mardi 11 décembre 2012

Je suis triste JP


RICHARD T. REYES l'artiste


Casimir, le monstre gentil, je crois bien qu'il est mort :(

36 commentaires:

  1. voilà à quoi ça m'a fait penser justement. En plus j'ai fait une erreur, c'est Barney et non Casimir. Mais ne le dis pas.

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  2. connais ni barney, ni casimir.
    tiens, c'est pour kenny :

    http://www.youtube.com/watch?v=gcn0dQWRshE

    adieu!

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  3. tiens, pi ça, c'est pour les morts en général :

    http://www.youtube.com/watch?v=e6QnK0yql8s

    (je sais, ça doit leur faire une belle jambe à la plupart, mébon, on n'en meurt pas de mourir, non plus, non ? pi j'en ai marre de pleurer dans ce caveau poussiéreux qui sent le noyau d'olive sec, alors j'ai décidé que j'allais partir prendre un peu l'air!)

    allé, adieu!

    porte-toi bien, et répète bien à marie d'éviter de se rendre à moscou. ou alors, au contraire!

    FIN.

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  4. tiens, pi au risque de paraitre limite anachroniquement désuet, et de passer pour un hasbeen de giscardien elzheimero-branchouille, je te livre ci joint, cette dernière sentance de mon cru :

    "semblerait que les gentils n'aient jamais eu le monopole du coeur!"

    + http://www.youtube.com/watch?gl=FR&hl=fr&v=_Dm62QelsJs

    voilà, je crois que j'ai enfin compris la philosophie du monde.

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  5. oilà. et maintenant que tout le monde est mort, on va enfin pouvoir y voir un peu plus clair.

    l'était temps!

    "ALLELUUUUUÏA!!" comme disait marie, quand elle déconnait en imitant les chrétiens soudain illuminés, avec cette gueule qu'elle faisait, en grimaçant, inimitablement absurde de ce constat de vie!

    FsssHHHHHHHHHHH!!!!!!!

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  6. tu sais qui c'est que ça arrange qu'y ait la merde entre israel et la palestine, depuis plus de 50 ans, toi (sans compter tous les siècles avant)? parce que si ça marche encore aussi bien, depuis le temps, je pense que c'est surtout parce que ça doit faire l'affaire de quelqu'un, non ?

    allé, adieu!

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    1. un coup de l'alliance vikingo-aryenne, ça m'en a tout l'air.

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  7. mais c'est toi qui me parlait de Casimir le monstre gentil dans un com du post précédent ! C'était un autre ?

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    1. jule le névrosé qui flippe tout le temps11 décembre 2012 à 19:55

      bah, le casimir dont je causais est plutôt orange, avec des taches jaunes et orange foncé sur la peau (ou les éacilles, plutôt), et chante des chansons aux enfants avec un chien jaune, et un autre lézard vert de son acabit, dont je me souviens plus le nom. pi y'a un jardinier qui s'appelle françois, et une gentille marchande du nom de julie, qui vit dans un kioske, et un mec habillé en blanc avec un chapeau qu'on appelle monsieur dusnob.

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    2. jp le jule calme comme un chirurgien autrichien11 décembre 2012 à 20:02

      en tous cas, mon casimir, il est pas tout gris dans une voiture grise, et avec du jus rose foncé qui lui sort de la tête.

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    3. c'est vrai, mon casimir à moi il est mort ou sur le point de l'être avec ce jus qui lui sort de la tête.

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  8. jp le petit garçon de "sixième sens"11 décembre 2012 à 19:58

    tu connais des gens morts, toi, réré ?

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  9. bin c'est lui le Casimir. Sauf que là j'ai fait erreur, c'est Barney la photo que j'ai postée.

    Bin sûr j'en connais des gens morts. Ma mère, ma belle-mère, mon beau-père, quelques tantes et oncles, une cousine, un voisin et minette. Et toi ?

