mardi 15 janvier 2013

Les écrivains qui…..n’ont pas encore écrit.




"Il y a toutes sortes d’écrivains, mais il y en a surtout deux catégories : ceux qu’on publie et ceux dont on refuse les manuscrits. [….]

Les écrivains refusés sont de tout poil.  Il y a d’abord ceux qui…n’ont pas encore écrit ! C’est presque toujours un étudiant.  Ses premiers contacts avec l’éditeur, il les établit parfois d’une bien drôle de façon : il demande un rendez-vous, et l’ayant obtenu, il dira à l’éditeur :

« Moi je suis pauvre, voyez-vous, et je n’ai pas de papier pour écrire.  Est-ce que vous m’en passeriez ? »

Un autre assurera l’éditeur qu’il travaille à un chef-d’œuvre mais que, pour bien travailler, il lui faut de l’argent.  Il exigera donc une avance qu’il considérera comme une « hypothèque sur mon talent ».  D’autres encore sont plus subtils : ils disent avoir écrit un manuscrit, mais comme ils n’ont pas de dactylographe, ils demandent de l’argent pour….une secrétaire qui fera le travail à leur place.  L’un a même offert de payer de l’intérêt sur la somme que l’éditeur lui avancerait!"

VLB : Les mots des autres, la passion d'éditer

62 commentaires:

  1. Juste VLB. Je crois qu'il ne faut rien attendre
    du monde de l'édition et ses supposés
    prêteurs. On est seuls quand on écrit.
    Croire que l'on viendra à notre rescousse
    en cas de problème tient de la pensée magique.

    RépondreSupprimer
  2. Il n'existe pas de plus belle
    et terrible solitude que l'écriture.
    Le blogue sert de palliatif à plusieurs
    en 2013, d'autres aimeraient publier
    un livre de papier afin d'asseoir sa marque.

    Je crois qu'il faut trouver sa signature
    dans le temps, peu importent les moyens.

    RépondreSupprimer
  3. Et toi Bella, tu t'y met pendant cette retraite? Moi je lirais bien des histoires de mares sanglantes. È)

    RépondreSupprimer
  4. pour le moment je lis. Je sais vraiment pas si j,écrirai un jour. Je suis juste à ma première année de retraite après tout !

    RépondreSupprimer
  5. Yvan, c'est une solitude "positive" celle de l'écriture tout comme celle de la lecture.

    Je souhaite à tous mes amiEs qui écrivent et qui aimeraient être publiés que ça se produise pour eux. Pour toi d'abord, évidemment.

    Au moins il y a les blogues !

    RépondreSupprimer
  6. envoie ça en façade, à la poutine :

    http://www.youtube.com/watch?v=f3Kg51QrR2g

    bise ma chérie!
    (pitié, car je suis toupeti)

    RépondreSupprimer
  7. http://www.youtube.com/watch?v=FANQBrCg8vw&NR=1&feature=endscreen

    RépondreSupprimer
  8. j'étais amoureux de vous16 janvier 2013 à 16:36

    pour marie-paule et martine + anna khalief :

    http://www.youtube.com/watch?v=NpyWtDVz0PE

    RépondreSupprimer
  9. http://www.youtube.com/watch?v=CkquMKEm2Qw

    RépondreSupprimer
  10. afin d'achever dédé :

    http://www.youtube.com/watch?v=A6WjqVdf8G0

    RépondreSupprimer
  11. toujours pour dédé16 janvier 2013 à 17:08

    pour dédé (mon pote) :

    http://www.youtube.com/watch?v=gMMgIqW9vso

    RépondreSupprimer
  12. http://www.youtube.com/watch?v=8DQnS18EeWM

    RépondreSupprimer
  13. http://www.youtube.com/watch?v=W6mxO391jw8

    RépondreSupprimer
  14. jean philippe laffitte16 janvier 2013 à 17:30

    pour dédé :

