bin sûr c'est triste mon bébé. (je sais tu as une maman mais moi j'ai pas de bébé, tu comprends ? Même ma minette est morte. Tu t'en souviens de ma minette ?)
tu sais que j'écoute tous tes clips, du moins en partie ? Et je fais souvent des découvertes comme ce Michael Yonkers, connaissais pas. J'aime bien ! Ciao amigo
Et les Plogues, j'en connais quelques unes mais pas toutes.
j'avais acheté son album du temps ou j'en achetais, "microminiature love" enregistré en 1968. EXCELLENT!!! lou reed peut aller se rhabiller avec de vieilles vestes fluos de david bowie (lou a subit des électrochocs à l'age de 15 ou 17 ans, mais on s'en fout!! il n'avait qu'à pas avoir envie de ressembler à jean-philippe lafitte ou marie-charlotte piérard, qui restent: i-ni-mi-tables!!!
ouais, ta minette, elle est morte. ça me rappelle l'histoire de cette femme, une mémé, à qui on avait ouvert le ventre, et on avait troué un très vieux foetus mort depuis plus de quarante ans à l'intérieur! tu parles d'une histoire!
je pense qu'il faudrait humilier les parents qui font des enfants sur lesquels ils tapent plus tard, en les obligeant à manger de la soupe aux tomates (froide, et sans sel) en plein milieu d'une mosquée à l'heure de pointe. (et en plus, on les empêcherait de pouvoir sortir leurs sandales, en collant leurs pieds aux semelles avec de la huhu stick ou du mastic pour les vitres des fenêtres, et comme ça, ils se feraient insulter par les musulmans, car il est interdit d'entrer chaussé dans une mosquée. et il y aurait des bouts de saucisse et de jambon bien voyants, aussi, dans la soupe, pour agraver leur cas. bien fait pour eux!)
et il faudrait aussi obliger ces parents fous qui font des bébés à porter des couches sales de bébés qui chient vert ou orange, dans une synagogue catholique du passé! tout nus, juste en couche sale! et ils devraient chanter "la fille aux yeux menthe à l'eau" d'eddie mitchell pendant 3h45, pieds nus, sur les dalles froides, juste en dessous d'une gravure représentant une étape du chemin de croix du petit jésus, quand il tombe sous le poids de sa croix et qu'un méchant se moque de lui et lui crache dessus par pure méchanceté de gros nul qu'il est!
j'aime pas ces sales gros connars de méchants! faudrait les humilier en les obligeant à dire bonjour à tout le monde et disant "je suis méchant, bonjour", pendant tout un après-midi du mois d'aout, en pleine sécheresse, en espagne, sur une place très connue de madrid!
en plein cagnard! et sans chapeau!!! (mais on les arroserait quand même de jus de tomate toutes les 27 minutes 54 secondes, ainsi que d'huile d'olive très amère, afin d'éviter une totale déshydratation, biensur!)
(il serait aussi amusant d'attacher un petit chien du genre teigneux et ayant été battu par ses maitres à la cheville de ces mêmes sales méchants, avec une ficelle qui entaillerait un peu leur peau à force que l'animal ne tire dessus.
yopla!!
venez échanger vos idées de génies chez "ton cul dans la merde" blogstop.RF
que ce soit une joke ou non... ça me fait pas grand chose de le savoir, ou pas. j'ai la tête comme un citron givré qui crache des éclairs noirs et rouges, la plupart du temps, ou alors, c'est plat comme un encéphalogramme branché sur un glaçon, ou engouffrant comme le trou d'un lavabo, à force d'isolement. mais y'a encore des choses qui me touchent. des beautés, je veux dire. autant en rester loin, pour pas les dégueulasser ? je sais que j'ai encore un peu d'amour en moi, mais ne lui cherche plus de proie. ces temps. cet ainsi qu'on tari une source ?
la chanson de yonker n'est pas seulement "pas mal", c'est l'histoire de tout plein de gens qui n'arrivent pas à se trouver.
j'ai entendu un ingrat dire de microminiature love que c'était une galette immonde de bruit innodible. cet abruti devait être un insensible de première bourre. mais entre ce que l'on sent ou ce que l'on ne sent pas... il y a parfois des fossés indicibles d'intransmissions, ou pire, des flux que l'on a coupés de tous contacts.
