lundi 13 juillet 2009



Ode à Jean-Filou

Comment pourrais-je ne pas l’aimer hen ? Il arrive comme ça, à l’improviste, sans crier gare et dépose un petit bout de prose sur le pas de ma porte (voir plus bas). Au p’tit matin, j’ouvre et découvre qu’il est passé…il ne me reste qu’à coller une image.
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rainette.
ça rime avec omelette.
l'euphorie aussi est question de chimie ?dans un monde sans mystère, on s'ennuirait, non ?
un jour, je ferai un feu dehors, pendant un autre été, si j'en vois un autre un jour. et j'espère que j'aurai un chien avec moi. un chien fidèle et aimant, que j'aimerai en retour. ou une chienne, peu importe. pour l'affection. après, au plafond, y'aura le ciel étoilé, sa profondeur explosée, dans lequel noyer ses pensées. tous ces êtres qui ne voient jamais les étoiles, ils deviennent fous. ils oublient que l'espace infini est au dessus de leur tête. ils ne voient plus le lien immortel qui nous relie à l'immensité du monde. leur esprit est castré. le miroir est brisé. comment peut-on oublier à ce point qui nous sommes? les parkings sous terrains de la machine mangeuse d'hommes.tout le monde dehors! libres

6 commentaires:

  1. Un autre versant de la poésie.
    Avec un côté cinématographique.
    J'aime.

    la simplicité efficace

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  2. Jean-Philippe est un artiste. J'essaie de le lancer mais bon. Pas facile !

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  3. Tu veux le lancer où ?

    les consignes de sécurité

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  4. héhé ! Le lancer du poids léger... mais non, je veux le "signer" comme qui disent les joueurs d'hockey....pas le saigner ---à blanc, attention !


    la guernouille pas dangeureuse

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  5. Allo Francine,
    c'est André !

    le pseudonyme du jour

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