    http://www.youtube.com/watch?v=EpTKLan7Mm4

    RépondreSupprimer
  15. toujours pour dédé16 janvier 2013 à 17:35

    http://www.youtube.com/watch?v=q5Dj7HQEasQ

    RépondreSupprimer
  16. http://www.youtube.com/watch?v=q5Dj7HQEasQ

    RépondreSupprimer
  17. http://www.youtube.com/watch?v=h2tB-jbw1ls

    RépondreSupprimer
  18. Jai envoyé un texte à un éditeur une fois.
    C'était à la fois la première et la dernière fois.
    Avoir un livre de papier alors que j'ai tellement de livres de graisse : ben voyons !
    Mon vrai rêve, c'était de devenir éditeur mais les rêves ne se réalisent pas tous.
    C'est sans doute mieux ainsi.
    J'ai l'impression que j'aurais perdu au change de l'impression alors que les billets pèsent plus lourd que les bouquins.
    Si ce n'est qu'une question de sous, ça ne fait fait rien de passer sous la table.
    De toutes façons, je ne fais que passer.

    V. Hugo

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Hugo avait un bon éditeur : Hetzel. D'ailleurs j'aimerais bien lire leur correspondance. Si je trouve le livre un jour.

      Supprimer
  19. http://www.youtube.com/watch?v=6YMeZSxNWV8

    RépondreSupprimer
  20. jp le grand sodomisateur de La Rouge17 janvier 2013 à 00:47

    moi, je ferais bien le cul à La Rouge, si elle me laissait faire, mais SHUT :

    http://www.youtube.com/watch?v=TWFgGxe-CjI

    (j'aime des gens en secret, dans la vie, sans rien dire, et je ne me branle plus. je préfère garder mon énergie séminale en moi, pour partager mieux de brefs instants furtifs de télépathie intime avec mes initiés)

    bise

    RépondreSupprimer
  21. jp avant un autre suicide à la con17 janvier 2013 à 01:44

    je vais me suicider dans 3 minutes, mais avant, je finis les olives :

    http://www.youtube.com/watch?v=Ww1IghJxyt4

    ADIEU!

    RépondreSupprimer
  22. t'aurais pu me laisser les olives au moins

    Ah la vache

    RépondreSupprimer
  23. c'est pas moi, c'est le monde qui ne tourne pas rond. pourquoi tous ces gens cherchent-ils à m'abuser ?
    j'ai toujours su qu'il y avait quelque chose de sale, depuis tout petit. mais on m'avait appris la politesse. puis ça s'est progressivement fissuré. le monde des hommes est débile. ils pensent que je me la coule douce, me jalousent, et ne voient même pas que le plus gratifiant dans la vie est de s'accomplir dans son travail et ses relations sociales. je n'ai ni l'un ni l'autre. ce sont eux qui ont de la chance, pas moi. je suis malade social depuis mon entrée en 6ème, au collège. depuis, je porte un masque. je n'ai jamais réussi à me réaliser, sur aucun plan. et on m'a poussé à faire des choses que je déteste. je n'aime pas la confiance abusive que les thérapeutes entretiennent en eux-même. ce sont trop souvent des fumistes autoproclamés se répartissant les pouvoirs de leur élite souterraine. je n'ai aucune preuve de ce que j'avance, mais je doute de plus en plus de la bonté. la complicité dont ils témoignent entre eux s'assoit sur la règle de la concurence théorique, au dépend de la santé de leurs patients. la plupart sont mille fois plus schizophrènes que ceux qu'ils droguent dans leurs établissements. je me souviens de la gueule de l'un d'entre eux, en train de chercher en moi au moyen d'une technique ésotérique de voyance. son problème était qu'il était en train de semer en moi sa future récolte de folie. mais la seule chose qu'il voyait était ce qu'il cherchait. et il avait l'air effrayé. mes problèmes ne faisaient qu'empirer, et c'était à cause de leurs traitements, en plus de mes relations. et aux ordures qui trafiquaient les ondes électromagnétiques dans mon appartement

    RépondreSupprimer
  24. j'aime pas les sales qui méprisent les gens qui consomment du fromage de chèvre et de la salade verte. l'alcoolisme rend bête et méchant, mais souvent, les préjugés débiles qui forment le fond de la pensée de certains sont encore plus gerbants. j'ai jamais réussi à être un vrai hippi à la beat de kerouac, mais on m'a viré d'un endroit sous prétexte qu'ils n'aimaient pas les beatniks. une autre fois, un type s'est assis à côté de moi, sur une banquette, et a exigé que je me casses sous prétexte qu'il n'aimait pas les pacifistes. comme je bougeais pas, sa meuf a commencé à m'insulter et à dire partout autour que je l'avais menacée de viol. c'est un peu con, je trouve. comme la fois ou j'avais dormi sous un porche en hiver, et qu'au matin, un type m'avait balancés des coups de pieds dans le bide pour me réveiller. m'étais cassé en courant, et il m'avait poursuivi en jurant que s'il me retrouvait, il me ferait la peau... bande de dingues.