une fois, une personne m'a regardé et m'a dit que je ne savais pas ce qu'était souffrir... comment savoir si elle avait raison ou pas ? on aurait dû mesurer nos zizis, ou tirer à la courte paille, pour savoir, peut-être... mais c'était une femme. et une autre aussi. souvent, les mecs paraissent plus compréhensifs, à leur manière. mais vas t'en expliquer ça à une conasse branchée sur la matrice-conscience féministe anti-phallique, et elle recommence à te dégueuler ses inepties sexistes à 2 balles. et du coup, tu te retrouves de ton côté à parler de grosses chattes pourries qui puent le camembert à la merde de pistil creu.
elles mériteraient qu'on les aime un bon coup, avec chasteté et volupté, comme au royaume des anges à queues qui savent scruter les moindres palpitations de leur partenaire, et masser leurs muscles pendant l'étreinte, et fourrant tout en titillant les tétons, et des claques sur le cul, et mordre les lèvres, dans la rue, un jour de marché, devant le stand des fruits et légumes entourré de petits nains acrobates multicolores...
je te souhaite de sentir le gras rance, et de puruler des nichons poilus.
(et il y aurait aussi cette substance semi laiteuse au parfum acre de couleur chantilly-mélangée-à-du-sulfate-de-cuivre-dilué-dans-de-l'eau-de-vaisselle-sale-et-grise qui suinterait d'entre les plis de ta peau-flasque dégoutante, et qui rappellerait celle d'une vieille oie déplumée et humide qu'on aurait posée sur la grande table en bois de la cuisine sombre avant de la vider, mais dont la chair fumante serait encore chaude de l'eau bouillante dans laquelle on viendrait de la plonger, et qui sentirait aussi un peu la merde, en plus du sang, parce que les intestins seraient crevés!!!!)
tu sais, l'histoire de l'oie qui fume sur la table de la cuisine et pue le sang à la merde bouillie, c'est du vécu, ça aussi. comme pour les abeilles.
l'autre nuit, j'arrivais pas à dormir et je me disais : "et si j'allais bosser aux abbattoirs, pour voir ?"
tss! c'est comme cette nana dont j'étais un peu amoureux, et qui s'était mis à raconter qu'elle travaillait à mi-temps dans une usine à chapon. bordel! au début, elle disait qu'elle avait eu beaucoup de mal à castrer les poulets à la chaine, mais qu'à la fin, elle ne pensait plus à rien. juste attendre l'heure de la sortie en retenant sa nausée. j'avais été un peu moins amoureux d'elle, sur le coup.
je me demande à quoi pensait mémé quand elle plumait ou vidait les poulets, quand j'étais petit. je sais que ça me dégoutait salement, cette odeur bouillie, pi sentir le corps mort de l'animal, comme un poids sans vie, et pourtant encore tout chaud. ça me faisait peur. j'avais l'impression qu'il allait se réveiller et me sauter dessus. c'est pour ça que je n'aimais pas plumer les poulets en haut du talus. j'avais l'impression qu'un truc encore vivant sous la peau allait sortir de là pour me faire du mal. ça me filait la chair de poule (sans rire).
c'est comme l'odeur du maïs bouilli, dans la grange, quand mamie gavait les oies. c'était bizarre. ça sentait bon, le maïs bouilli, mais en même temps, ça rappelait un peu celle des poulets morts, en haut du talus.
pi quand le tube de la gaveuse électrique rentrait dans le cou des oies, ça me donnait envie de me racler la gorge, l'impression qu'on me plantait une arrête de poisson dans la orge. j'aimais pas trop voir ça.
avec les lapins, c'était pas pareil. pour les tuer, mémé leur brisait le cou et les frappant contre l'angle de la grande table en bois de la cuisine. d'un pet. les pattes de l'animal se mettaient à pédaler en l'air, pris de spasmes, et tu pouvais voir la peur dans le regard des pauvres victimes. pi du sang leur coulait de la bouche, et peu à peu, les mouvements s'estompaient, et les yeux ne bougeaient plus du tout. figés dans cette stupeur perdue. c'était un peu comme s'ils t'emportaient avec toi quand tu les regardais trop longtemps.
