Reviens JP ! Moi je te pardonne. Je peux pas parler pour la rouge, quand elle passera....pour le moment viens nous écrire des poaimes et soi le JP gentil que l'on aime. M. Gentil quoi.
le jour ou vous aurez enfin admis qu'il nous faudrait des tonnes entières de centaines de kilos de tomes d'ouvrages de VOS simone de beauvoir, valérie solanas et anne archet réunies afin d'obtenir ne serait-ce que l'ombre d'un espoir de la hauteur d'un demi talon de chaussure de cheveux du précipité équivalent à celui d'une seule strophe de LEUR August Strindberg, vous aurez enfin franchi le cap de la tête de queue qu'implique la flexion invective d'une telle ampleur de dérogation d'un renouvellement tant entendu de sens quand à un espoir de révolution révélatrice quand au réelles dévastations opérées par vos soi-disante science du déviantisme édulcoré de sa fonction biolo-sociale...
jp et les éponges du temps admus comme mesure dans les heures4 mai 2013 à 02:06
ça, c'est le titre d'un ouvrage que je n'ai pas lu, mais qui m'intéresse déjà à l'avance, car je sens qu'il doit être rempli d'une mauvaise foi de parti pris allant dans le sens de la thèse contenu dans son seul titre initial, alias : "De l’infériorité de la femme : De la justification de sa situation de subordonnée selon les données dernières de la science.", et je suppose qu'il doit être la somme de tout un tas de tonnes d'argumentaires et argumetations lapidairement infléchies dans un sens à la fois réfléchi et pourtant déjà prédéfini à l'avance, à l'instar d'une cosmogonie s'inspirant de l'hallucination d'un vieil homme velu, et ayant décidé, pour des siècles et des siècles, que l'univers avait été créé sur le dos d'une tortue géante (et après tout, pourquoi pas un univers construit sur le sommet de la carapace d'une tortue géante, plutôt que sur le dos d'une tordue minuscule, ou inversement, et en fonction des fluctations de proportions variables, non, hein ?
en fait, je crois qu'il faudrait enfermer les émules d'August Strindberg et de Valérie Solanas dans un sauna, avec pour seuls habits, des serviettes blanches et des lunettes noires. et des frankurts à la chantilly + salade et liqueur de lychees, ainsi que boue et épines de sapins. et il y aurait des fans d'henry leconte (l'ancien tennisman professionels) qui prendraient des photos dans le brouillard, en se faisant lécher leurs pieds nus par des petits chiens gentils invisibles.
tu sais, en fait, même si la femme était effectivement inférieure à l'homme, intellectuellement et physiquement, est-ce que ce serait une bonne raison assez suffisante pour décider de l'empêcher d'à tous prix devenir président des états-unis, comme les noirs ?
en fait, depuis que strindberg a écrit ce livre, il faut aussi dire que l'état de la science a évolué, ainsi que la morale, et que bien des évènements se sont produits depuis. mais il parait qu'une fois mort, strindberg s'est réfugié dans un ikéa, dans un petit port d'islande, de nos jours. et l'anniversaire du centenaire sa mort remonte déjà à à peu près un an moins dix jour, ces jours ci.
non, je n'ai jamais rien lu de strindberg. et je ne peux donc pas t'en parler. mais on m'a citées ses oeuvres dans des conditions disons "assez particulières", 2 fois dans ma vie "réelle". et il parait que certaines personnes pensent qu'il n'a jamais existé, mais que pourtant, l'on vendrait cependant parfois de ses livres... pi qu'il pourrait s'agir d'une sorte de secte, qui orienterait ses adpetes inconscients vers certains auteurs et lectures afin d'étendre peu à peu une sorte de réseau aux références culturelles sélectionnées par les gourous constituant ses élites, etcetc...
par contre solanas, oui, j'ai lu son scum. plusieurs fois, même. comme albert caraco et son "bréviaire du chaos" dont on ne saurait se lasser une fois que l'on y aurait goûté. mais mon dernier chouchou reste le livre de michael gira, intitulé "la bouche de francis bacon", qui selon moi, pourrait bien plaire à notre chère la rouge. parce que ça m'a tout l'air d'incarner un état d'esprit pas loin de celui qu'on retrouve dans les extraits de dh lawrence qu'elle n'arrête pas d'exposer sur son blogos. rapport justement à ce fameux esprit du corps et du senti charnel-énergie dont on causa elle et moi, et que gira exploite à fond via ses descriptions hallucinatoires, tant on sent que les sens débordent bien souvent au-delà de la structure anatomique de lui-même, comme dans une sorte de voyage astral sensoriel. un peu comme dans le "enter the void" de gaspar noe. inspiré par les drogues, parait-il... en tous cas, y'a un truc qui me touche dans ce qu'il écrit. une sorte d'impersonalité, d'errance, ou ce constant sentiment que l'âme serait prisonière, ou juste "de passage" dans un corps, et appartenant à un monde bien plus vaste qu'une seule vie. une intemporalité renouant avec le souvenir d'un chaos originel, ou de successives dissolutions
et c'est un sentiment qui relie toutes les nouvelles du bouquin dans une sorte de continuité diffuse
dommage que j'ai pas un extrait sous la main, tiens...