    RépondreSupprimer
  25. j'ai jamais violé personne, que je saches, hein ? et même que j'en ai jamais eu l'intention. le genre de pensée qui m'a jamais traversé l'esprit

    et pourtant, on me considère comme un criminel. qu'est-ce que c'est que cette merde ? faudrait pas confondre!

    RépondreSupprimer
  26. comme j'ai déjà dit, je regrette parfois le temps ou j'étais défoncé au valium et ou je passais mes journées à pleurer et à éviter les gens de peur de devenir fou et de me mettre à les agresser.

    en fait, c'était un peu le bon vieux temps. internet existait déjà, mais n'était pas encore rentré dans tous les foyers. je n'avais plus de permis de conduire, et on me surveillait constament pour que je ne me procures pas d'alcool. j'étais téléguidé par les meufs dingues, et je me soulais à chaque fois que je m'enfuyais en ville. souvent, je m'étalais sur le trottoir avec les désir de me foutre en l'air. j'avais la tête prise dans un freezer. ils avaient déjà commencé le traitement aux électrochocs. je devenais de plus en plus mort-vivant

    RépondreSupprimer
  27. me souviens plus de ce que je voulais écrire.
    tant pis

    la violence est le fond de commerce de certains.
    scandaleux

    adiue

    RépondreSupprimer
  28. j'aime pas vos manières, ni celles de vos ennemis

    RépondreSupprimer
  29. je ne m'aime pas, je n'aime pas que l'on me regarde, que l'on m'aime, que l'on mécoute, et je n'aime pas que l'on me déteste ni qu'on me juge. je n'aime pas me sentir traqué et je n'aime pas acheter des choses devant toutes ces caméras. je n'aime pas me réveiller en me remémorant toutes les conneries que j'ai faites la veille. j'ai passé beaucoup plus de temps à vouloir mourir qu'à chercher à m'en sortir dans la vie. et c'est parce que je ne cherchais pas à m'en sortir dans la vie que je me haïssais, et que j'avais honte de vivre aux crochet de la société. le problème des inactifs, plus que le manque de nourriture ou de logement, c'est de ne pas savoir se trouver une occupation, ou de ne pas savoir ne rien faire. au début, je buvais pour combler mon mal être et ma timidité, aujourd'hui, parce que je ne trouve rien d'autre à faire

    RépondreSupprimer
  30. j'aime pas écrire sur des blogues, ni internet, c'est honteux.
    j'aime pas ce que je suis en train de faire.
    c'est nul et minable.
    c'est nuisible.
    ça craint.

    RépondreSupprimer
  31. avant, j'aimais pas les gens parce que je les trouvais méchants, cons et grossiers. et c'est une des raisons pour lesquelles j'avais commencé à boire. aujourd'hui, je suis devenu pire que ceux que je critiquais. après plus de 20 ans de régime. même mon sens de l'honnêteté a été biaisé entre temps. je n'ai plus aucune confiance en rien. j'attends qu'ils viennent se venger

    adieu

    RépondreSupprimer
  32. y'a une différence entre dire la vérité et être vraiment honnête.
    ados, je savais encore arondir les angles afin d'entretenir l'équilibre entre moi et le monde. aujourd'hui, y'a plus rien

    RépondreSupprimer
  33. et j'aime pas mes manières

    adieu

    RépondreSupprimer
  34. les êtres les plus nobles sont ceux qui savent se taire et faire abstraction des sales ragots. au moins dans ce choix

    RépondreSupprimer
  35. fermer sa gueule et ne pas se fier aux rumeurs, c'est aussi une manière de refuser de participer à la vie telle qu'elle est.