pi mémé plongeait le corps inerte dans l'eau bouillante sur la cuisinière, et je me disais : "peut-être qu'il n'est pas tout à fait mort, le lapin", et ça me foutait des frissons dans le dos.
après quoi, elle prenait son couteau et découpait la peau, au niveau des pattes arrières. et je ne sais plus exactement comment elle se débrouillait, mais je me souviens qu'elle enlevait la peau du lapin comme si elle le débarrassait d'un manteau, avec une espèce de petit bruit sec de déchirure. ça donnait l'impression de se faire tout seul, comme par magie. et le lapin n'était alors plus qu'une masse de chair rouge et violette sur la tablen comme on les voit dans les étals de boucher. et ses yeux quirestaient proéminents sur son corps affreux sanguinolant, et dans lequel restait figé le regard qu'il avait encore quelques minutes auparavant, et qui me faisait encore me demander s'il était vraiment mort.
c'est un peu idiot de dire que le végétarisme est un truc de femelette. je crois.
une idée de réactionnaire de droite, selon moi. tu sais que c'est en lisant dantec que j'ai fini par me dire qu'aller au macdo faisait partie de la logique du monde, et accepter celà comme quelque chose de normal ?
(bien que dans mon cas, je pense que la boulimie qui m'inspire sur le moment soit plutôt un paliatif à l'angoisse sous-jacente contenue dans la dépression existentielle découlant du désoeuvrement dont je serais la victime semi-consentante...)
tu savais que casimir, le monstre gentil, mangeait de la viande ? car si je ne m'abuse, l'un des ingrédients de son gloubi-boulga reste la saucisse de frankfurt, non ?
http://www.youtube.com/watch?v=MYvU_tChDHM
allé, c'est la fin du dernier cours de cette si longue journée studieuse.
vous pouvez ranger vos affaires, et aller vous battre dehors, en attendant l'autobus.
et qu'on me fasse plus chier avec la soi-disant supériorité de "l'autre science", parce que qu'à ce que j'en sais, elle est tout aussi conne que la "normale", mais en pas pareil. c'est tout. et y'a vraiment pas de quoi se vanter, les gars.
et moi, j'ai pas de quoi me vanter. et je me trouve con quand je m'évente en vantardises. puis même plus. je me trouve même plus con. on m'a enlevée ma culpabilité. c'est bien gentil de dire des trucs comme "la culpabilité, c'est de la merde", mais ça engage à quoi, au fond ? enlève le patrimoine soi-disant stérilisant de l'éducation, du blame, du réflexe qui fait du male un petit penaud sans couille, et ça donnerait quoi ?
les philosophes de l'équilibre ont tellement de boulot face à la suprématie du stimulis institutionalisé en tant que règle de concurence, qu'ils finissent par abandonner le petit bouddha pour s'armer de règles de fer et venir te dire :
"tends tes doigts, bouge pas, et si tu cris, t'en auras le double."
comme disait singe matin, c'est la règle de l'escalade. et maintenant, on est en haut de l'échelle. comme c'était prévu.
Tu sais que mes parents habitaient sur des fermes et ont aussi plumé des poules ? Pas de lapins par contre.
J'ai jamais vu mais ma mère me l'a racontée. Et quand j'étais enfant elle aimait prendre les poulets par les ailes et les faire danser. Ça me dégoûtait. Tu sais je n'ai rien contre le McDo c'est juste que ça me lève le coeur, voilà pourquoi je suis végétarienne. Je n'ai jamais aimé la viande. Enfant fallait pousser dessus pour que j'avale. Dès que j'ai su que les légumineuses couplés à des noix, graines étaient de bonnes protéines de remplacement je suis devenue adepte. Et tu sais quoi ? Je suis en excellente santé, mon sang est no 1.
Les abeilles...je m'en souviens parfaitement. C'est l'employé du prénom de Guy qui t'avait dit de donner un bon coup sur l'essaim. Et toi tu l'avais fait, juste pour lui donner une leçon. Et quand ta mémé l'avait grondé, tu l'avais défendu.
