin d'être sans effet.
RépondreSupprimerallé, amen
la faute incube aussi à ceux qui s'amusent à modifier nos patrimoines hormonaux. et ça a commencé dans le coeur des soleils, toutes ces histoires, bien avant que ne déboulent les séries érotiques diffusées sur M6, le dimanche soir, dans les années 90, après minuit. le bouddha n'est pas plus ridicule que culture pub. on n'est pas nés avec une cigarette à la bouche, quoique..
RépondreSupprimerre-amen
j'aime pas le thé mais j'adore les breuvages chauds, comme les bouillons et même de l'eau de riz. C'est délicieux avec du sel. Je l'aime bouillante. Du chocolat chaud aussi, mais seulement quand je ne suis pas à la diète car je l'aime bien sucré et avec du lait.
RépondreSupprimerOui faut y croire, tant qu'on est en vie et qu'on vit !
Qui sommes nous pour décider de ce qui est déviant ou pas ? Tu vois je m'améliore, je ne porte plus de jugements, même pas sur moi-même. Je suis zen.
si on peut s'astreindre à vivre comme Bouddha, je suis certaine qu'il y a du bon, dans le fond c'est une excellente philosophie de la vie. Mais tu sais ce que ça comporte n'est-ce pas ? PLUS D'ALCOOL, PLUS DE CLOPES, PLUS DE SUCRE et quoi encore ?
SupprimerPLUS DE PORNO.
Supprimerle seul truc autorisé en tant que petit bouddha stagiaire serait d'écouter france musique, en semaine, et parfois, un peu de dream-pop et de shoegaze. ou d'autres formes de musique pop le week-end, mais sans abus, car attention. ça peut très vite repartir en couille en stimulant certaines zones de notre cerveau sans même qu'on s'en rende compte, ce genre de petit jeu.
pi limiter aussi la consommation de cinématographe à un seul film par semaine. afin de réaménager progressivement ses propres champs oniriques, et éviter la pollution audiovisuelle, selon les nouvelles normes en vigueur.
la discipline, ce n'est pas forcément le fascisme, mais tout simplement le goût de retrouver une certaine hygiène de vie salutaire. et ça passe avant tout par ce que l'on consent à mettre dans son assiette.
on va y arriver!
pi pas écouter les petits malotrus qui te traiteraient de sale petit curé faux-cul et sainte-nitouche. paske s'ils veulent jouer au jeu de la mauvaise langue de pute insidieuse, ils devraient se méfier de l'échos monstrueux qu'ils pourraient très bien engendrer en retour dans leur gueule.
Supprimermais bon, là, je recommence à m'embaler... ZEN!
1 : remplacer le sirop de menthe chimique par du citron pressé. ou de la tizane.
RépondreSupprimerleur soi-disant philosophie, et sa mise en pratique, leur volonté de puissance, et l'exploitation de leurs visions d'avenir, c'est aussi, pas seulement ça mais aussi, une forme de drogue qui alimente une obésité de l'esprit. rien de plus. et qu'ils gagnent ou perdent contre les soi-disant sous-hommes n'ayant pas adhérer à leurs techniques ou ne s'étant pas soumis à leurs désirs de domination ne changera rien à ce simple fait. leur science, et leurs facultés, c'est aussi une autre forme de carence. rien de plus. et qui renouvelle d'autre formes d'appétit. on m'a dit une fois que j'avais des facilités, et des aptitudes supérieures à la moyenne dans ce domaine, mais j'ai pris ça pour une flatterie. et pour moi, ça restait aussi du vent, ou une sorte de cadeau empoisoné, leur prposition d'adhérer à leur truc. c'est juste une forme "supérieure" de folie, à mes yeux. et ça fait partie de ces engrenages de la vie que l'on se devrait d'enrayer, plutôt que de les développer, selon ce que j'en pense. et je n'en sais pas plus qu'un autre. tout ce que j'aurais voulu, ç'aurait été mieux m'entendre avec les autres humains. puis enrayer leurs souffrances. parce qu'il me semble que leurs malheurs viennent de là. et malgré toutes les sciences et techniques développées, le problème reste encore le même, aujourd'hui. une question d'équilibre et de comment gérer les souffrances des hommes, afin qu'ils puissent vivre en société sans avoir à s'entretuer.
RépondreSupprimeret je n'ai aucune leçon à donner à personne. leur souhaite seulement d'être moins dingues, et d'arrêter de se faire du mal. parce qu'y en a déjà eu bien trop comme ça.
dès qu'il ya un système qui se forme, peut importe lequel, même si c'est supposément pour le bien, il y a toujours des crottés qui en émergent. Ita est comme disait l'autre.
RépondreSupprimerresterait quand même une différence entre les "crottés" naturels, et ceux fabriqués intentionellement par ce système en vue de maintenir sa rentabilité. dans le deuxième cas, c'est grotesque.
RépondreSupprimertous les systèmes ne sont pas les mêmes. y'en a qui ont le don de fabriquer des quantités industrielles de déchets, (dont des humains, alcooliques ou stériles, malades, débiles, un peu comme moi quand je subis ce genre de logique) et d'autres, dont le but n'est pas de produire à outrance en ne tenant pas compte des retombées, mais de respecter une certain équilibre. c'est un fait
y'a belle lurette que les humains ont inventé les technologies et détiennent les connaissances qui leur permettraient de vivre en harmonie avec le monde et de subvenir à leur propres besoins essentiels de base sans avoir à subir l'esclavage et la lobotomie collective dont ils sont victimes.
RépondreSupprimerça aussi, c'est un fait.
mais tes élites continuent à tout faire pour dissuader les gens d'accéder à ces progrès qui leur permettrait de vivre de manière bien plus épanouie et enrichissante. et dans quel but ? afin de préserver égoïstement leur influence et leurs intérêts ayant pour fin leur domination sur le monde des hommes. c'est aussi un fait.
alors continuez bien à fabriquer des "crottés" à la chaine, toi et tes copains, mais surtout, ne revenez plus m'emmerder en me donnant des leçons d'hygiène, plus tard. adieu
y'en a marre de toutes ces conneries.
RépondreSupprimerfin
Quoi ? Ça marche encore ce blogue ? Eh ben ! Faisait un bail que j'étais venu. Dans le temps que Patrick Duval était l'alter ego romantico-érotico humoristique de Patrick Courval, qui fraye avec les grands de l'humour québécois maintenant. Je savais qu'un jour, on allait en tirer quelque chose de bien.
RépondreSupprimerPas moi, je ne croyais pas en lui plus que ça. Et oui ça marche encore ce blogue ! Faut pas lâcher :)
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