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    1. et puis il y a tous ces animaux morts pour nous, pour notre consommation, nos vêtements.

      bah, manger des animaux morts, c'est pas évident ! Faut surtout pas y penser au moment où on les a dans la bouche....et les oeufs qui sortent des trous de cul des poules...faut pas y penser non plus et avaler d'un coup sec, comme les huitres...sauf que tu risques de t'étouffer.

      Tu écris que tes grands-parents faisaient du vin et moi je me demande est-ce que déjà tu aimais un peu trop l'alcool ? Tu en buvais ou encore c'était comme du vinaigre ?

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    2. non. la plupart des gens morts que je connaissais de leur vivant, je les ai perdus de vue depuis qu'ils sont décédés.
      y'en a qui me parlent, parfois, mais vraiment pas très souvent.

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    3. la première fois que je me suis soulé, j'avais 17 ans.
      je suis le seul alcoolique de la famille.

      et j'ai d'ailleurs décidé d'arrêter.

      l'alcool est la deuxième cause de mortalité après le cancer. sans compter les "domages collatéraux", comme aurait dit l'autre. et pourtant, ce sont les drogues douces qui restent pénalysées. alors qu'elles sont justement reconnues comme bénéfiques dans le traitement du cancer et de l'asthme. et je sais que quand je fumais des joints, à moment donné, je me mettais pas à brailler partout comme un cochon qu'on égorge, mais je pensais plutôt à des rocailles ou des plantes, mon esprit fonctionnait autrement que sous l'influence de la vodka ou du whisky. clair.

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    4. les drogues, en abuse-t-on autant que l'alcool ? C'est l'abus qui ravage les organes comme le foie, mais pas le cerveau dans ton cas, ça cogite là-dedans.

      Alors si tu peux arrêter tant mieux, tu as déjà assez des clopes qui aussi sont une cause du cancer.

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    5. mon cerveau a été dans un bien plus sale état qu'il ne l'est actuellement. quoique.
      à moment donné, il me paraissait pas loin de l'état "néant".
      aujourd'hui, je peux pas dire. avec tout ce que vous m'avez trafiqué la dedans. (si ça te fais marrer, c'est que t'es un enculé), bref.

      je pense souvent à cette femme qui à force d'acharnement, était revenu de son état de légume, après un accident, et avait reconquies toutes ses fonctions les unes après les autres. parait que le cerveau est un muscle. j'avais aussi lu que la "passivité", ou l'état de rêverie prolongé chez un individu pouvait entrainer le développement de certaines zones qui restaient moins actives chez ceux qui devaient rester concentrer régulièrement pour accomplir certaines taches au quotidien.

      bref.

      j'aime pas la mentalité des "mécanistes".

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    6. C'est pas pour oublier toussa que tu prends de l'alcool ? Je ne veux pas te juger mais puisque tu as dit que tu arrêterais, c'est bon de se poser des questions pour que ça marche je crois.

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    7. les éleveurs de chats-humains via les réseaux qui abusent des neurosciences dans des buts purement lucratifs, ou qui se prennent pour des nouveaux maitres de jeux de roles sont des enculés.
      y'a pas besoin d'être un génie pour aller acheter des frankurt à la supérette. au contraire. alors programmer des gens en masse pour qu'ils aillent acheter des frankfurt et de la bière à l'éther qui leur nique les neurones... tu trouves ça créatif ?

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    8. si tu n'entends plus de voix, tu n'as plus de raison de te souler ! Qu'en penses-tu ?

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  10. si tu entends des voix, pas certaine que ce soit bon signe ahahaha

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    1. mouais. ça me l'a fait assez violament à moment donné, après avoir commencé un traitement à base d'antipsychotiques et d'anxyolitiques, entendre des voies. comme quoi, hm ?

      maintenant, nada. mais je crois que le souvenir des gens connus que tu gardes en toi peu te revenir à la conscience. tu peux appeler ça des voies, ça peut être juste une forme de dialogue prenant forme dans ton imaginaire, par le biais des souvenirs, ou d'autres déclics. mais de toutes façon, aujourd'hui, le monde a complètement été chamboulé à ce niveau là.

      marchands de rêves.