Bah si la façon de traiter des amies est de leur dire que tu ne les aimes pas, ça va pour moi.
ce qui est con avec ces histoires, c'est que la plupart des toubibs continuent à dire que la viande reste un élément essentiel à un bon équilibre alimentaire. alors que j'ai connues plein de personnes qui n'en mangeaient jamais et se portaient très bien. comme pour cette histoire de diète à suivre au printemps, pendant 15 jours, et qui permet à plus de 90 pour cents des gens qui se tiennent à ce régime d'éviter de contracter un cancer (ce qui n'est pas rien quand on sait que le cancer reste la première cause de mortalité dans les pays industrialisés.), mais que la médecine straight continue à prendre pour une affabulation. bref. les gens le savent, que le système se fout de leur gueule, non ?
+ ouais, Guy était plus bête que méchant. et moi, j'ai toujours été un peu con.
+ exclusivité news = tu sais quoi ? quand j'étais gamin, mes grands-parents vendaient du vin qu'ils faisaient eux-même, z'avaient quelques hectares de vigne et une cave, bref. ça faisait pas des millions de litres, mais ça arrondissait les fins de mois. ben ils avaient l'habitude de garder un peu de monnaie dans une petite soucoupe au dessus d'un placard dans la salle à manger, à côté de la cuisine, du côté est de la maison. pour avoir de quoi rendre en petite monnaie quand des gens venaient acheter du vin...
ben moi, quand me prenais la connerie, j'allais voler quelques pîèces dans cette soucoupe, qui me servaient à m'acheter de quoi manger en attenadant le bus le soir, du temps du collège, dans une petite superette (des gateaux apéro, la plupart du temps, style crok'sel, ou ce genre de connerie...). parce que depuis tout gamin, j'arrivais pas à bien manger à la cantine. que ce soit à la communale, au collège ou lycée, j'arrivais pas à avaler autre chose que du pain ou des frites. et j'avais fini par faire de l'anémie en plus de l'épilepsie. pourtant, à la maison, j'aimais bien la viande de boeuf bien rouge et bien juteuse quand y'en avait. mais je détestais le veau, la daube, le porc, le paté, etc... et ça me faisait vomir quand on me forçait. ou alors, j'arrivais pas à avaler, et à force de macher, ça devenait une espèce de bouillie qui me donnait la nausée, dans ma bouche. y'a même des fois ou je faisais semblant d'avoir avalé, sans rien dire, et ou j'attendais que personne ne regarde pour le cracher dans ma main et le cacher dans mes poches. puis le soir, je jetais tout ça par la fenêtre, en aillant une morte trouille qu'on me prenne sur le fait. le cèleri me foutait la gerbe, aussi. et plein d'autres trucs. y'avait un gros blème avec la nourriture, dans ma tête.
bah, manger des animaux morts, c'est pas évident ! Faut surtout pas y penser au moment où on les a dans la bouche....et les oeufs qui sortent des trous de cul des poules...faut pas y penser non plus et avaler d'un coup sec, comme les huitres...sauf que tu risques de t'étouffer.
Tu écris que tes grands-parents faisaient du vin et moi je me demande est-ce que déjà tu aimais un peu trop l'alcool ? Tu en buvais ou encore c'était comme du vinaigre ?
http://www.youtube.com/watch?v=_G4znlG3yPU
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=iVS_5R7JwKs
RépondreSupprimernot bad
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=6TcMHNtFW30
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?NR=1&v=88Ri3J7mEcA&feature=fvwp
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=VOLwQ7Qlxr4
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=hNVu55ZyC-Y
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=zt1R8LQ5-LI
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=tuwNkphrUjg
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=EfYGfJmTy78
RépondreSupprimerc'est triste, hein, réré ?
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=-xTsShIUx1Q
RépondreSupprimerla bise :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=au30c9ZMIPg&feature=endscreen&NR=1
bin sûr c'est triste mon bébé. (je sais tu as une maman mais moi j'ai pas de bébé, tu comprends ? Même ma minette est morte. Tu t'en souviens de ma minette ?)
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=RpbOrw6l8_s
RépondreSupprimertu sais que j'écoute tous tes clips, du moins en partie ? Et je fais souvent des découvertes comme ce Michael Yonkers, connaissais pas. J'aime bien ! Ciao amigo
RépondreSupprimerEt les Plogues, j'en connais quelques unes mais pas toutes.
michael yonkers est un génie des araignées.