"l'incarnation", comme aurait dit brigitte fontaine...
(n'abuse pas de jan dau melhau, kan maime, je sais que c'est extrèmement jolie, et tout, mais attention aux abus de choses, hein ?)
mais trève de quiproquo, ou de rebondissemnt inopiné, et disons plutôt que pour moi, "la chambre rouge", outre le tableau matisse que j'aimas un temps, et que je découpa dans un numéro hors série de télérama vers 1993 ou 1994, afin de le punaiser au mur de ma chambre d'alors, m'évoque surtout une nouvelle d'edogawa rampo, dans laquelle il est question des rapports érotiques entretenus entre un tronc humain (ancien officier japonais réduit à cet état à son retour de la première guerre mondiale) et sa jeune femme, prude et fidèle, mais qui se découvre peu à peu le goût de certaines perversions jusqu'àlors irrévélées à sa face de conscience, au fur et à mesure de l'évolution de l'intrigue. merci.
je sais que quand j'écris, ça fait un petit peu trop paté mal fait à la va vite et qui raconte des banalités sur un ton solennellement pompant rempli de fautes de rythme et de répétitions de mots, mais c'est ainsi. y'a qu'à le prendre comme une sorte de code génétique se déroulant à la manière d'une spirale en papier tue-mouche, collée au plafond. kess t'en penses ?
j'aimerais bien tenir une sorte de bar-tabac, assez petit et tamisément éclairé, et qui ferait salon de lecture, en plus du café gratuit... un peu comme dans l'ambiance de cette nouvelle de gudrun eva minervudottir, ou il est question d'une libraire à qui il manquerait des doigts de pieds, et qui tombe soudain amoureuse de deux hommes à la fois... ou comme dans le livre "le libraire", que tu m'avais envoyé en 2009. mais je rêve...
quand à savoir pourquoi tous ces débiles se foutent soudain à vouloir tout à coup défiler en masse dans les rues afin de protester contre le mariage gay ou lesbien, alors que la plupart d'entre eux passe son temps à se faire enfiler en disant "merci", dans la vie, là, faudra qu'on m'explique...
disons qu'en les observant évoluer de la sorte, l'on se fait une idée plus précise du pourquoi et du comment des arcanes invisibles servant de fil conducteur au comportement des masses stéréotypées par les médias de merde, dans cette société, et de l'importance de bien nourrir les gens sans trop de revenus afin qu'ils servent de reserves de consommateurs à la chaine garantissant son biftek à l'industrie agro-alimentaire, tout en servant de cobayes invisibles aux petits génies génétiques ou expérimentateurs-psy de tous poils... en fait, il n'y a jamais eu autant de complexité à la fois que de nos jours, sur terre, j'en suis sûr, vu que les espèces animales sont désormais secondées par plusieurs générations (déjà) de machines de plus en plus indépendantes de leurs créateurs, et finissant de plus en plus par devenir son maître, au fil de l'évolution...
bon, je vais m'écouter un peu de folk prog roumain des années 1970, tiens, et après, aller repiquer ou semer quelques bidules, au jardin. si tu voyais mes pieds de fèves, ceux que j'avais semés en novembre dernier sous les saules pleureurs, juste à l'endroit de sortie de l'ancienne fosse-septique, tu serais toute ébahie, j'en suis sur. et ces oignons!! et cet aïl! et déjà, bientôt, ces petits pois, et plus tard, dans la saison, en leur temps respectifs, ces choufleurs!!! (sans compter les patates)... mais pas de tomates à cet endroit, car c'est un peu trop à l'ombre et exposé au nord...
tiens, je viens de trouver le titre d'un film à vocation sociale engagée et faisant référence aussi bien à l'actualité qu'à léon tolstoï tout en tenant un rôle relativement central à prigitte farjot, ou "d'un coup de pierre", comme on dit :
"PèRE et GAY".