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    3. j'en pense qu'il reste une différence entre "entendre des voix, avant" et "entendre des voix aujourd'hui". et qu'on parle toujours de l'effet de serres, mais jamais de la pollution électromagnétique qui est en train de complètement changer notre rapport au monde. période mutante. la putain de guerre qui sévit aujour'hui, c'est celle des ondes hertziennes. les nouveaux possédants sont ceux qui les controle.

      quand à se souler, on peut toujours se trouver des raisons, même quand y en a pas vraiment. au début, c'est l'angoisse que tu combats en buvant. t'es jeune, con, t'as envie de vivre, rencontrer, être avec les autres. plus tard c'est l'ennui que tu combats, ou la culpabilité d'avoir débordé, ou mal agi, mal parlé sous l'influence alcoolique. pi si tu continues quand même à boire, ben c'est la mort qui devient ta seule compagne. la mort au fond de la bouteille. parce que l'alcool t'a pris tout ton jus de vie, et que tout le monde te fuit, et que ce n'est plus comme avant, quand ça te donnait un coup de fouet, pour te ranimer. au contraire. tu prends ça comme un shoot. t'enquille un litre de whisky en une ou deux heures, t'as "explosé", implosé, rien vécu sinon cette fulgurance nulle de l'instant. et c'est déjà bien d'avoir tué personne.

      j'ai très rarement été violent, physiquement. mais une fois, j'ai marqué quelqu'un au visage. c'est la seule personne à qui j'ai fait vraiment du mal directement, physiquement dans ma vie. c'était il y a longtemps, mais je sais qu'il m'en veut encore. ça aurait dû suffire.

      je pense que se souler est con. l'alcool tue. si t'écoutes un alcoolique te raconter les aneries qu'il prend pour de l'esprit sous le coup de l'ivresse, attends plutôt de voir ce qu'il en pensera le lendemain matin. ce sera tout autre.

      une des meilleures drogues que je connaisses, c'est de reprendre goût à la vie, et d'aimer, palpiter et bouger, se déployer, sentir ses facultés reprendre le dessus de manière naturelle. reprendre le dessus sur le coté mauvais en soi, et que l'alcool a développé depuis plus de 20 ans, pour pas se laisser bouffer par sa mécanique destructrice.

      ne pas se laisser happer par le côté noir des remords qui t'engouffrent dans ton autodestruction. en gros, relever la tête. juste tenir. ne plus se laisser manger par la haine de soi, qui finit par devenir la haine des autres.
      dire non à la mort, au moins en soi. arrêter de se dire que ce n'est "rien" dans le monde, soi, pour pas finir par devenir un trou noir qui pourrit tout ce qu'il touche.

      refaire la différence entre la mort et la vie. le mal et le bien. au moins en soi.

      une fois, quelqu'un m'a dit qu'on était fou à partir du moment ou l'on ne savait plus faire la différence entre le bien et le mal. je sais que je sais encore faire la différence, même si j'ai débordé souvent de l'autre côté.