Supprimerj'adore cette chanson de lui plus spécialement :
http://www.youtube.com/watch?v=iKWcoN3WlbU
j'avais acheté son album du temps ou j'en achetais, "microminiature love" enregistré en 1968. EXCELLENT!!! lou reed peut aller se rhabiller avec de vieilles vestes fluos de david bowie (lou a subit des électrochocs à l'age de 15 ou 17 ans, mais on s'en fout!! il n'avait qu'à pas avoir envie de ressembler à jean-philippe lafitte ou marie-charlotte piérard, qui restent:
i-ni-mi-tables!!!
ouais, ta minette, elle est morte. ça me rappelle l'histoire de cette femme, une mémé, à qui on avait ouvert le ventre, et on avait troué un très vieux foetus mort depuis plus de quarante ans à l'intérieur! tu parles d'une histoire!
bise!!!
je pense qu'il faudrait humilier les parents qui font des enfants sur lesquels ils tapent plus tard, en les obligeant à manger de la soupe aux tomates (froide, et sans sel) en plein milieu d'une mosquée à l'heure de pointe. (et en plus, on les empêcherait de pouvoir sortir leurs sandales, en collant leurs pieds aux semelles avec de la huhu stick ou du mastic pour les vitres des fenêtres, et comme ça, ils se feraient insulter par les musulmans, car il est interdit d'entrer chaussé dans une mosquée. et il y aurait des bouts de saucisse et de jambon bien voyants, aussi, dans la soupe, pour agraver leur cas. bien fait pour eux!)
RépondreSupprimeret il faudrait aussi obliger ces parents fous qui font des bébés à porter des couches sales de bébés qui chient vert ou orange, dans une synagogue catholique du passé! tout nus, juste en couche sale! et ils devraient chanter "la fille aux yeux menthe à l'eau" d'eddie mitchell pendant 3h45, pieds nus, sur les dalles froides, juste en dessous d'une gravure représentant une étape du chemin de croix du petit jésus, quand il tombe sous le poids de sa croix et qu'un méchant se moque de lui et lui crache dessus par pure méchanceté de gros nul qu'il est!
RépondreSupprimerj'aime pas ces sales gros connars de méchants! faudrait les humilier en les obligeant à dire bonjour à tout le monde et disant "je suis méchant, bonjour", pendant tout un après-midi du mois d'aout, en pleine sécheresse, en espagne, sur une place très connue de madrid!
RépondreSupprimeren plein cagnard! et sans chapeau!!! (mais on les arroserait quand même de jus de tomate toutes les 27 minutes 54 secondes, ainsi que d'huile d'olive très amère, afin d'éviter une totale déshydratation, biensur!)
(il serait aussi amusant d'attacher un petit chien du genre teigneux et ayant été battu par ses maitres à la cheville de ces mêmes sales méchants, avec une ficelle qui entaillerait un peu leur peau à force que l'animal ne tire dessus.
yopla!!
venez échanger vos idées de génies chez "ton cul dans la merde" blogstop.RF
ça pue, c'est la bouse, bon apéro à tous!!
je la connais l'histoire de cette mémé, j'ai même vu sa photo. J'espère que tu t'es rendu compte que c'était une joke !
RépondreSupprimerJ'ai écouté la chanson de Yonkeurs que tu aimes bien, pas mal.
que ce soit une joke ou non... ça me fait pas grand chose de le savoir, ou pas. j'ai la tête comme un citron givré qui crache des éclairs noirs et rouges, la plupart du temps, ou alors, c'est plat comme un encéphalogramme branché sur un glaçon, ou engouffrant comme le trou d'un lavabo, à force d'isolement. mais y'a encore des choses qui me touchent. des beautés, je veux dire. autant en rester loin, pour pas les dégueulasser ? je sais que j'ai encore un peu d'amour en moi, mais ne lui cherche plus de proie. ces temps. cet ainsi qu'on tari une source ?