+ (je vois bien un Sean Connery amominablement acariatre, dans le rôle du papy vindicativement haineux envers son fils "déviant" incarné par un Alain Chabat plus nature et touchant ainsi que photo-hygiéniquement émouvant que jamais, et Daniel Radcliffe, fils de ce dernier à l'écran, et incarnant un jeune-homme moderne tout neuf et complètement normal, affublé d'une amoureuse tout aussi archétypalement farpaite sous les traits d'une Emma Watson aussi compatissante qu'une nappe de chèvrefeuille sur un lit de mousse en carton faisant face à une trachée artère en plastique avec nes nénuphars sur une tige de coton rempli du caca de 150 milliards de fourmis ROUGES, et assistant fidèlement et astucieusement, et finalement, EFFICACEMENT son amant dans l'entreprise de résolution du conflit générationel n'ayant que trop longtemps dégradés les rapports humains entres ses deux ancêtres. + un Robert De Niro vétéran d'une guerre, aussi énigmatique que crevant l'écran de par la brève mais cependant fulgurante aura contenue dans une seule minimale portion de grain de beauté protubérant sur la pomette de la joue droite + ce fameux sourire crispé, en arcade de la bouche tombante, et disant comme "bof, moi, j'y suis pour rien, vous savez, si je suis toujours aussi efficace pour aider à résoudre les problèmes fréquents de ménages d'amis", une fois sur le palier après le diner final du film, et la main posé de Daniel sur son épaule avant que cette silhouette familière et à la fois paternalistement si réconfortante ne s'évade enfin de la vue des spectateurs en disparaissant progressivement sous une pluie à la fois fine et assez épaisse pour permettre un lent et significatif dégradé de lumière s'éteignant peu à peu et offrant à la muettitude mouillée de l'ensemble, le vide nécessaire à l'épanouissement de ce sens méditativement acquis tout au long de la montée en émotion soutenue tout au long du film jusqu'à ce dénouement + scène d'exergue vec une réconciliation du père et du fils pendant qu'Emma, un petit sourire complice en coin, envoie un dernier regard au spectateur en disparaissant vers la cuisine, quelques couvert à la main, avant de partir faire la vaisselle, en bonne "subordonnée selon les données dernières de la science".
+ depuis que phil katerine a repris la chanson "camarade bourgeois" du réactionnaire de gauche renaud séchant, et que nous avons atteints ainsi des sommets de choses, je pense qu'il faut s'attendre à un retour de revers de médaille de la part des incitateurs furtifs à la lauératerie du genre.
+ je reviendrai vous donner des nouvelles de mes pensées un fois que j'aurais lu le "Déséquilibres synthétiques" de ma Lydia chérie, que je devrais normalement recevoir par la poste, d'ici quelques jours.
alors restez tunés, afin de ne pas perdre une miette de thon de mon charme d'acier trempé dans une langue. (le plus drôle reste cette anecdote, tout aussi invraissemblable qu'authentique, mais que je cède volontier à vos yeux avides de lecteurs accrocs à mes chatoyantes insalubrités lyriques, et qui raconte l'histoire réelle du fait qu'un jour, quand je travaillais encore dans un endroit, quelqu'un vint me dire en ricanant (alors que j'étais constament en nage, à cause du stress dû à la politique + menaces) qu'elle venait de recevoir un livre qu'elle avait commandé en se référant au catalogue qu'une autre personne avait rédigé en parcourant mes soi-disant futures inclinaisons littéraires, lors de visions du futur, et me demanda donc si je connaissais ou pas un certain Michael Gira, ou une certaine Lydia Lunch, et à quoi je répondis par la négative étant donné que ce n'était pas encore le cas à l'époque. puis la personne plaisanta à propos des scènes sado-maso au goût un peu douteux sur les bords tout en m'expliquant qu'elle n'avait pas pu mettre la main sur "Déséquilibres synthétiques", de Lydia, qui n'apparaissait alors dans aucun catalogue, nulle part, mais qu'elle s'était résolu tout de même à commander un autre ouvrage qui était lui disponible, alors, et s'intitulait "Paradoxia, journal d'une prédatrice". et tout celà, dans le hall d'entrée. un jour de travail. vers l'été 2001.
+ la personne avait aussi dit qu'après celà, on ne retrouvait plus aucune trace de moi nulle part dans le futur, et que selon les oracles, c'était que je serais alors totalement décédé, ou alors, évaporé mystérieusement dans les airs...
ha, oui, et quand la personne avait évoqué au mot près l'expression : "des fans d'henry leconte (l'ancien tennisman professionel) qui prendraient des photos dans le brouillard, en se faisant lécher leurs pieds nus par des petits chiens gentils invisibles." en connectant ses yeux en l'air, toujours dans le hall, et s'adressant à ma "mémoire" défaillante quand à ma propre destiné, et bien je ne pu qu'intuitivement songer qu'en effet, il existait bel et bien entre cette expression et mon fond créatif intrinséque un lien filial incomparablement incontestable, selon ce que j'en jugeais alors...
mais quand on y pense, aussi, cette scène ne serait pas sans évoquer en filigrane l'imagerie des camps de la mort. le sauna représentant métaphoriquement les douches, les émules de strindberg et solanas les pauvres victimes de la shoa (shoa/shower, on touche de pas loin l'@SSO6@6ON d'idée, en pur champs sémantiquement onirique), et quand aux "fans d'henry leconte (l'ancien tennisman professionel) qui prendraient des photos dans le brouillard, en se faisant lécher leurs pieds nus par des petits chiens gentils invisibles", ils pourraient tout aussi bien incarner, à un degré plus ou moins élevé de rapport archétypalement ciblé, les capots et leurs bergers allemands dans la brume.