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    4. y'a pas de quoi se vanter. pas de quoi épiloguer sur le monde et son état. foutre ça sur le dos de la mafia ou de la politique. faut d'abord reprendre possession de "soi". si des gens me haïssent, c'est ainsi. deux êtres humains qui se haient, c'est moche. mais ils sont pris dans le flux. et leur haine les empêchent de se parler, ou de mieux se connaitre. de faire la paix. c'est dommage. faudra juste éviter d'accumuler d'autres raisons de faire pencher la balance dans une mauvaise voie. et même si le pire est inévitable, au moins, entre le pire et aujour'hui, y'aura eu un moment d'accalmi. ils arrêtent pas de nous rabacher que le pire va nous arriver dans la gueule. c'est du réalisme, ou une forme de renoncement ? ou un idéal dénaturé et mal orienté ? une fois, bernard mange m'avait demandé quel bouquin j'étais en train de lire, et c'était "mort à crédit" de céline. il m'avait dit : "laisse tombé, ça, c'est noir, ça sert à rien de lire ce genre de chose. on a assez de problèmes dans la vie pour pas en rajouter, tu crois pas ?". mais comme j'étais têtu, j'avais continué. parce que je me disais que mes problèmes n'avaient pas encore étés assez conséquents pour faire de moi un homme. un vrai. alors que j'avais déjà tout le mal du monde à trouver ne serait-ce qu'un espoir de paix intérieure, ou d'apaisement passager de mes nerfs, déjà, à l'époque, entre deux beuveries négatives. t'avoueras que c'est con, quelque part, non ? bernard avait sans doute raison, à sa manière. j'y ai repensé souvent, depuis. mais j'étais un sale petit con ténébreux qui voulait des preuves de ses aptitudes à surmonter les épreuves de la vie, sans lesquelles il restait un insecte sans expérience ni valeur intrisèque. bref.

      trop boire est mauvais. et lire louis ferdinand céline est un peu comme trop boire. y'a pas d'espoir. alors à quoi ça sert ? à rajouter un peu de haine littéraire dans le bon vieux ragout ranci ? vaudrait mieux passer à autre chose.

      ainsi soit-il.

      adieu. et bonne continuation.

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  11. Très intéressant ce dialogue.

    en toute honnêteté

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  13. merci JP de nous avoir raconté toussa, c'est du vrai, du vécu . "ne plus se laisser manger par la haine de soi, qui finit par devenir la haine des autres" je crois que le noeud ou le bobo qui est là.

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    1. ba ouais, c'est du vécu.
      j'en ai un peu chié, j'avoue.
      et quand ma réserve de stoïcisme fut épuisée, ben...

      disons que les mots sont aussi souvent assez maladroits à retranscrire ce que tu ressens vraiment à certains moments. c'est comme regarder un film dans lequel un type passe sur la chaise électrique, c'est pas forcément pareil que d'y être soi-même assis dessus. ou comme disons regarder "le pianiste", de polanski, c'est pas exactement pareil que de se retrouver dans le ghetto de varsovie vers 1941, ou 2, comme ce fut le cas pour lui.

      et y'a par exemple certaines souffrances relativement indicibles qui apparaissent sous la formes de "MDR", ou "héhéhé!", durant une conversation sur msn, en gros, si tu vois ce que je veux dire.

      et la haine de soi, ça peut effectivement se transformer en haine énorme de l'autre, au fur et à mesure, avec le cumul. c'est dommage, mais c'est aussi ainsi, parfois, tu crois pas ? et je le dis pas seulement pour moi, mais aussi pour d'autres gens, des proches, à qui c'est arrivé de vraiment haïr très très fort. et qui en ont aussi assez chié de leur côté, tu comprends ?

      et la haine de soi, ça peut venir aussi de ne pas se sentir capable de vider d'autres gens de leur haine des autres, aussi, parfois. je le sais, parce que ça m'est arrivé. et que ça peut mener à finir par vouloir se tuer, ou pire, haïr tellement qu'on finirait par vouloir tuer d'autres gens. et là, c'est quand même un petit peu grave, aussi, des fois, je pense. parce qu'on parle tout de même d'envie de tuer, ce qui n'est pas rien, quand même, et qui selon moi est ENCORE PLUS PIRE que de vouloir se tuer soi-même, mais bon. je pense aussi que ça dépend des cas.

      disons qu'une victime de harcèlement qui se suiciderait à force d'être harcelée, elle aurait peut-être mieux fait de flinguer celui ou celle qui s'amusait à lui faire du mal, afin d'être plus équitable, en fin de compte, au yeux de la justice du monde.