Supprimerla chanson de yonker n'est pas seulement "pas mal", c'est l'histoire de tout plein de gens qui n'arrivent pas à se trouver.
j'ai entendu un ingrat dire de microminiature love que c'était une galette immonde de bruit innodible. cet abruti devait être un insensible de première bourre. mais entre ce que l'on sent ou ce que l'on ne sent pas... il y a parfois des fossés indicibles d'intransmissions, ou pire, des flux que l'on a coupés de tous contacts.
une fois, une personne m'a regardé et m'a dit que je ne savais pas ce qu'était souffrir... comment savoir si elle avait raison ou pas ? on aurait dû mesurer nos zizis, ou tirer à la courte paille, pour savoir, peut-être... mais c'était une femme. et une autre aussi. souvent, les mecs paraissent plus compréhensifs, à leur manière. mais vas t'en expliquer ça à une conasse branchée sur la matrice-conscience féministe anti-phallique, et elle recommence à te dégueuler ses inepties sexistes à 2 balles. et du coup, tu te retrouves de ton côté à parler de grosses chattes pourries qui puent le camembert à la merde de pistil creu.
elles mériteraient qu'on les aime un bon coup, avec chasteté et volupté, comme au royaume des anges à queues qui savent scruter les moindres palpitations de leur partenaire, et masser leurs muscles pendant l'étreinte, et fourrant tout en titillant les tétons, et des claques sur le cul, et mordre les lèvres, dans la rue, un jour de marché, devant le stand des fruits et légumes entourré de petits nains acrobates multicolores...
de la soupe aux tomates sans sel c'est dégueulasse
RépondreSupprimerouais, mais on aurait craché dedans, en plus.
Supprimerdes glaviots de gens enrhubés, bien verts et jaunes, limite marrons.
bon.
RépondreSupprimerje t'emmerde.
je ne t'aime pas.
et tu peux bien crever.
et surtout, merci pour la thérapie.
car comme tu peux le voir, je suis guéri maintenant.
allé, adieu.
je te souhaite de sentir le gras rance, et de puruler des nichons poilus.
RépondreSupprimer(et il y aurait aussi cette substance semi laiteuse au parfum acre de couleur chantilly-mélangée-à-du-sulfate-de-cuivre-dilué-dans-de-l'eau-de-vaisselle-sale-et-grise qui suinterait d'entre les plis de ta peau-flasque dégoutante, et qui rappellerait celle d'une vieille oie déplumée et humide qu'on aurait posée sur la grande table en bois de la cuisine sombre avant de la vider, mais dont la chair fumante serait encore chaude de l'eau bouillante dans laquelle on viendrait de la plonger, et qui sentirait aussi un peu la merde, en plus du sang, parce que les intestins seraient crevés!!!!)
bise!
je suis désolé de m'en prendre à toi de la sorte, mais tu es la seule amie qui me reste...
RépondreSupprimeradieu, et bon courage!
tu sais, l'histoire de l'oie qui fume sur la table de la cuisine et pue le sang à la merde bouillie, c'est du vécu, ça aussi. comme pour les abeilles.
RépondreSupprimerl'autre nuit, j'arrivais pas à dormir et je me disais : "et si j'allais bosser aux abbattoirs, pour voir ?"
tss! c'est comme cette nana dont j'étais un peu amoureux, et qui s'était mis à raconter qu'elle travaillait à mi-temps dans une usine à chapon. bordel! au début, elle disait qu'elle avait eu beaucoup de mal à castrer les poulets à la chaine, mais qu'à la fin, elle ne pensait plus à rien. juste attendre l'heure de la sortie en retenant sa nausée. j'avais été un peu moins amoureux d'elle, sur le coup.
je me demande à quoi pensait mémé quand elle plumait ou vidait les poulets, quand j'étais petit. je sais que ça me dégoutait salement, cette odeur bouillie, pi sentir le corps mort de l'animal, comme un poids sans vie, et pourtant encore tout chaud. ça me faisait peur. j'avais l'impression qu'il allait se réveiller et me sauter dessus. c'est pour ça que je n'aimais pas plumer les poulets en haut du talus. j'avais l'impression qu'un truc encore vivant sous la peau allait sortir de là pour me faire du mal. ça me filait la chair de poule (sans rire).
RépondreSupprimerc'est comme l'odeur du maïs bouilli, dans la grange, quand mamie gavait les oies. c'était bizarre. ça sentait bon, le maïs bouilli, mais en même temps, ça rappelait un peu celle des poulets morts, en haut du talus.