(je sais, on dirait plus ou moins un peu du desproges, ma prose, et je suis sûr que je fais énormément plaisir à hoplite avec mon humour, en ce moment, hein, non, je me trompe peut-être ?
jp et l'accumulement intéressant des évènements cocasses5 mai 2013 à 12:10
as-tu vu "la fille coupée en deux" de claude chabrol, toi qui m'écoute dans le passé, ou n'est-il pas encore sorti de là ou tu es ?
mais il reste aussi une autre manière d'envisager les choses, et qui serait que ces soi-disant "visions du futur" n'auraient pas été la lecture d'évènements se déroulant dans l'avenir, mais peut-être, aussi, d'un autre point de vue (quoique restant imbricable à l'ancienne version, moins élaborée), une sorte d'imprimante à inconnscient sensée influencer les comportements des individus alors soumis à ce "lavage de futur" via le cerveau et les champs onirico-magnétiques...
et si, comme je le stipulais peut-être un peu trop hativement chez helenablue, vers 2008 ou 9, j'étais une sorte de James Cole de la vraie vie, que faudfrait-il en déduire quand à la portée de mes errances présente et à leur retombées mondiales quand à l'avenir de L'HUMAIN, sur TERRE...
pi y'a aussi la thèse du RAT GéANT, qui dans un contexte traditionnel de vision prophétique d'avant la mise en boucle des gens-consommateurs-chats, aurait pu être pris "au pied de la lettre" pour un authentique repère nodal de fluctuation extra-temporelle, mais qui aujourd'hui, se devrait d'être revu et philologiquement reconfiguré selon les nouvelles touches influencielles dues aux travaux des marchands de choses...
je vais suivre ton conseil et ne pas abuser des bonne choses. Là je dois partir quelques heures mais lirai tout à mon retour, quelle culture tu as JP ! Tu m'apprends des choses comme quand je t'ai connu. Sinon je ne serais qu'une vieille chose ignorante :))
oui, je suis tout plein de culture, comme un bon vieux bouillon, alors je me dis que mon rôle d'humain académiquement admis comme utile à la société des esthètes et des heures de folie reste superbement chatoyant dans le sens que les ennemis du diktat restent des mouches avec des mollets sur les genoux de grosses femmes obligées de rester dedans pour ne pas prendre de coups de soleil.
mais ce n'est qu'un début. et d'ici quelques temps, je compte me remettre progressivement à étudier le dictionnaire, afin de mieux badigeonner mes exultations de sonorités et concepts tout aussi maléables que nouveaux.
ne pas abuser ne veut pas dire se mettre à penser comme un curé, non plus, hein ? l'abbus d'hygiène peut se révéler tout aussi nocif que son contraire, alors méfie-toi (mais pas trop quand même)
tu savais qu_e les sonics réssucités se trimballaient toute une aura putride de zombies acheteurs de leurs tickets derrièrre eux, et qui participaient à la fin du nouveau siècle, TOUA ???
J'ai essayé avec du lait au chocolat et cet effet ne survient qu'après 14 litres par jour.
RépondreSupprimerla limite de la sécurité
je présente mes excuses à réré et la rouge.
RépondreSupprimerj'ai été odieux, je me suis comporté comme un imbécile.
pardonnez-moi
adieu
Reviens JP ! Moi je te pardonne. Je peux pas parler pour la rouge, quand elle passera....pour le moment viens nous écrire des poaimes et soi le JP gentil que l'on aime. M. Gentil quoi.
RépondreSupprimerPas adieu
Neurone , attention à toi, trop de lait au chocolat peut rendre zinzin :))
RépondreSupprimerle jour ou vous aurez enfin admis qu'il nous faudrait des tonnes entières de centaines de kilos de tomes d'ouvrages de VOS simone de beauvoir, valérie solanas et anne archet réunies afin d'obtenir ne serait-ce que l'ombre d'un espoir de la hauteur d'un demi talon de chaussure de cheveux du précipité équivalent à celui d'une seule strophe de LEUR August Strindberg, vous aurez enfin franchi le cap de la tête de queue qu'implique la flexion invective d'une telle ampleur de dérogation d'un renouvellement tant entendu de sens quand à un espoir de révolution révélatrice quand au réelles dévastations opérées par vos soi-disante science du déviantisme édulcoré de sa fonction biolo-sociale...