    mais y'a pas de quoi se sentir plus fier pour autant

    j'aime presque rien. la meilleure chose à faire serait de faire de la spéléo ou de la plongée sous-marine. il y a trop d'humains sur terre. à force, ils finissent par tout réglementer. il y aurait tout ce qu'il faut pour bien vivre, mais plus nulle part ou aller

    RépondreSupprimer
  36. depuis le temps que je vis tout seul, sans parler à personne, c'est un peu normal que je ne finisse par parler que de moi-même, et de mes expériences inintéressantes

    RépondreSupprimer
  37. j'ai toujours su que marie se foutait de ma gueule, mais je n'ai toujours pas compris ce qu'elle y trouvait. et j'ai toujours su que lionel était taré, à sa manière, mais toujours pas compris non plus ce qu'il comptait trouver en cherchant à me baiser

    je considère que ce n'est pas moi qui écris toutes ces choses, mais le programme qui se sert de moi pour arriver à ses fins

    RépondreSupprimer
  38. si ce que je subis peut permettre à certaines personnes de ne pas se foutre sur la gueule, alors c'est très bien. si c'est le contraire, alors, ça pue

    je fais plus preuve d'incompréhension que de naïveté, mais le temps que je passais à refouler les choses qui me semblaient fausses, je ne le passais pas à les assimiler afin de m'en servir plus tard

    je suis un mauvais élève

    RépondreSupprimer
  39. le mec qui a voulu te chasser parce qu'il n'aimait pas les pacifistes, c'est un sale.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. il lisait soi-disant dans l'avenir, lui aussi. et ce soir là, je n'avais pas bu, ni été grossier avec qui que ce soit. mais quelqu'un lui avait parlé de moi. comme quoi

      Supprimer
    2. pas forcément un sale. mais pourquoi ils passaient toujours tous leur temps à me tomber dessus? c'est comme le sapin de noel, il bossait pour les satans lui aussi ? peut-être pas mais à chaque fois, les "pas forcément sales" provoquaient ce qu'ils finissaient par me reprocher à la fin en me tombant dessus, à moi. parce que j'étais le maillon faible ? et celui qui s'occupe de moi depuis que je suis tout petit, et qui m'hypnotisait grace au téléviseur, pourquoi il faisait ça ? moi, ce que je sais, c'est qu'un des satans voulait que je subisses des choses sales parce qu'il avait soi-disant lu l'avenir. à mon avis, c'est un cercle vicieux. et celui qui m'avait chassé me reprochait d'être un pédé sans couille, mais c'est pas à lui qu'un satan avait refourguée l'épilepsie, aussi. et donc, on devrait peut-être lui faire vivre une vie dans laquelle il aurait subi des traitements à base de barbituriques depuis l'age de 8 ans, et tout en sachant aussi qu'au moindre effort physique un peu trop violent, ben je subissais une autre crise, et que donc, forcément, on est pas fait fort à la fin, dans ces conditions. pi interdit de regarder la télé trop longtemps, aussi, ou de veiller trop tard, sinon, allé hop! encore une crise! et pour faire les devoirs, avec toutes ces drogues dans le cerveau, pareil. si tu crois que c'était facile de se concentrer. mébon, on fait comme si ça n'était "rien", comme les sorts et pressions psychologiques de toutes sortes, en plus de ça. et tu sais quoi ? quand on peut pas faire d'exercice physique sous peine de subir une crise de thétanie, on a aussi beaucoup plus de chance de contracter un diabète à la longue. et donc, tout ça, ça s'enchaine.

      moi, les individus, je les considère comme des amoncèlements de nuances, et d'expériences, comme de vieilles pierres, en strates; et quelqu'un qui serait "juste un sale", pour moi, ça n'existe pas. c'est juste que quand on s'exprime, souvent, on a tendance à le faire de manière trop superficielle, pour classer. et c'est dommage.

      Supprimer
  40. tu sais ce qui me ferait plaisir ? Une photo ou sinon une description détaillée de ce Lionel. Il m'intrigue. Avec un nom comme Médou !!!

    Mais bon. On verrai si tu peux.