RépondreSupprimerpi quand le tube de la gaveuse électrique rentrait dans le cou des oies, ça me donnait envie de me racler la gorge, l'impression qu'on me plantait une arrête de poisson dans la orge. j'aimais pas trop voir ça.
avec les lapins, c'était pas pareil. pour les tuer, mémé leur brisait le cou et les frappant contre l'angle de la grande table en bois de la cuisine. d'un pet. les pattes de l'animal se mettaient à pédaler en l'air, pris de spasmes, et tu pouvais voir la peur dans le regard des pauvres victimes. pi du sang leur coulait de la bouche, et peu à peu, les mouvements s'estompaient, et les yeux ne bougeaient plus du tout. figés dans cette stupeur perdue. c'était un peu comme s'ils t'emportaient avec toi quand tu les regardais trop longtemps.
RépondreSupprimerpi mémé plongeait le corps inerte dans l'eau bouillante sur la cuisinière, et je me disais :
"peut-être qu'il n'est pas tout à fait mort, le lapin", et ça me foutait des frissons dans le dos.
après quoi, elle prenait son couteau et découpait la peau, au niveau des pattes arrières. et je ne sais plus exactement comment elle se débrouillait, mais je me souviens qu'elle enlevait la peau du lapin comme si elle le débarrassait d'un manteau, avec une espèce de petit bruit sec de déchirure. ça donnait l'impression de se faire tout seul, comme par magie. et le lapin n'était alors plus qu'une masse de chair rouge et violette sur la tablen comme on les voit dans les étals de boucher. et ses yeux quirestaient proéminents sur son corps affreux sanguinolant, et dans lequel restait figé le regard qu'il avait encore quelques minutes auparavant, et qui me faisait encore me demander s'il était vraiment mort.
me souviens que mémé me disait de ne pas lui regarder les yeux.
RépondreSupprimerc'est un peu idiot de dire que le végétarisme est un truc de femelette. je crois.
RépondreSupprimerune idée de réactionnaire de droite, selon moi. tu sais que c'est en lisant dantec que j'ai fini par me dire qu'aller au macdo faisait partie de la logique du monde, et accepter celà comme quelque chose de normal ?
(bien que dans mon cas, je pense que la boulimie qui m'inspire sur le moment soit plutôt un paliatif à l'angoisse sous-jacente contenue dans la dépression existentielle découlant du désoeuvrement dont je serais la victime semi-consentante...)
en fait, si dali peignait des ânes pourris, c'était peut-être aussi parce qu'il suivait une psychanalyse.
RépondreSupprimertu savais que casimir, le monstre gentil, mangeait de la viande ? car si je ne m'abuse, l'un des ingrédients de son gloubi-boulga reste la saucisse de frankfurt, non ?
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=MYvU_tChDHM
allé, c'est la fin du dernier cours de cette si longue journée studieuse.
vous pouvez ranger vos affaires, et aller vous battre dehors, en attendant l'autobus.
et qu'on me fasse plus chier avec la soi-disant supériorité de "l'autre science", parce que qu'à ce que j'en sais, elle est tout aussi conne que la "normale", mais en pas pareil. c'est tout. et y'a vraiment pas de quoi se vanter, les gars.
RépondreSupprimeradieu!
et moi, j'ai pas de quoi me vanter. et je me trouve con quand je m'évente en vantardises. puis même plus. je me trouve même plus con. on m'a enlevée ma culpabilité. c'est bien gentil de dire des trucs comme "la culpabilité, c'est de la merde", mais ça engage à quoi, au fond ? enlève le patrimoine soi-disant stérilisant de l'éducation, du blame, du réflexe qui fait du male un petit penaud sans couille, et ça donnerait quoi ?
RépondreSupprimerles philosophes de l'équilibre ont tellement de boulot face à la suprématie du stimulis institutionalisé en tant que règle de concurence, qu'ils finissent par abandonner le petit bouddha pour s'armer de règles de fer et venir te dire :
"tends tes doigts, bouge pas, et si tu cris, t'en auras le double."
comme disait singe matin, c'est la règle de l'escalade. et maintenant, on est en haut de l'échelle. comme c'était prévu.
bon, je te quitte.
RépondreSupprimeradieu.
Adieu !
RépondreSupprimerTu sais que mes parents habitaient sur des fermes et ont aussi plumé des poules ? Pas de lapins par contre.