RépondreSupprimerça, c'est le titre d'un ouvrage que je n'ai pas lu, mais qui m'intéresse déjà à l'avance, car je sens qu'il doit être rempli d'une mauvaise foi de parti pris allant dans le sens de la thèse contenu dans son seul titre initial, alias : "De l’infériorité de la femme : De la justification de sa situation de subordonnée selon les données dernières de la science.", et je suppose qu'il doit être la somme de tout un tas de tonnes d'argumentaires et argumetations lapidairement infléchies dans un sens à la fois réfléchi et pourtant déjà prédéfini à l'avance, à l'instar d'une cosmogonie s'inspirant de l'hallucination d'un vieil homme velu, et ayant décidé, pour des siècles et des siècles, que l'univers avait été créé sur le dos d'une tortue géante (et après tout, pourquoi pas un univers construit sur le sommet de la carapace d'une tortue géante, plutôt que sur le dos d'une tordue minuscule, ou inversement, et en fonction des fluctations de proportions variables, non, hein ?
RépondreSupprimeren fait, je crois qu'il faudrait enfermer les émules d'August Strindberg et de Valérie Solanas dans un sauna, avec pour seuls habits, des serviettes blanches et des lunettes noires. et des frankurts à la chantilly + salade et liqueur de lychees, ainsi que boue et épines de sapins. et il y aurait des fans d'henry leconte (l'ancien tennisman professionels) qui prendraient des photos dans le brouillard, en se faisant lécher leurs pieds nus par des petits chiens gentils invisibles.
tu sais, en fait, même si la femme était effectivement inférieure à l'homme, intellectuellement et physiquement, est-ce que ce serait une bonne raison assez suffisante pour décider de l'empêcher d'à tous prix devenir président des états-unis, comme les noirs ?
RépondreSupprimeren fait, depuis que strindberg a écrit ce livre, il faut aussi dire que l'état de la science a évolué, ainsi que la morale, et que bien des évènements se sont produits depuis. mais il parait qu'une fois mort, strindberg s'est réfugié dans un ikéa, dans un petit port d'islande, de nos jours. et l'anniversaire du centenaire sa mort remonte déjà à à peu près un an moins dix jour, ces jours ci.
RépondreSupprimeras-tu lu "La chambre rouge" de Strindberg ? Cocasse tout de même.
RépondreSupprimerEt merci pour m'avoir fait connaître jan dau melhau . J'ai écouté quelques clips de musique et un sur son livre "Mes vieilles". J'ai adoré. Tout.
non, je n'ai jamais rien lu de strindberg. et je ne peux donc pas t'en parler. mais on m'a citées ses oeuvres dans des conditions disons "assez particulières", 2 fois dans ma vie "réelle". et il parait que certaines personnes pensent qu'il n'a jamais existé, mais que pourtant, l'on vendrait cependant parfois de ses livres... pi qu'il pourrait s'agir d'une sorte de secte, qui orienterait ses adpetes inconscients vers certains auteurs et lectures afin d'étendre peu à peu une sorte de réseau aux références culturelles sélectionnées par les gourous constituant ses élites, etcetc...
RépondreSupprimerpar contre solanas, oui, j'ai lu son scum. plusieurs fois, même. comme albert caraco et son "bréviaire du chaos" dont on ne saurait se lasser une fois que l'on y aurait goûté. mais mon dernier chouchou reste le livre de michael gira, intitulé "la bouche de francis bacon", qui selon moi, pourrait bien plaire à notre chère la rouge. parce que ça m'a tout l'air d'incarner un état d'esprit pas loin de celui qu'on retrouve dans les extraits de dh lawrence qu'elle n'arrête pas d'exposer sur son blogos. rapport justement à ce fameux esprit du corps et du senti charnel-énergie dont on causa elle et moi, et que gira exploite à fond via ses descriptions hallucinatoires, tant on sent que les sens débordent bien souvent au-delà de la structure anatomique de lui-même, comme dans une sorte de voyage astral sensoriel. un peu comme dans le "enter the void" de gaspar noe. inspiré par les drogues, parait-il... en tous cas, y'a un truc qui me touche dans ce qu'il écrit. une sorte d'impersonalité, d'errance, ou ce constant sentiment que l'âme serait prisonière, ou juste "de passage" dans un corps, et appartenant à un monde bien plus vaste qu'une seule vie. une intemporalité renouant avec le souvenir d'un chaos originel, ou de successives dissolutions
et c'est un sentiment qui relie toutes les nouvelles du bouquin dans une sorte de continuité diffuse
dommage que j'ai pas un extrait sous la main, tiens...
"l'incarnation", comme aurait dit brigitte fontaine...