    Et si tu ouvrais un blogue aussi ça me ferait plaisir . Si jamais tu es dans tes bonnes grâces, qui sait, je pourrais être exaucée !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. oui, mais le plus drôle avec lionel, c'est que le premier 45 tours à succès des beatles, son groupe favoris, fut "love Me do". et c'est la raison pour laquelle, parfois, au téléphone, je lui chantais une petite variante en lui sussurant "love, love Médou." et comme il est un peu comme moi de ce coté là, à la fois très succeptible et enclin à un état d'esprit auto-ironique, tu penses qu'on s'entendait plutôt bien lui et moi, pour faire les cons, biensur, mais tout en n'arrêtant pas de nous faire mutuellement du mal

      Supprimer
    2. love love médou, c'est bon ça.

      Il est toujours en vie, dans quel coin ? Il travaille la terre ? ESt cuistot quelque part ?

      Supprimer
    3. non, il est malheureusement décédé il y a plus d'un an, déjà

      Supprimer
    4. mais il revient encore me visiter assez souvent, surtout quand je suis en voiture. son fatôme vient s'assoir sur la place du mort, et nous discutons comme au bon vieux temps, mais en mieux. et il lui arrive de carrément venir squatter ma tête, parfois, et de s'accaparer alors mon corps pendant plusieurs minutes. je le reconnais à certaines mimiques, et une forme de narcissisme qui lui est propre

      Supprimer
    5. ah je ne m'étais pas trompée alors. Me semblait l'avoir vu dans la chronique nécrologique. Bin il vient te visiter même mort, c'est bon signe. S'il conduit bien pas de problème.

      Supprimer
    6. parait que c'est normal, que certains morts reviennent parfois quelques temps visiter les vivants pendant une période après leur décès. pi que ça s'estompe avec le temps.
      mais chuis pas un spécialiste

      Supprimer
  41. énormément de choses qu'il fallait soi-disant intégrer à ma manière de penser ou d'être semblaient déterminés à me nuire tout en prétendant le contraire. j'aspirais à des études courtes, et à passer un bep hotellerie, mais on me conseilla de tenter de passer un baccalauréat avec pour but, par la suite, d'effectuer des études universitaires, prétextant que j'aurais gaché mon potentiel en m'engageant dans un cursus d'aprentissage court. ce fut une belle connerie. je n'avais à l'époque aucun goût pour les études. et mon expérience universitaire se solda par l'expérience paroxysmique de mon agoraphobie, et l'avoeu progressif que j'étais devenu alcoolique et inapte à assumer la vie en société

    RépondreSupprimer
  42. hôtellerie, voilà, tu es un chef, c'était pour toi. Faut écouter notre petite voix et nos les autres avec leur grosse voix.

    Mais on est libres là, moi à la retraite et toi bénéficiaire de je ne sais quelle allocation, c'est la belle vie, libertade camarade

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. quand j'étais gamin, j'adorai faire des crèpes, le mercredi matin, surtout quand y'avait des ouvriers qui venaient manger à midi. j'en faisais pour tout le monde. l'idée m'était venue de là. l'école me faisait chier. l'école a ruinée ma vie. je me suis rendu compte assez tôt que je n'étais pas comme tous les autres. j'avais beaucoup de mal à rendre l'amour qu'on me vouait. certains élèves disaient qu'ils s'ennuyaient quand je n'étais pas là, qu'ils trouvaient le temps long sans moi, et pourtant, quand j'avais eus les oreillons, vers l'age de 9 ou 10 ans, je m'étais rendu compte que je préférai de loin être malade et souffrir tout en restant cloué au lit que de me rendre à l'école. pourtant, tout le monde m'aimait bien à l'époque. en fait, j'avais beaucoup de honte de ne pas partager leur enthousiasme. c'est encore cette putain d'honnêteté qui me baisait

      Supprimer
    2. mais c'est compréhensible. Quand on est malade habituellement, notre maman s'occupe de nous et juste de nous, ce qui n,arrive pas souvent. Je comprends que tu préférais .