J'ai jamais vu mais ma mère me l'a racontée. Et quand j'étais enfant elle aimait prendre les poulets par les ailes et les faire danser. Ça me dégoûtait. Tu sais je n'ai rien contre le McDo c'est juste que ça me lève le coeur, voilà pourquoi je suis végétarienne. Je n'ai jamais aimé la viande. Enfant fallait pousser dessus pour que j'avale. Dès que j'ai su que les légumineuses couplés à des noix, graines étaient de bonnes protéines de remplacement je suis devenue adepte. Et tu sais quoi ? Je suis en excellente santé, mon sang est no 1.
Les abeilles...je m'en souviens parfaitement. C'est l'employé du prénom de Guy qui t'avait dit de donner un bon coup sur l'essaim. Et toi tu l'avais fait, juste pour lui donner une leçon. Et quand ta mémé l'avait grondé, tu l'avais défendu.
Bah si la façon de traiter des amies est de leur dire que tu ne les aimes pas, ça va pour moi.
ce qui est con avec ces histoires, c'est que la plupart des toubibs continuent à dire que la viande reste un élément essentiel à un bon équilibre alimentaire. alors que j'ai connues plein de personnes qui n'en mangeaient jamais et se portaient très bien. comme pour cette histoire de diète à suivre au printemps, pendant 15 jours, et qui permet à plus de 90 pour cents des gens qui se tiennent à ce régime d'éviter de contracter un cancer (ce qui n'est pas rien quand on sait que le cancer reste la première cause de mortalité dans les pays industrialisés.), mais que la médecine straight continue à prendre pour une affabulation. bref. les gens le savent, que le système se fout de leur gueule, non ?
Supprimer+ ouais, Guy était plus bête que méchant. et moi, j'ai toujours été un peu con.
+ exclusivité news = tu sais quoi ? quand j'étais gamin, mes grands-parents vendaient du vin qu'ils faisaient eux-même, z'avaient quelques hectares de vigne et une cave, bref. ça faisait pas des millions de litres, mais ça arrondissait les fins de mois. ben ils avaient l'habitude de garder un peu de monnaie dans une petite soucoupe au dessus d'un placard dans la salle à manger, à côté de la cuisine, du côté est de la maison. pour avoir de quoi rendre en petite monnaie quand des gens venaient acheter du vin...
ben moi, quand me prenais la connerie, j'allais voler quelques pîèces dans cette soucoupe, qui me servaient à m'acheter de quoi manger en attenadant le bus le soir, du temps du collège, dans une petite superette (des gateaux apéro, la plupart du temps, style crok'sel, ou ce genre de connerie...). parce que depuis tout gamin, j'arrivais pas à bien manger à la cantine. que ce soit à la communale, au collège ou lycée, j'arrivais pas à avaler autre chose que du pain ou des frites. et j'avais fini par faire de l'anémie en plus de l'épilepsie. pourtant, à la maison, j'aimais bien la viande de boeuf bien rouge et bien juteuse quand y'en avait. mais je détestais le veau, la daube, le porc, le paté, etc... et ça me faisait vomir quand on me forçait. ou alors, j'arrivais pas à avaler, et à force de macher, ça devenait une espèce de bouillie qui me donnait la nausée, dans ma bouche. y'a même des fois ou je faisais semblant d'avoir avalé, sans rien dire, et ou j'attendais que personne ne regarde pour le cracher dans ma main et le cacher dans mes poches. puis le soir, je jetais tout ça par la fenêtre, en aillant une morte trouille qu'on me prenne sur le fait. le cèleri me foutait la gerbe, aussi. et plein d'autres trucs. y'avait un gros blème avec la nourriture, dans ma tête.
bah, manger des animaux morts, c'est pas évident ! Faut surtout pas y penser au moment où on les a dans la bouche....et les oeufs qui sortent des trous de cul des poules...faut pas y penser non plus et avaler d'un coup sec, comme les huitres...sauf que tu risques de t'étouffer.
RépondreSupprimerTu écris que tes grands-parents faisaient du vin et moi je me demande est-ce que déjà tu aimais un peu trop l'alcool ? Tu en buvais ou encore c'était comme du vinaigre ?