(n'abuse pas de jan dau melhau, kan maime, je sais que c'est extrèmement jolie, et tout, mais attention aux abus de choses, hein ?)
mais trève de quiproquo, ou de rebondissemnt inopiné, et disons plutôt que pour moi, "la chambre rouge", outre le tableau matisse que j'aimas un temps, et que je découpa dans un numéro hors série de télérama vers 1993 ou 1994, afin de le punaiser au mur de ma chambre d'alors, m'évoque surtout une nouvelle d'edogawa rampo, dans laquelle il est question des rapports érotiques entretenus entre un tronc humain (ancien officier japonais réduit à cet état à son retour de la première guerre mondiale) et sa jeune femme, prude et fidèle, mais qui se découvre peu à peu le goût de certaines perversions jusqu'àlors irrévélées à sa face de conscience, au fur et à mesure de l'évolution de l'intrigue. merci.
RépondreSupprimerfin!
je sais que quand j'écris, ça fait un petit peu trop paté mal fait à la va vite et qui raconte des banalités sur un ton solennellement pompant rempli de fautes de rythme et de répétitions de mots, mais c'est ainsi. y'a qu'à le prendre comme une sorte de code génétique se déroulant à la manière d'une spirale en papier tue-mouche, collée au plafond. kess t'en penses ?
RépondreSupprimerj'aimerais bien tenir une sorte de bar-tabac, assez petit et tamisément éclairé, et qui ferait salon de lecture, en plus du café gratuit... un peu comme dans l'ambiance de cette nouvelle de gudrun eva minervudottir, ou il est question d'une libraire à qui il manquerait des doigts de pieds, et qui tombe soudain amoureuse de deux hommes à la fois... ou comme dans le livre "le libraire", que tu m'avais envoyé en 2009. mais je rêve...
RépondreSupprimerquand à savoir pourquoi tous ces débiles se foutent soudain à vouloir tout à coup défiler en masse dans les rues afin de protester contre le mariage gay ou lesbien, alors que la plupart d'entre eux passe son temps à se faire enfiler en disant "merci", dans la vie, là, faudra qu'on m'explique...
RépondreSupprimerdisons qu'en les observant évoluer de la sorte, l'on se fait une idée plus précise du pourquoi et du comment des arcanes invisibles servant de fil conducteur au comportement des masses stéréotypées par les médias de merde, dans cette société, et de l'importance de bien nourrir les gens sans trop de revenus afin qu'ils servent de reserves de consommateurs à la chaine garantissant son biftek à l'industrie agro-alimentaire, tout en servant de cobayes invisibles aux petits génies génétiques ou expérimentateurs-psy de tous poils... en fait, il n'y a jamais eu autant de complexité à la fois que de nos jours, sur terre, j'en suis sûr, vu que les espèces animales sont désormais secondées par plusieurs générations (déjà) de machines de plus en plus indépendantes de leurs créateurs, et finissant de plus en plus par devenir son maître, au fil de l'évolution...
RépondreSupprimerbon, je vais m'écouter un peu de folk prog roumain des années 1970, tiens, et après, aller repiquer ou semer quelques bidules, au jardin. si tu voyais mes pieds de fèves, ceux que j'avais semés en novembre dernier sous les saules pleureurs, juste à l'endroit de sortie de l'ancienne fosse-septique, tu serais toute ébahie, j'en suis sur. et ces oignons!! et cet aïl! et déjà, bientôt, ces petits pois, et plus tard, dans la saison, en leur temps respectifs, ces choufleurs!!! (sans compter les patates)... mais pas de tomates à cet endroit, car c'est un peu trop à l'ombre et exposé au nord...
RépondreSupprimerfin! adieu!
tiens, je viens de trouver le titre d'un film à vocation sociale engagée et faisant référence aussi bien à l'actualité qu'à léon tolstoï tout en tenant un rôle relativement central à prigitte farjot, ou "d'un coup de pierre", comme on dit :
RépondreSupprimer"PèRE et GAY".