      Supprimer
    3. le truc qui foutait mon père en rogne, c'était que j'étais pas sportif, et que j'avais jamais de résultats réguliers à l'école. j'aurais préféré accompagner papi, comme je faisais quand il me laisser faire, en l'accompagnant dans les champs, quand il travaillait à la ferme, mais il voulait toujours me dissuader de suivre son exemple. plus tard, vers 6 ou 7 ans, on m'a mis devant la télé. et progressivement, il s'est passé des choses bizarres. je suis devenu apathique, puis malade, plus tard

      Supprimer
    4. je sais ce qui s'est passé. pas besoin de me la jouer à la "c'est le chouchou de sa maman". pi votre manière de gérer les gens via les réseaux, je trouve ça pourri. au moins dans mon cas.
      j'en ai chié, aussi, et comme j'ai dit, j'aime pas me plaindre. et je pense toujours que les lyncheurs et les espions sont des salopes. et on vit dans leur monde. et c'est pour ça qu'il pue. je sais qu'ils peuvent tuer quelqu'un en lui offrant des bonbons, ni vu ni connu, jours après jours, au fil des ans, et l'affaiblir progressivement pour mieux le baiser. et c'est ce genre de personnes que j'ai sur le dos. et elles sont plusieurs à tenter de me faire plier. et y'a des esclavagistes au milieu d'eux. du genre à élever des chats humains, avec pour base une philosophie ancestrale reposant sur des critères racistes.

      certains d'entre eux m'avaient promis de faire de moi une larve, mais d'après leurs plans, j'aurais du crever à l'automne 2012. et pourtant...

      je te quitte. on peut très bien aimer le fromage de chèvre et mépriser les mercedez, tout en continuant à rouler en clio. on peut être contre le nationalisme, et continuer à bien aimer le pays qui vous a vu naitre. j'aime pas les gens qui en traitent d'autres de molassons et de pas faits forts, parce que parfois, ça tient pas forcément compte de toutes les raisons qui les ont fait devenir ce qu'ils sont. quand j'avais 10 ans, quand je me mettais à passer la tondeuse dans la pelouse, les vibrations et le bruit me provoquaient des vertiges, pi une nouvelle crise d'épilepsie. je perdais connaissance et on me retrouvait étalé par terre à côté de la tondeuse qui tournait encore. ce qui fait que j'avais une angoisse de la tondeuse, parce que je me disais qu'un jour, je finirais par mal tomber et me faire déchiqueter par les lames, pendant une crise. mais ça, c'est comme si ça n'existait pas, aussi. et si j'utilise jamais de tronçonneuse, c'est aussi pour cette raison. mais les gens aiment bien se foutre de la gueule des pas faits forts. ça les soulage de leur propre merditude

      Supprimer
  43. tiens pas besoin d'ouvrir un blogue, continue sur celui-là, en autant que tu aies toujours le même mot de passe et que tu t'en souviennes bien évidemment

    http://llllaaaallllbookllllonellll.blogspot.ca/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. ya lionel dans le titre. Voilà pourquoi je me demandais si le blond aux yeux bleus était Lional mais c'est presque impossible, il a plutôt l'air d'un aryen. Alors que les Medoux sont nouars habituellement

      http://llllaaaallllbookllllonellll.blogspot.ca/

      Supprimer
    2. mon lionel à moi n'était pas noir, mais avait plutôt le teint pâle

      Supprimer
    3. il avait de grands yeux verts qui tournaient au gris-bleu selon la météo

      Supprimer
    4. et lionel, si tu savais tout le temps que j'ai passé à tenter de le soulager de ses angoisses et de ses inclinaisons suicidaires, au fil des ans, c'est pas pour dire, mais je crois que c'est aussi un des éléments qui ont contribué à me sucer le sang, à la longue. toutes ces heures à supporter ses agonies au téléphone, et à lui dire que ça irait mieux alors qu'il ne VOULAIT PAS QUE ça AILLE MIEUX. ça m'a usé. ça faisait partie du plan. comme les électrochocs. pan dans la tête, juste à l'heure ou tu dois t'endormir pour pouvoir te sentir en forme pour le boulot le lendemain. quand tu vois le genre de trucs dont ils sont jaloux, y'a de quoi les plaindre, mais pas trop non plus.

      adieu

      Supprimer
  44. il s'est donc suicidé et un vrai suicide ? Pas comme tes mille suicides à toi ? RIP Lionel.

    RépondreSupprimer