      ou alors, y'a le yoga. mais disons qu'avec une pile wonder branchée sur ton hypotalamus, et qui t'envoie des signaux inopinés par intermitence, c'est quand même un peu moins aisé d'atteindre le nirvana intérieur, à mon goût. car ça fait un peu parasite. sans compter qu'il arrive même que tu finisses par entendre des voix, et même, une fois, j'avais carrément capté la radio, direct dans la tête. y'a bien de quoi devenir dingue, tu crois pas ?

      mais je pense plutôt que tu devrais te faire électrocuter la cervelle pendant une ou deux semaines (pendant tes vacances d'été, par exemple, ou pourquoi pas plutôt celle de noël, vu qu'on y est en plein dedans). et ce ne serait pas comme subir la même chose sur une période équivalente à une entière décennie, comme ce fut le cas pour moi, et qui représente tout de même un septième d'une vie humaine "normale", en pays industrialisé, si l'on tient compte des statistiques, et qui n'est pas l'équivalent de "rien", selon moi, malgré ce qu'aurait pu suggérer macdoodle, et sans compter les séquelles personelles, mais aussi collectives que celà peut entrainer. mébon. disons qu'une telle cure te permettrait peut-être de relativiser un minimum quand à ta répartie faussement bancale de petite chose pris dans son role de rainette la nette.

      "nette", entre nous, "mon cul", mébon, bref.

      c'était quoi au fait ton conseil de salubrité publique ?
      que je m'achète une télé et de quoi boire ?
      bof, la tivi, je pense pouvoir m'en passer vu que maintenant on a youtube. c'est encore un truc du genre ENCORE PLUS PIRE au niveau de la pollution électromagnétique, mébon, on est pas les plus malheureux, hein ?

      allé, bonne méditation, petite tache de gras, va.

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  14. et tu sais quoi, réré ?

    ben tu le croiras ou pas, mais dans la vie, je suis pas quelqu'un qui a tendance à se plaindre. et j'ai une sainte horreur des mauvaises langues, ou des fouille merde. mais disons que quand je bois, ça devient comme si toute cette merde entendue finissait par sortir par ma bouche, d'une manière ou d'une autre.

    mais ce que j'ai fini par comprendre, aussi, c'est que la mauvaise foi était quelque chose de plus ou moins inhérent à ce que l'on a coutume de nommer "conscience". dans ce monde. un peu comme la gars qui bosse et te reproche d'être payé à rien foutre alors qu'on vit dans une société de surproduction, mais qui ne serait pas prêt à faire le sacrifice de te léguer une part de son boulot, et par la même occasion de son salaire, sous prétexte qu'il aurait des "frais", alors que parallèlement, on continue à gober des trucs comme quoi l'argent public peut très bien servir à renflouer les fonds privés en temps de crise, à coups de centaines milliards, comme ce fut le cas y'a pas longtemps.

    bref.

    souvent, je pense que tu es la mÖvaise foua incarnée. un élément nuisible. et je pense pas être loin du compte.

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  15. arrêter de boire, c'est laisser une dernière chance à mon libre-arbitre.

    le cynisme marchand pue. il est la mort acceptée comme logique de vie, et imposée par les esclavagistes fourreurs de cervelle à la solde des nazis mécanistes pour qui le sentiment reste quelque chose d'inutile, ou seulement de rentable.

    adieu

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  16. Rainette tu crois que si JP écrivais de la fiction au lieu d'écrire de la friction, il serait plus heureux ? il serait plus riche ? ou il serait quelque chose d'autre de plus ?

    la question qui pose

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  17. si JP cessait de boire, il pourrait être un écrivain prolifique, un Houellebecq, un Bukowki mais plus précisément un Kerouac. Je te jure. Tu fais bien de poser la question.

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  18. le neurone qui a oublié de se connecter12 décembre 2012 à 15:16

    Je pense aussi qu'il est plein d'énergie créatrice.

    le scribouilleur invétéré

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