+ (je vois bien un Sean Connery amominablement acariatre, dans le rôle du papy vindicativement haineux envers son fils "déviant" incarné par un Alain Chabat plus nature et touchant ainsi que photo-hygiéniquement émouvant que jamais, et Daniel Radcliffe, fils de ce dernier à l'écran, et incarnant un jeune-homme moderne tout neuf et complètement normal, affublé d'une amoureuse tout aussi archétypalement farpaite sous les traits d'une Emma Watson aussi compatissante qu'une nappe de chèvrefeuille sur un lit de mousse en carton faisant face à une trachée artère en plastique avec nes nénuphars sur une tige de coton rempli du caca de 150 milliards de fourmis ROUGES, et assistant fidèlement et astucieusement, et finalement, EFFICACEMENT son amant dans l'entreprise de résolution du conflit générationel n'ayant que trop longtemps dégradés les rapports humains entres ses deux ancêtres. + un Robert De Niro vétéran d'une guerre, aussi énigmatique que crevant l'écran de par la brève mais cependant fulgurante aura contenue dans une seule minimale portion de grain de beauté protubérant sur la pomette de la joue droite + ce fameux sourire crispé, en arcade de la bouche tombante, et disant comme "bof, moi, j'y suis pour rien, vous savez, si je suis toujours aussi efficace pour aider à résoudre les problèmes fréquents de ménages d'amis", une fois sur le palier après le diner final du film, et la main posé de Daniel sur son épaule avant que cette silhouette familière et à la fois paternalistement si réconfortante ne s'évade enfin de la vue des spectateurs en disparaissant progressivement sous une pluie à la fois fine et assez épaisse pour permettre un lent et significatif dégradé de lumière s'éteignant peu à peu et offrant à la muettitude mouillée de l'ensemble, le vide nécessaire à l'épanouissement de ce sens méditativement acquis tout au long de la montée en émotion soutenue tout au long du film jusqu'à ce dénouement + scène d'exergue vec une réconciliation du père et du fils pendant qu'Emma, un petit sourire complice en coin, envoie un dernier regard au spectateur en disparaissant vers la cuisine, quelques couvert à la main, avant de partir faire la vaisselle, en bonne "subordonnée selon les données dernières de la science".
FIN.
+ et pourquoi pas nicolas cage en guise de deuxième fils de Sean ?
Supprimer"putride cageot".
RépondreSupprimer+ depuis que phil katerine a repris la chanson "camarade bourgeois" du réactionnaire de gauche renaud séchant, et que nous avons atteints ainsi des sommets de choses, je pense qu'il faut s'attendre à un retour de revers de médaille de la part des incitateurs furtifs à la lauératerie du genre.
+ FIN FOLLE.
+ je reviendrai vous donner des nouvelles de mes pensées un fois que j'aurais lu le "Déséquilibres synthétiques" de ma Lydia chérie, que je devrais normalement recevoir par la poste, d'ici quelques jours.
RépondreSupprimeralors restez tunés, afin de ne pas perdre une miette de thon de mon charme d'acier trempé dans une langue. (le plus drôle reste cette anecdote, tout aussi invraissemblable qu'authentique, mais que je cède volontier à vos yeux avides de lecteurs accrocs à mes chatoyantes insalubrités lyriques, et qui raconte l'histoire réelle du fait qu'un jour, quand je travaillais encore dans un endroit, quelqu'un vint me dire en ricanant (alors que j'étais constament en nage, à cause du stress dû à la politique + menaces) qu'elle venait de recevoir un livre qu'elle avait commandé en se référant au catalogue qu'une autre personne avait rédigé en parcourant mes soi-disant futures inclinaisons littéraires, lors de visions du futur, et me demanda donc si je connaissais ou pas un certain Michael Gira, ou une certaine Lydia Lunch, et à quoi je répondis par la négative étant donné que ce n'était pas encore le cas à l'époque. puis la personne plaisanta à propos des scènes sado-maso au goût un peu douteux sur les bords tout en m'expliquant qu'elle n'avait pas pu mettre la main sur "Déséquilibres synthétiques", de Lydia, qui n'apparaissait alors dans aucun catalogue, nulle part, mais qu'elle s'était résolu tout de même à commander un autre ouvrage qui était lui disponible, alors, et s'intitulait "Paradoxia, journal d'une prédatrice". et tout celà, dans le hall d'entrée. un jour de travail. vers l'été 2001.
+ la personne avait aussi dit qu'après celà, on ne retrouvait plus aucune trace de moi nulle part dans le futur, et que selon les oracles, c'était que je serais alors totalement décédé, ou alors, évaporé mystérieusement dans les airs...
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ha, oui, et quand la personne avait évoqué au mot près l'expression : "des fans d'henry leconte (l'ancien tennisman professionel) qui prendraient des photos dans le brouillard, en se faisant lécher leurs pieds nus par des petits chiens gentils invisibles." en connectant ses yeux en l'air, toujours dans le hall, et s'adressant à ma "mémoire" défaillante quand à ma propre destiné, et bien je ne pu qu'intuitivement songer qu'en effet, il existait bel et bien entre cette expression et mon fond créatif intrinséque un lien filial incomparablement incontestable, selon ce que j'en jugeais alors...
RépondreSupprimermais quand on y pense, aussi, cette scène ne serait pas sans évoquer en filigrane l'imagerie des camps de la mort. le sauna représentant métaphoriquement les douches, les émules de strindberg et solanas les pauvres victimes de la shoa (shoa/shower, on touche de pas loin l'@SSO6@6ON d'idée, en pur champs sémantiquement onirique), et quand aux "fans d'henry leconte (l'ancien tennisman professionel) qui prendraient des photos dans le brouillard, en se faisant lécher leurs pieds nus par des petits chiens gentils invisibles", ils pourraient tout aussi bien incarner, à un degré plus ou moins élevé de rapport archétypalement ciblé, les capots et leurs bergers allemands dans la brume.
RépondreSupprimer(je sais, on dirait plus ou moins un peu du desproges, ma prose, et je suis sûr que je fais énormément plaisir à hoplite avec mon humour, en ce moment, hein, non, je me trompe peut-être ?
+ SALE
fin.
as-tu vu "la fille coupée en deux" de claude chabrol, toi qui m'écoute dans le passé, ou n'est-il pas encore sorti de là ou tu es ?
RépondreSupprimermais il reste aussi une autre manière d'envisager les choses, et qui serait que ces soi-disant "visions du futur" n'auraient pas été la lecture d'évènements se déroulant dans l'avenir, mais peut-être, aussi, d'un autre point de vue (quoique restant imbricable à l'ancienne version, moins élaborée), une sorte d'imprimante à inconnscient sensée influencer les comportements des individus alors soumis à ce "lavage de futur" via le cerveau et les champs onirico-magnétiques...
et si, comme je le stipulais peut-être un peu trop hativement chez helenablue, vers 2008 ou 9, j'étais une sorte de James Cole de la vraie vie, que faudfrait-il en déduire quand à la portée de mes errances présente et à leur retombées mondiales quand à l'avenir de L'HUMAIN, sur TERRE...
RépondreSupprimerpi y'a aussi la thèse du RAT GéANT, qui dans un contexte traditionnel de vision prophétique d'avant la mise en boucle des gens-consommateurs-chats, aurait pu être pris "au pied de la lettre" pour un authentique repère nodal de fluctuation extra-temporelle, mais qui aujourd'hui, se devrait d'être revu et philologiquement reconfiguré selon les nouvelles touches influencielles dues aux travaux des marchands de choses...
je vais suivre ton conseil et ne pas abuser des bonne choses. Là je dois partir quelques heures mais lirai tout à mon retour, quelle culture tu as JP ! Tu m'apprends des choses comme quand je t'ai connu. Sinon je ne serais qu'une vieille chose ignorante :))
RépondreSupprimeroui, je suis tout plein de culture, comme un bon vieux bouillon, alors je me dis que mon rôle d'humain académiquement admis comme utile à la société des esthètes et des heures de folie reste superbement chatoyant dans le sens que les ennemis du diktat restent des mouches avec des mollets sur les genoux de grosses femmes obligées de rester dedans pour ne pas prendre de coups de soleil.
Supprimermais ce n'est qu'un début. et d'ici quelques temps, je compte me remettre progressivement à étudier le dictionnaire, afin de mieux badigeonner mes exultations de sonorités et concepts tout aussi maléables que nouveaux.
ne pas abuser ne veut pas dire se mettre à penser comme un curé, non plus, hein ? l'abbus d'hygiène peut se révéler tout aussi nocif que son contraire, alors méfie-toi (mais pas trop quand même)
Supprimervoilà, ceci est mon dernnier message.
RépondreSupprimeret si j'en juge selon ta dernière intervention, tu n'as toujours pas compris. méça...
+ je te signale que tu fais un complexe.
RépondreSupprimer(oui, mais lequel, hm ?)
+ tu ne m'as pas eu, et j'en ai marre de faire semblant.
adieu
et maintenant : RIDO
RépondreSupprimeret :
APPRETTEZ-VOUS A VIVRE DE GRANDS CHANGEMENTS!!!!!!!
CAR LA VIE EXPLOZE et JOUIT!
http://www.youtube.com/watch?v=eZNplDf7SKc
RépondreSupprimerhey, réré, j'ten remets une dose :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=lVTGS3rkKXk
(les petites jeunes appétissantes du public,, gngngnnnn!)))
tu savais qu_e les sonics réssucités se trimballaient toute une aura putride de zombies acheteurs de leurs tickets derrièrre eux, et qui participaient à la fin du nouveau siècle, TOUA ???
RépondreSupprimerla pieuvre :
http://www.youtube.com/watch?v=MJgGZKqDZvk
et encore!!!!! ::::
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=tTtLu5GOLTg
et en plus, encore :::
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=LCO7gaQjPzc
pour la mère duphil :
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=uFWpDECKqFA
merci pour la zic.
RépondreSupprimerJe devrais peut-être revoir ma dose quotidienne.
RépondreSupprimerGrand-Langue
surtout si tu saignes de la bouche comme sur la photo Grand-Langue.
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